L'Ambigu: ou Variétés littéraires, et politiques, Volume 52Jean-Gabriel Peltier Vogel et Schulze, 1816 |
From inside the book
Results 1-5 of 91
Page 4
... jours par l'abandon de ses premiers partisans . Elle était sur le point de s'évanouir entierement elle - même , lorsqu'un nouveau gouvernement lui redonna la vie par la même main qui lui avait porté le premier coup et dont 4.
... jours par l'abandon de ses premiers partisans . Elle était sur le point de s'évanouir entierement elle - même , lorsqu'un nouveau gouvernement lui redonna la vie par la même main qui lui avait porté le premier coup et dont 4.
Page 5
ou Variétés littéraires, et politiques Jean-Gabriel Peltier. main qui lui avait porté le premier coup et dont le devoir était de lui porter le dernier . Buonaparte , premier consul , forma le dessein de détruire la religion catholique en ...
ou Variétés littéraires, et politiques Jean-Gabriel Peltier. main qui lui avait porté le premier coup et dont le devoir était de lui porter le dernier . Buonaparte , premier consul , forma le dessein de détruire la religion catholique en ...
Page 7
... main d'un Dieu fidele à ses promesses . La même autorité , reconnue dans toutes les parties du monde et commandant à tous la même obéissance , est l'éternel et indissoluble lien de cette unité catholique . Celui qui refuse de croire un ...
... main d'un Dieu fidele à ses promesses . La même autorité , reconnue dans toutes les parties du monde et commandant à tous la même obéissance , est l'éternel et indissoluble lien de cette unité catholique . Celui qui refuse de croire un ...
Page 9
... main- tenu , et où , à la faveur de cette indifférence pour une pra- tique inviolable , les catholiques se sont réunis aux sectaires non rétractés . La réunion aux novateurs de France est jugée par ces grands principes . Ceux qui se ...
... main- tenu , et où , à la faveur de cette indifférence pour une pra- tique inviolable , les catholiques se sont réunis aux sectaires non rétractés . La réunion aux novateurs de France est jugée par ces grands principes . Ceux qui se ...
Page 10
... main armée , comme s'ils eussent dû être le prix d'une sanglante con- quête ; et cette main armée véritablement contre le Sei- gneur et contre son Christ , était celle des impies , des mor- tels , irréconciliables ennemis de la religion ...
... main armée , comme s'ils eussent dû être le prix d'une sanglante con- quête ; et cette main armée véritablement contre le Sei- gneur et contre son Christ , était celle des impies , des mor- tels , irréconciliables ennemis de la religion ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
20 Mars acte Anglais arriver aujourd'hui avaient avez Bourbons Boyer de Peyreleau Buonaparte Cambacérès Castlereagh cause chambre des députés chambre des pairs circonstances clémence clergé cœur colonie commandant commission comte conseil contre-amiral Corse coupables crime demande derniere devant devoir Dieu dire divorce donner duc d'Enghien eût évêques fideles fortune Fouché garde garde nationale général gloire gouvernement Guadeloupe guerre heures hommes j'ai jamais jour jugement justice l'armée l'église l'Europe l'honneur l'usurpateur laisser légitime lettre Linois long-temps Louis XVI Madame maire maison Majesté malheurs maniere maréchal maréchal Grouchy Mars ment Messieurs militaire mille millions ministre monarque Monsieur n'avait Napoléon nation officiers pardon particuliere passer patrie peuple place Pointe-à-Pitre politique porte Pradt préfet premiere présente prêtres prince principes projet Prussiens puissance rapporteur régicides religion reste révolution rien Robert Wilson royale s'il sentiments sera seul sieur Revel soldats sort souverain sujets systême Talleyrand tion tribunal trône troupes trouve
Popular passages
Page 451 - J'avais des amis ; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant ; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur!
Page 198 - ... ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve; qu'il ne peut faire le bonheur des peuples qu'en régnant suivant les lois; mais, en même temps , qu'un roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire ; et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.
Page 176 - Si donnons en mandement à nos cours et tribunaux, préfets, corps administratifs, et tous autres, que les présentes ils gardent et maintiennent...
Page 197 - Je pardonne de tout mon cœur à ceux qui se sont faits mes ennemis , sans que je leur en aie donné aucun sujet , et je prie Dieu de leur pardonner...
Page 197 - Je n'ai jamais douté de sa tendresse maternelle pour eux; je lui recommande surtout d'en faire de bons chrétiens et d'honnêtes hommes, de ne leur faire regarder les grandeurs de ce monde ( s'ils sont condamnés à les éprouver ) que comme des biens dangereux et périssables , et de tourner leurs regards vers la seule gloire solide et durable de l'éternité.
Page 316 - Providence pour gouverner trois branches d'une même famille, savoir : l'Autriche, la Prusse et la Russie, confessant ainsi que la nation chrétienne dont Eux et Leurs peuples font partie, n'a réellement d'autre souverain que Celui à qui seul appartient en propriété la puissance...
Page 197 - Dieu de recevoir la ferme résolution où je suis, s'il m'accorde vie, de me servir, aussitôt que je le pourrai , du ministère d'un prêtre catholique , pour m'accuser de tous mes péchés et recevoir le sacrement de pénitence.
Page 449 - C'est à vous, ma sœur, que j'écris pour la dernière fois. Je viens d'être condamnée, non pas à une mort honteuse, elle ne l'est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère. Comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments.
Page 198 - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens ; qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment, et nommément ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve ; qu'il ne peut faire le bonheur des peuples qu'en régnant suivant les lois...