Histoire du Congrès de Vienne, par l'auteur de l'Histoire de la diplomatie française, Volume 2

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Page 496 - l'époque et l'endroit de ces réunions seraient chaque fois préalablement arrêtés au moyen de communications diplomatiques ; et que, dans le cas où ces réunions auraient pour objet des affaires spécialement liées aux intérêts des autres états de l'Europe, elles n'auraient lieu qu'à la suite d'une invitation formelle de la part de ceux de ces états que
Page 464 - leur détermination inébranlable de ne prendre « pour règle de leur conduite, soit dans l'admi« nistration de leurs états respectifs, soit dans « leurs relations politiques avec tout autre gou« vernement, que les préceptes de la religion « chrétienne; préceptes de justice, de charité « et de paix qui, loin d'être uniquement ap« plicables à la vie privée, doivent au contraire « influer directement sur les résolutions
Page 351 - inviter les chambres à organiser sans délai la « régence par une loi. « Unissez-vous tous pour le salut public, et « pour rester une nation indépendante. « NAPOLÉON. » L'abdication est acceptée par la chambre des représentans dans la séance du 23,
Page 495 - consignés dans les traités, et pour la totalité des droits qui en dérivent ; « 3° Que la France associée aux autres puissances , par la restauration du pouvoir monarchique , légitime et constitutionnel, s'engageait à concourir désormais au maintien et à l'affermissement d'un système qui a donné la paix à l'Europe , et qui
Page 495 - ne pouvait avoir pour objet que le maintien de la paix générale fondé sur le respect religieux pour les engagemens consignés dans les traités, et pour la totalité des droits qui en dérivent ; « 3° Que la France associée aux autres puissances , par la restauration du pouvoir monarchique , légitime et constitutionnel,
Page 496 - et que, dans le cas où ces réunions auraient pour objet des affaires spécialement liées aux intérêts des autres états de l'Europe, elles n'auraient lieu qu'à la suite d'une invitation formelle de la part de ceux de ces états que
Page 495 - Qu'elles étaient fermement décidées âne point s'écarter ni dans leurs relations mutuelles , ni dans celles qui les lient aux autres états, du principe d'union intime qui avait présidé jusqu'ici à leurs rapports et intérêts communs ; union devenue plus forte et indissoluble par les liens
Page 489 - justifiaient pleinement l'espoir d'un affermissement progressif de cet ordre de choses si essentiel pour le repos et la prospérité de la France, et si étroitement lié à tous les grands intérêts de l'Europe ; « Que, par rapport à l'exécution des engage« mens, les communications que, dès l'ouver« ture des conférences, le plénipotentiaire de
Page 342 - juin, dans laquelle l'usurpateur disait, en parlant des alliés : « Les « insensés !.... un moment de prospérité les aveu«gle : l'oppression et l'humiliation du peuple « français sont hors de leur pouvoir. S'ils entrent « en France, ils y trouveront leur tombeau.
Page 20 - en guerre contre un autre, étant une chose inouïe dans l'histoire des nations et des cabinets de l'Europe. « A la violence, à l'emportement, à l'oubli des principes qui caractérisent la déclaration du i3 mars, on reconnaît les envoyés du même prince, les organes des mêmes conseils qui, par l'ordonnance du 9 mars, mettaient aussi Napoléon hors

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