ET lui était des : vile la de reeu dans les Alone tout ce es grands de ce uefois présen eaucoup moins souvent mê Mort à Floren- - tròne pontifical ... Les Simoniaques e adversaire. Dans ance, il en fit dépoAcnatierait les aure. Cette action, qui ere pour la discipline, lui cables parmi le clergé. acre qui mit du poison ire d'un aussi severe uvrit ce come, quela. 2 i sestopa à la FRÉDÉRIC de Lorraine, éla en 1057. ÉTIENNE IX, Mort en 1058. 152o PAPE. Ce pape mort à Florence en odeur de sainteté, n'a eu de remarquable, qu'une piété éminente et une grande simplicité. Ces deux vertus sont plus estimables dans un pontife que la politique artificieuse qui en a fait plusieurs de puissaus, mais rarement des saints. Il ne dut son élévation qu'à ses vertus et à ses talens. Une faction lui opposa Jean, évêque de Veletri, qui prit le nom de Benoît X, mais Nicolas le fit déposer dans un concile tenu à Sutri. Il leva l'anathême que les Normands avaient encouru en s'emparant de quelques domaines de l'église. Ces barbares devenus plus 'Pierre, et à la vue du tombeau qui lui était destiné, il s'était écrié : « Combien est vile la demeure qui m'attend, après avoir vécu dans les honneurs et dans la gloire. Voilà donc tout ce qui me reste sur la terre! Si les grands de ce monde avaient ces paroles quelquefois présentes à leur esprit, nous serions beaucoup moins exposés à endurer leurs dédains, souvent même leurs injustices. Né en Allemaguc, et élu en 1055. VICTOR II, Mort à Florence en 1057. 151 PAPE. Il illustra par ses vertus le trône pontifical qu'il avait accepté malgré lui. Les Simoniaques trouvèrent en lui un terrible adversaire. Dans un concile qu'il tint en France, il en fit déposer plusieurs et annonça qu'il châtierait les autres de la même manière. Cette action, qui était un effet de son zèle pour la discipline, lui fit des ennemis implacables parmi le clergé. On suborna un sous-diacre qui mit du poison dans le calice, pour se défaire d'un aussi sévère censeur; mais Victor découvrit ce crime, quelques-uns disent par miracle, et il échappa à la vengeance de ses ennemis. FRÉDÉRIC de Lorraine, éla en 1957. ÉTIENNE IX, Mort en 1058. 152o PAPE. Ce pape mort à Florence en odeur de sainteté, n'a eu de remarquable, qu'une piété éminente et une grande simplicité. Ces deux vertus sont plus estimables dans un pontife que la politique artificieuse qui en a fait plusieurs de puissaus, mais rarement des saints. Il ne dut son élévation qu'à ses vertus et à ses talens. Une faction lui opposa Jean, évêque de Veletri, qui prit le nom de Benoît X, mais Nicolas le fit déposer dans un concile tenu à Sutri. Il leva l'anathême que les Normands avaient encouru en s'emparant de quelques domaines de l'église. Ces barbares devenus plus doux, avaient restitué ces biens et c'est à cette seule condition qu'ils reçurent l'absolution de lear sacrilége. Nicolas voulut encore devenir leur allié, moyennant une redevance annuelle à laquelle les Normands consentirent. On voit par-là que ce pape n'était pas à l'abri de l'am bition. ANSELME de Bagio, élu en 106 1. ALEXANDRE II. 154 PAPE. Mort en 1073. Son élection ayant été faite sans la participation de l'empereur, celui-ci fit élire un autre pape qui avait les mœurs les plus corrompues. Alexandre parvint à le chasser de Rome et à le faire condamner dans plusieurs conciles. Ce qui a rendu célèbre ce pontife c'est une lettre qu'il écrivit aux évêques de France, dans laquelle il se félicite de ne s'être pas prêté aux cruautés qu'on exerçait dans ce pays contre les. juifs. Ces misérables étaient massacrés impitoyablement, parce qu'ils ne voulaient pas abjurer la foi de leurs pères. |