Dictionnaire historique des institutions, moœurs et coutumes de la France, Volume 1L. Hachette et cie, 1855 - Education |
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Common terms and phrases
administration anciens appelait armes assemblées avaient baillis bénéfices C'était canons cardinal chambre des comptes chancelier chargés Charlemagne Charles VII chef chevalerie chevaliers clergé Colbert commerce compagnies comte Concile conservé constitution corporation corps cour coutumes d'or désignait devant donnait ecclésias ecclésiastiques écoles églises époque établi évêques féodal fêtes fief finances française François Ier garde Gaule général gouvernement guerre Henri Henri III Henri IV hommes impôts institutions juges juridiction justice l'administration l'église l'empire l'évêque l'usage lettres Livre des métiers lois Louis XIV maison maître ment militaire ministre monarchie monnaie moyen âge nommé officiers ordinairement ordonnance ordre pape parlement payer pendant Philippe Auguste Philippe le Bel portaient premier président prévôt prince principaux provinces publique quelquefois religieux rent révolution rois romain Rouen royaume royaux saint Louis sceaux seigneur servait siè spécialement statuts terre tiers état tion titre tribunaux usage vassaux XIIe XVIe XVIIe siècle
Popular passages
Page 25 - République, l'infraction des règles consacrées par les canons reçus en France, l'attentat aux libertés, franchises et coutumes de l'Église gallicane, et toute entreprise ou tout procédé qui, dans l'exercice du culte, peut compromettre l'honneur des citoyens, troubler arbitrairement leur conscience, dégénérer contre eux en oppression ou en injure, ou en scandale public.
Page 285 - Les chemins, routes et rues à la charge de l'Etat, les fleuves et rivières navigables ou flottables, les rivages, lais et relais de la mer, les ports, les havres, les rades, et généralement toutes les portions du territoire français - qui ne sont pas susceptibles d'une propriété privée, sont considérés comme des dépendances du domaine public.
Page 297 - Le droit des gens est naturellement fondé sur ce principe, que les diverses nations doivent se faire dans la paix le plus de bien, et, dans la guerre, le moins de mal qu'il est possible, sans nuire à leurs véritables intérêts.
Page 221 - Un chef responsable, nommé pour dix ans ; « 2° Des ministres dépendant du pouvoir exécutif seul ; « 3° Un conseil d'État formé des hommes les plus distingués, préparant les lois et en soutenant la discussion devant le Corps législatif; « 4° Un Corps législatif discutant et votant les lois, nommé par le suffrage universel, sans scrutin de liste qui fausse l'élection -,
Page 158 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 7 - ... l'administration consiste dans un ensemble de moyens destinés à faire arriver le plus promptement, le plus sûrement possible , la volonté du pouvoir central dans toutes les parties de la société , et à faire remonter vers le pouvoir central, sous les mêmes conditions, les forces de la société, soit en hommes, soit en argent.
Page 213 - ... du conseil d'État. Art. 50. Le conseil d'État est chargé, sous la direction du président de la république, de rédiger les projets de loi et les règlements d'administration publique, et de résoudre les difficultés qui s'élèvent en matière d'administration.
Page 49 - Dans ces temps-là s'établirent les droits insensés d'aubaine et de naufrage : les hommes pensèrent que , les étrangers ne leur étant unis par aucune communication du droit civil , ils ne leur devoient, d'un côté , aucune sorte de justice , et , de l'autre, aucune sorte de pitié.
Page 409 - Le noble de province, inutile à sa patrie, à sa famille et à lui-même, souvent sans toit, sans habits et sans aucun mérite , répète dix fois le jour qu'il est gentilhomme , traite les fourrures...
Page li - L'on voit * certains animaux farouches , des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs , livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée ; et quand ils se lèvent sur leurs pieds , ils montrent une face humaine , et en effet ils sont des hommes.