Sämmtliche Schriften, Volume 2

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Hahn'sche Hofbuchhandlung, 1831

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Popular passages

Page 59 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 58 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 117 - ... de se plaire à rendre service , et de jouir du bien qu'elle avait fait. Un grand attrait pour le plaisir, beaucoup de coquetterie et de légèreté , peu de gaieté naturelle, l'empêchaient d'être aussi bien dans la société que ses qualités essentielles et son extérieur l'annonçaient. Rien absolument de déterminé dans sa façon de penser. Sa familiarité nuisait à sa considération ; et le maintien que les circonstances ou les conseils lui faisaient souvent prendre, choquaient dans...
Page 115 - Roi, les voleries dans ma maison sont énormes, mais il est impossible de les faire cesser; trop de gens, et surtout trop de gens puissants, y sont intéressés pour se flatter d'en venir à bout. Tous les ministres que j'ai eus ont toujours formé le projet d'y mettre de l'ordre; mais, effrayés de l'exécution, ils l'ont abandonné.
Page 59 - La loi ne doit établir que des peines .strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit et légalement appliquée.
Page 49 - Trouver une forme d'association . . . par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre qu'auparavant...
Page 125 - Mr. le Prince de Montbarey, Ministre Secrétaire d'Etat au département de la. guerre sous Louis XVI., Grand d'Espagne, Prince du St.
Page 115 - ... impossible de les faire cesser; trop de gens, et surtout trop de gens puissants, y sont intéressés pour se flatter d'en venir à bout. Tous les ministres que j'ai eus ont toujours formé le projet d'y mettre de l'ordre; mais, effrayés de l'exécution, ils l'ont abandonné. Le cardiual de Fleury était bien puissant, puisqu'il était le maître de la France.; il est mort sans oser effectuer aucune des idées qu'il avait eues sur cet objet. Ainsi, croyez-moi, calmezvous, et laissez subsister...
Page 80 - Analyse raisonnée de la Constitution française décrétée par l'Assemblée nationale des années 1789, 1790 et 1791, Paris : Migneret, 1791. - Au peuple de Paris, par un membre de l'assemblée nationale (S.-M.-A. de Clermont-Tonnerre), pour l' éclairer sur les excès commis au nom de la Révolution, [sl], [sd].

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