Le roi de Rome (1811-1832)E. Plon, Nourrit et cie, 1902 - 493 pages |
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Affaires étrangères affirmait allait alliés Archives des Affaires aurait autrichien avaient avril baron Barthélemy Bausset Bonaparte Bourbons c'était Caraman Chambre chancelier chancelier Pasquier Charles X cœur comte de Dietrichstein comte de Neipperg comtesse Congrès Congrès de Vienne conseil déclaration demanda devait disait disait-il duc d'Otrante duc de Reichstadt duchés duchesse de Parme écrivait enfant espérances eût femme fils de Napoléon Fleury Fouché général Gentz gloire gouvernement Guastalla guerre homme j'ai jeune prince jour juillet l'archiduchesse l'Autriche l'avait l'Empe l'empereur d'Autriche l'Empire l'Europe l'ile d'Elbe l'Impératrice laisser léon lettre Louis XVIII Louis-Philippe Louise maison Majesté maréchal maréchal Maison Marie-Louise Marmont mars Mémoires Méneval ment militaire ministre Mme de Montesquiou monarchie Montholon mort n'avait n'était Napo Neipperg parler Pasquier pensée père personne Pie VII politique prince de Metternich princesse Prokesch puissances régence reur Rome Russie s'était Sainte-Hélène Schoenbrunn sentiments serait seul souverains Talleyrand tion traité de Fontainebleau trône trouvait Vienne voulait voulu
Popular passages
Page 110 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page v - La plupart de ceux qui ont entendu parler d'Andromaque ne la connaissent guère que pour la veuve d'Hector et pour la mère d'Astyanax. On ne croit point qu'elle doive aimer ni un autre mari, ni un autre fils. Et je doute que les larmes d'Andromaque eussent fait sur l'esprit de mes spectateurs l'impression qu'elles y ont faite, si elles avaient coulé pour un autre fils que celui qu'elle avait d'Hector.
Page 254 - Je lègue à mon fils les boîtes, ordres, et autres, objets, tels qu'argenterie, lit de camp, armes, selles, éperons, vases de ma chapelle, livres, linge qui a servi à mon corps et à mon usage, conformément à l'état annexé, coté...
Page 54 - Si l'ennemi approchait de la capitale, je confie au courage de la garde nationale l'impératrice et le roi de Rome. » — « Ma femme et mon fils », reprend-il d'une voix émue.
Page 37 - Des soldats timides et lâches perdent l'indépendance des nations ; mais des magistrats pusillanimes détruisent l'empire des lois, les droits du trône, et l'ordre social lui-même.
Page 46 - Et c'est mon beau-père qui accueille un tel projet ! C'est lui qui vous envoie ! Dans quelle attitude veut-il donc me placer en présence du peuple français? Il s'abuse étrangement, s'il croit qu'un trône mutilé puisse être, en France, un refuge pour sa fille et son petit-fils...
Page 175 - Français, Dans l'espace de quelques jours, des succès glorieux et un revers affreux ont de nouveau agité vos destinées. Un grand sacrifice a paru nécessaire à votre paix et à celle du Monde. Napoléon a abdiqué le pouvoir impérial ; son abdication a été le terme de sa vie politique; son fils est proclamé. Votre constitution nouvelle, qui n'avait encore que de bons principes, va recevoir tous ses développemens et ses principes même vont être épurés et agrandis.
Page 62 - Dans les circonstances bien difficiles de la crise des événements, on fait ce qu'on doit et on laisse aller le reste. Or, si je vis on doit m'obéir, et je ne doute pas qu'on s'y conforme. Si je meurs, mon fils régnant et l'Impératrice régente doivent, pour l'honneur des Français, ne pas se laisser prendre et se retirer au dernier village ..... Souvenez-vous de ce que disait la femme de Philippe V.
Page 50 - L'abdication de l'empereur la surprit beaucoup : elle ne pouvait croire que les souverains alliés eussent l'intention de détrôner l'empereur Napoléon. Mon père , disait-elle , ne le souffrirait pas • il m'a répété vingt fois, quand il m'a mise sur le trône de France, qu'il m'y soutiendrait toujours, et mon père est un honnête homme.