(Samedi 5 Mai 1804.) MERCURE DE FRANCE. LITTÉRATURE. POÉSI E. LES NOUVEAUX GAMA S. CETTE ETTE pièce est une traduction d'une ode T France, et si dignes de l'être. Cependant la traduction, quelque brillante qu'elle nous paraisse, n'égale pas tout-à-fait l'original, dit M. Sané, qui nous a envoyé l'une et l'autre, et fourni cette notice sur le poète portugais, en nous laissant, probablement par modestie, ignorer le nom du traducteur. NOTA. Nous ne connaissons pas davantage, ou nous connaissons encore moins, l'auteur de l'élégante traduction de Céix et d'Alcioné, que plu sieurs abonnés nous demandent. C'EST ainsi que jadis, d'un vol audacieux, Mortels ambitieux ! pour que vos noms célèbres |