Histoire de la Restauration et des causes qui ont amené la chute de la branche aînée des Bourbons, Volume 10 |
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Popular passages
Page 127 - A dater de la même époque, nul ne pourra être ou demeurer chargé soit de la direction , soit de l'enseignement dans une des maisons d'éducation dépendantes de l'Université, ou dans une des écoles secondaires ecclésiastiques, s'il n'a affirmé par écrit qu'il n'appartient à aucune congrégation religieuse non légalement établie en France. « 3. Nos ministres secrétaires-d'Etat sont chargés de l'exécution de la présente ordonnance, qui sera insérée au Bulletin des lois.
Page 308 - France, députés des départements, je ne doute pas de votre concours pour opérer le bien que je veux faire. Vous repousserez avec mépris les perfides insinuations que la malveillance cherche à propager. Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux...
Page 313 - Entre ceux qui méconnaissent une nation si calme, si fidèle, et nous qui, avec une conviction profonde, venons déposer dans votre^ sein les douleurs de tout un peuple jaloux de l'estime et de la confiance de son roi , que la haute sagesse de Votre Majesté prononce! Ses royales prérogatives ont placé dans ses mains les moyens d'assurer entre les pouvoirs de l'Etat cette harmonie constitutionnelle , première et nécessaire condition de la force du trône et de la grandeur de la France.
Page 312 - ... fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 313 - Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. «Une défiance injuste des sentiments et de la raison de la France est aujourd'hui la pensée fondamentale de l'administration : votre peuple s'en afflige, parce qu'elle est injurieuse pour lui; il s'en inquiète, parce qu'elle est menaçante pour ses libertés.
Page 308 - ... suscitaient à mon gouvernement des obstacles que je ne veux pas prévoir , je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique , dans la juste confiance des Français , et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leurs rois. » jpicc
Page 368 - J'avais • droit de compter sur son concours pour faire le bien » que je méditais; elle me l'a refusé! Comme père de • mon peuple, mon cœur s'en est affligé; comme roi, » j'en ai été offensé. J'ai prononcé la dissolution de cette
Page 328 - J'avais droit de compter sur le concours des deux Chambres pour accomplir tout le bien que je méditais ; mon cœur s'afflige de voir les députés des départements déclarer que, de leur part, ce concours n'existe pas.
Page 131 - Monseigneur, la devise de ma famille, qui lui a été donnée par Calixte II, en 1120, est celle-ci :
Page 308 - Messieurs, le premier besoin de mon cœur est de voir la France heureuse et respectée, développer toutes les richesses de son sol . et de son industrie, et jouir en paix des institutions dont j'ai la ferme volonté de consolider le bienfait. La charte a placé les libertés publiques sous la sanvegarde des droits de ma couronne : ces droits sont sacrés ; mon devoir envers mon peuple est de les transmettre intacts à mes successeurs.