La Commune et ses idées à travers l'histoire |
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18 mars 26 mars août armées armes avaient avril Bagaudes barricades Bastille bourgeois brumaire capital Chaumette citoyennes révolutionnaires civile Clootz club Comité central Commune de 1871 congrès constitution Convention crimes culte déclare décret délégués despotisme devant disait drapeau rouge ÉMANCIPATION DES FEMMES enfants Etienne Marcel eût fédération femmes force François Ier Fronde garde nationale Gironde Girondins Gouges gouvernement guerre haine Henry Henry IV hommes idées Jacobins jour Journal officiel justice l'assemblée l'égalité l'Eglise l'homme l'Hôtel-de-Ville l'in l'instruction l'insurrection l'Internationale laissé liberté Ligue Louis Louis Blanc lutte mains Marcel mariage Mazarin membres ment monarchie mune municipalité Napoléon Ier Olympe de Gouges otages paix parisienne Parlement patriotisme peuple Pierre Leroux politique populaire premier prêtres prévôt Proclamation propriété Proudhon Prussiens réforme religieux république universelle révolution Rigault Robespierre rois Rose Lacombe royale royauté Saint sang séance sections seule sexes siècle sociale société soldats système Théroigne tion travail tribune Versailles voulait
Popular passages
Page 47 - Convention , si par ces insurrections toujours renaissantes il arrivait qu'on portât atteinte à la représentation nationale, je vous le déclare, au nom de la France entière, Paris serait anéanti. Bientôt on chercherait sur les rives de la Seine si Paris a existé.
Page 112 - Suivez la manière par où ils ont commencé : c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant de l'eau bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela vous fera croire et vous abêtira.
Page 35 - Soulevons tous les quartiers, tendons les chaînes, renouvelons les barricades, mettons l'épée au vent, tuons, saccageons, brisons, sacrifions à notre vengeance tout ce qui ne se croisera pas sous la bannière du parti de la liberté.
Page 205 - Eh! quelle différence peut-on trouver entre les deux parties distinctes de notre procédure? Dans l'une, il s'agit de l'honneur et de la vie ; dans l'autre, de l'honneur et de la fortune. Si l'ordre judiciaire au criminel sans jurés est insuffisant pour garantir ma vie et mon honneur, il l'est également au civil, et je réclame les jurés pour mon honneur et pour ma fortune.
Page 11 - Travailleurs, ne vous y trompez pas : c'est la grande lutte, c'est le parasitisme et le travail, l'exploitation et la production, qui sont aux prises. Si vous êtes las de végéter dans l'ignorance et de croupir dans la misère ; si vous voulez que vos enfants soient des hommes ayant le bénéfice de leur travail, et non des sortes d'animaux dressés pour l'atelier...
Page 76 - La richesse et la pauvreté devant également disparaître du régime de l'égalité, il ne sera plus composé un pain de fleur de farine pour le riche et un pain de son pour le pauvre. Tous les boulangers seront tenus sous peine d'incarcération, de faire une seule et bonne espèce de pain, le pain de l'égalité.
Page 77 - ... leurs salaires déjà insuffisants. La question est ainsi posée : des exploiteurs, profitant de la misère publique pour baisser les salaires, et la Commune, assez aveugle pour prêter la main à de pareilles manœuvres. En effet, il est inutile et immoral d'avoir recours à un intermédiaire, qui n'a d'autres fonctions que de prélever un impôt sur la journée des travailleurs qu'il occupe; c'est continuer l'asservissement des travailleurs par la centralisation du travail entre les mains de...
Page 58 - L'organisation de la défense urbaine et de la garde nationale, qui élit ses chefs et veille seule au maintien de l'ordre dans la cité. Paris ne veut rien de plus à titre de garanties locales, à condition, bien entendu, de retrouver dans la grande administration centrale, délégation des communes fédérées, la réalisation et la pratique des mêmes principes.
Page 204 - La puissance de juger ne doit pas être donnée à un Sénat permanent, mais exercée par des personnes tirées du corps du peuple, dans certains temps de l'année, de la manière prescrite par la loi, pour former un tribunal qui ne dure qu'autant que la nécessité le requiert.
Page 124 - Ils demandent, comme les chrétiens, qu'un seul homme soit uni à une seule femme; mais ils enseignent que l'épouse doit devenir l'égale de l'époux, et que, selon la grâce particulière que Dieu a dévolue à son sexe, elle doit lui être associée dans l'exercice de la triple fonction du temple, de l'État et de la famille ; de manière à ce que l'individu social, qui, jusqu'à ce jour, a été l'homme seulement, soit désormais l'homme et la femme.