Histoire d'Angleterre depuis la première invasion des RomainsChez Parent-Desbarres, 1826 - Great Britain |
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Common terms and phrases
acte ambassadeurs anglais Angleterre Anne Boleyn Apud Legrand avaient bill bulle Burnet Campeggio cardinal Catherine cause chambre chambre étoilée Charles Clément clergé comte comte de Surrey conseil consentit cour Cranmer Cromwell d'Angleterre d'Anne Boleyn d'Écosse d'York déclara demanda devant Dieu divorce doctrine donna duc d'Albany duc de Norfolk duc de Suffolk Écossais engagé envoya eût évêques faveur femme Fiddes François frère fût Gardiner guerre Hall Henri VIII Herbert Ibid impériaux Jeanne Seymour jour jugement juill l'archevêque l'autorité l'avait l'église l'empereur L'évêque de Bayonne légat lettre leyn lord lui-même Luther mariage Marie Melanchton ment mille couronnes ministre monarque mort n'avait n'était Norham Note du traducteur Pallav pape parceque parlement personne Pole pontife pouvait prélats présent prince princesse promesse raison reçut réformateurs refusa reine Rome royale royaume s'était serment sion sir Thomas souverain Strype Suffolk sujet suprématie Surrey tion trône trouvait Wilk Winchester Wolsey
Popular passages
Page 533 - Montreuil gates, hopeless of all recure, Thine Earl, half dead, gave in thy hand his will ; Which cause did thee this pining death procure, Ere summers four times seven thou couldst fulfill. Ah ! Clere ! if love had booted, care, or cost, Heaven had not won, nor earth so timely lost.
Page 222 - Si, lorsqu'un mari entrait dans les ordres religieux , et qu'il avait engagé sa femme à prendre le même parti , il ne pouvait ensuite être relevé de son vœu , et se trouver libre de se remarier? 3° Et si, pour des raisons d'état, le pape ne pouvait autoriser un prince à avoir , comme les anciens patriarches, deux femmes, dont l'une serait publiquement reconnue , et jouirait des honneurs de la royauté...
Page 152 - Cette fleur délicate de l'esprit faillit périr dans les guerres de religion. Mais, lorsque Henri IV eut ramené la paix , le goût des lettres se ranima. Chaque grand seigneur, à l'exemple du roi , pensionna un poete ou un écrivain.
Page 306 - Boleyn légale et régulière : on exclut de la succession la première descendance du roi , et la seconde fut déclarée habile à hériter de la couronne. On déclara haute trahison toute tentative faite pour diffamer ce mariage , ou porter préjudice à la succession des héritiers qui en proviendraient , si le délit était commis par écrit, impression ou action quelconque ; et complicité par non révélation , si l'on avait seulement entendu des paroles : et l'on ordonna à tous les sujets...
Page 540 - Tour et proclamé, sous le nom d'Edouard VI, roi d'Angleterre , de France et d'Irlande , défenseur de la foi et chef suprême sur terre de l'Église d'Angleterre et d'Irlande (1).
Page 261 - VII répondit qu'en définitive il était prêt à s'occuper immédiatement de l'affaire et à user envers le roi de toute l'indulgence, de toute la faveur compatibles avec la justice. Il ne demandait en retour qu'une seule chose, c'est qu'on ne voulût pas le forcer, sous prétexte de reconnaissance envers un homme, à violer les immuables commandements de Dieu ''. Peu après la réception de cette réponse, les agents du roi l'informèrent que les...
Page 264 - Il sentait toute son incapacité à donner des avis : mais ni son affection ni son devoir ne lui permettaient de garder le silence quand il apercevait l'inquiétude de son souverain. Il pouvait y avoir quelque présomption à lui à se prononcer : mais il pensait que toutes les difficultés qui embarrassaient le roi ne venaient que de la timidité de ses conseillers, égarés par des apparences extérieures (i) Pole rapporte qu'il reçut ces leçons de la bouche de Cromwell lui-même, dans le palais...
Page 436 - ... 3° que les prêtres ne peuvent se marier , conformément à la loi de Dieu : 4° que les vœux de chasteté doivent être observés : 5° que l'on doit conserver les messes particulières : 6" que la coutume de la confession auriculaire est utile, et même nécessaire.
Page 268 - ... des motifs sur lesquels on se fondait , la clause suivante, « de laquelle église et duquel » clergé nous reconnaissons sa majesté comme le » premier protecteur, le seul et suprême seigneur, »et, autant que le permet la loi du Christ, le chef
Page 250 - ... l'Angleterre. Or le temps de l'échéance était enfin venu, et le débiteur ne voulait ni payer, ni faire banqueroute. Un bill fut donc présenté au parlement pour libérer Sa Majesté , sans bourse délier de tous les emprunts qu'elle avait contractés. Pour justifier ce vol, on prétendait, dansles motifs du bill, que la prospérité de la nation, sous l'administration paternelle du prince, devait engager ses sujets bienaimés, ses loyaux, ses fidèles sujets (on n'était pas avare d'épithètes)...