Propos scientifiquesC. Reinwald, 1890 - 292 pages |
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20 avril Acide aliments Aloïs Humbert animaux aquariums bassins bateau blanc bleu Carl Vogt chlorophylle chlorure comparée Concarneau conditions constaté côtes couleurs crabe Crinoïdes crustacés d'eau douce d'œuf dernier développement différentes Dohrn drague eaux Ehrb espèces expériences expérimentale faune littorale faune profonde femelles filet fond Forel Gaston Tissandier grenouille grève hermaphrodite individus Influence j'ai jaune jours l'albumine l'Aquarium l'eau l'expérience l'influence l'obscurité l'œuf lac Léman Largeur larves larves de grenouilles Leptodora limon Longueur loppement lumière blanche lumière violette lumières colorées Lymnées marins ment mesure mètres microscope mière mois mollusques Montreux moyen Naples naturalistes neige nourris nourriture nutrition œufs organes pêche pêcheurs pélagique pendant physiologie plantes plongeur poussière premier pression professeur profondeur PROPOS SCIENTIFIQUES quantité radiations rayons recherches renfer renfermant résultats Rhizopodes Roscoff rouge sacculine sardines scaphandre sels série seulement solution sorte spectre station de Naples station zoologique substance Suisse surface température têtards tion ture vase B végétaux verte zoologie
Popular passages
Page 233 - ... se répètent dans toutes les autres expériences, que M. Semper a beaucoup variées. Elles ont conduit leur auteur aux conclusions suivantes : 1° La croissance, c'est-à-dire l'assimilation des substances nutritives ne dépend pas seulement de la quantité et de la qualité de la nourriture , de la température, de l'oxygène de l'eau et de l'air, mais encore d'une matière contenue dans l'eau et jusqu'ici inconnue sans la présence de laquelle les autres conditions de croissance favorables...
Page 34 - ... cela tient aux raisons énoncées ci-dessus; 4" qu'en définitive, toutes les couleurs, prises isolément, sont mauvaises pour les plantes ; que leur réunion suivant les proportions qui constituent la lumière blanche est nécessaire pour la santé des végétaux ; et qu'enfin, les jardiniers devront renoncer à l'emploi des verres ou abris colorés pour serres ou châssis.
Page 222 - Le développement, dit Beaunis, n'est qu'un mode perfectionné de l'accroissement et de la multiplication cellulaires, une déviation de l'ordre naturel qui voudrait que les éléments nouvellement formés ressemblassent aux éléments qui leur ont donné naissance. Quelle est la cause de cette déviation? On peut supposer que la plus grande part en revient à l'influence des milieux extérieurs et aux modifications que l'organisme subit pour s'adapter à ces influences. Ces influences, se répétant...
Page 216 - ... trouvent les conditions indispensables pour la manifestation de leurs phénomènes. Les conditions de la vie ne sont ni dans l'organisme ni dans le milieu extérieur, mais dans les deux à la fois. En effet, si l'on supprime ou si l'on altère l'organisme, la vie cesse, quoique le milieu reste intact...
Page 217 - Je n'aurai à faire ici qu'un travail d'adaptation, car la méthode expérimentale a été établie avec une force et une clarté merveilleuses par Claude Bernard, dans son Introduction à l'étude de la médecine expérimentale. Ce livre, d'un savant dont l'autorité est décisive, va me servir de base solide. Je trouverai là toute la question traitée, et je me bornerai, comme arguments irréfutables, à donner les citations qui me seront nécessaires.
Page 15 - D'autre part, l'un des premiers physiciens de notre époque, le professeur Tyndall , de Londres, s'est efforcé de démontrer que la chaleur de nos corps et tous les efforts mécaniques que nous exerçons descendent en ligne directe du soleil.
Page 40 - Le 3 novembre 1869, il plaça trois petites truies et un verrat dans un compartiment dont le toit était couvert de verres violets, et trois autres truies et un verrat dans un autre compartiment garni de verres blancs. Les huit cochons étaient...
Page 7 - Chutes de poussières. • L'observation attentive des chutes de poussières fait présumer qu'elles ne diffèrent pas essentiellement des chutes d'aérolithes ordinaires. Quelquefois elles ont été accompagnées de chutes de pierres, comme aussi d'un météore de feu. Les poussières paraissent contenir à peu près les mêmes substances que les pierres météoriques.
Page 75 - Toutes les sciences expérimentales sont des sciences explicatives, qui vont plus loin que les sciences d'observation qui leur servent de base, et arrivent à être des sciences d'action, c'est-à-dire des sciences conquérantes de la nature. Cette distinction fondamentale ressort de la définition même de l'observation et de Yexperimentation.