 | Louis Mayeul Chaudon, Antoine François Delandine - Biography - 1804 - 574 pages
...limit encore des soldats au septième , j'ai jugé que ce ne pouvait ¿Ire (¡H* M. de Montmorency. Je ne l'ai su certainement , que lorsque je l'ai vu à terre sous son cheval mort. Parmi les personnes qui sollicitèrent la grâce de cette victime illustre , il y eut tm grand seigneur... | |
 | Battles - 1808 - 490 pages
...larmes aux yeux , m'ont empêché d'abord de le distinguer; mais voyant un homme qui, après avoiY rompu six de nos rangs , tuait encore des soldats...septième , j'ai jugé que ce ne pouvait être que M. de Montmorency. Je ne l'ai su certainement que lorsque je l'ai vu à terre sous son cheval mort. Louis... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - Biography - 1810 - 596 pages
...encore des soldats au sep- , tième, j'ai jugé que ce ne pou- j voit êlre que M. de Moutmo- | rency. Je ne l'ai su certainement que lorsque je l'ai vu à terre sous son cheval mort. » Parmi les personnes qui sollicitèrent la grâce de cette victime illustre , il y eut uu grand seigneur... | |
 | Antoine Jay - France - 1816 - 408 pages
...voix entrecoupée de sanglots , m'empê» chèrent d'abord de le distinguer. Mais voyant un » homme , qui après avoir rompu six de nos rangs » tuait encore des soldats au septième , je jugeai » que ce ne pouvait être que M. de Montmorency. » Je ne le sus certainement que lorsque... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud - Biography - 1821 - 632 pages
...homme qui, après avoir » rompu six de nos rangs , tuait en» core des soldats au 7e. , j'ai juge » que ce ne pouvait être que M. de » Montmorenci. Je ne l'ai su certai» ncment que lorsque je l'ai aperçu » à terre , percé de coups , sous son » cheval mort.... | |
 | François-Xavier de Feller - 1822 - 534 pages
...officier les tarâmes aux yeux) m'ont empêché » d'abord de le distinguer; mais «voyant un homme qui , après «avoir rompu six de nos rangs, «tuait encore des soldats au sep» tiéme, j'ai jugé que ce ne pouvait «être que M. de Montmorency. Je H ne l'ai su certainement... | |
 | Etienne Léon de La Mothe-Langon (baron .́) - 1823 - 570 pages
...couvert , répondit cet officier , mont empêché d 'abord de le distinguer ; mais 'voyant un liommc qui après avoir rompu six de nos rangs , tuait encore...au septième , j'ai jugé que. ce ne pouvait être gué M. de Montmorenci. Je ne l'ai su certainement gué lorsque je lai vu à terre sous son cheval... | |
 | Étienne de Jouy - 1827 - 584 pages
...ministre-roi poursuivit avec rage , je le reconnus au feu étala fuméedont il était couvert; un homme, après avoir rompu six de nos rangs, tuait encore des soldats au septième : je jugeai que ce ne pouvait être que Montmorenci. » Deux autres grands honimes , le maréchal de... | |
 | Étienne de Jouy - France - 1827 - 400 pages
...ministre-roi poursuivit avec rage , je le reconnus au feu et à la fumée dont il était couvert ; un homme , après avoir rompu six de nos rangs , tuait encore des soldats au septième : je jugeai que ce ne pouvait être que Montmorenci. » Deux autres grands hommes, le maréchal de... | |
 | E. Pascallet - 1842 - 606 pages
...était couvert, disait le témoin, » m'ont empêché d'abord de le distinguer, mais » voyant un homme qui, après avoir rompu six » de nos rangs, tuait encore des soldats au sep» lième, j'ai jugé que ce ne pouvait être que » M. de Montmorency. Je ne .l'ai su certaine»... | |
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Le feu et la fumée dont il était couvert (répond cet officier les larmes aux yeux) m'ont empêché d'abord de le distinguer ; mais , voyant un homme qui, après avoir rompu six de nos rangs, tuait encore des soldats au septième , j'ai jugé que ce... 
