Mémoires de l'académie des sciences: séances publiqueP. Jacquin., 1926 - Science |
Other editions - View all
Common terms and phrases
1er février 26 janvier académicien Académie Académie des sciences ancien août Archives associé correspondant Besançon bibliothèque bisontine Bourmont BROCHET CELLARD chanoine CLÈRE Charles de Bernard Charles Nodier château Châtillon-le-Duc Choléra Claude commission comté de Bourgogne comtois concours conseil contaminée cours décès devant Dijon docteur Dole donne DORNIER Doubs DRUHEN Dysenterie eaux mauvaises études famille Fournier franc-comtois Franche-Comté GAZIER général DE THUY Genod Granvelle guerre Guye habitants Haute-Saône honoraire HOSOTTE Jean de Bry jeune Jouffroy jour juillet juin Jura l'abbaye l'abbé Outhier l'Académie de Besançon l'auteur l'église l'histoire l'hôpital l'Université Ledoux lettres littéraire Lons-le-Saunier Loray Louis Lure maire MAIROT maison maréchal Marmier médecin-inspecteur RICHARD membre mémoire ment MONNOT mort Nodier passé pays Philippe Pingaud Pontarlier préfet premier professeur Proudhon province Roger Roux Saint sciences Séance publique secrétaire perpétuel seigneur seulement Société d'émulation source Suard tion TRIMESTRE 1924 TRUCHIS Tumulus Typhoïde Vicomte village Vuillier Weiss XVIIIe siècle
Popular passages
Page 18 - ... l'examen se poursuivait, plus obstiné et plus sévère à mesure qu'il approchait du terme , et il ne s'arrêta que quand il l'eut atteint.
Page 139 - Etablissement, pleinement, paisiblement et perpétuellement, cessant et faisant cesser tous troubles et empêchements contraires ; CAR TEL EST NOTRE PLAISIR : et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Page 18 - ... les détours plus visibles. En vain je m'attachais à ces croyances dernières comme un naufragé aux débris de son navire; en vain, épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec...
Page 100 - Reuss donne lecture du procès-verbal de la dernière séance, qui est adopté. M. le président dépose sur le bureau les publications suivantes, envoyées o,,>,a,M,>t,,, ,,/-,.,, par la SociéU.
Page 18 - ... les détours plus visibles. « En vain je m'attachais à ces croyances dernières, comme un naufragé aux débris de son navire; en vain épouvanté du vide inconnu dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui m'était cher et sacré : l'inflexible courant de ma pensée était plus fort; parents, famille, souvenirs, croyances, il m'obligeait à tout laisser; l'examen se poursuivait, plus obstiné et plus sévère...
Page 19 - J'étais incrédule, mais je détestais l'incrédulité; ce fut là ce qui décida de la direction de ma vie. Ne pouvant supporter l'incertitude sur l'énigme de la destinée humaine; n'ayant plus la lumière de la foi pour la résoudre, il ne me restait que les lumières de la raison pour y pourvoir. Je résolus donc de consacrer tout le temps qui serait nécessaire, et ma vie, s'il le fallait, à cette recherche; c'est par ce chemin que je me trouvais amené à la philosophie, qui me semble ne...
Page 209 - J'ai perdu en Illyrie 16000 francs d'appointements que j'avais depuis vingtquatre heures, tous mes meubles, tous mes habits, tout mon linge, tous mes livres, toutes mes collections, tous mes manuscrits ! J'ai vécu pendant deux mois dans les anxiétés les plus cruelles. J'ai été jeté deux fois par les voitures publiques dans des précipices affreux : ma femme et mon enfant ont eu trois fois le même accident. J'ai ramené ma petite famille demi-nue et Désirée avec des béquilles qu'elle portera...
Page 29 - Gaultier fit ceux-ci : Pour exprimer tant de vertus Tant de combats et tant de gloire , Mille écus ! rien que mille écus ! Ce n'est pas deux sous par victoire. Je ne sais s'il a eu les mille écus , mais il les mérite.
Page 18 - Plus tard, les bruits d'un monde qui « ne croyait point vinrent jusqu'à moi. Je connus toute l'horreur « de ces doutes qui rongent le cœur pendant le jour, et qu'on « retrouve la nuit sur un chevet mouillé de larmes. L'incertitude « de ma destinée éternelle ne me laissait pas de repos. Je m'atta« chais avec désespoir aux dogmes sacrés, et je croyais les sentir «se briser sous ma main.
Page 271 - ... ces grandes salles, Qui ont les soliveaux argentés et dorés, Superbes en piliers de marbre élabourés. Les rois, les empereurs, les seigneurs et les princes Ne peuvent rien sans moi; je garde leurs provinces, Je flatte leurs sujets; et puissante, je fais La guerre , quand je veux , les treves et la paix.