Histoire de France depuis les origines jusqu'a nos jours, Volume 6Henri Plon, 1868 |
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... gens pour réparer les pertes de la garnison . Vers la fin de septembre on manqua d'hommes , d'armes et de poudre . Le chevalier de Luxembourg , fils de l'ancien maréchal , mena de Douai à Lille un détachement de cavaliers auxquels on ...
... gens pour réparer les pertes de la garnison . Vers la fin de septembre on manqua d'hommes , d'armes et de poudre . Le chevalier de Luxembourg , fils de l'ancien maréchal , mena de Douai à Lille un détachement de cavaliers auxquels on ...
Page 114
... gens affamés qui demandaient du pain . et Paris se nourrit de pain bis et de pain d'avoine ; madame de Maintenon en fit servir à la table du roi . Le peuple cria aux accapareurs ; le bruit courut le roi s'entendait avec eux , que des ...
... gens affamés qui demandaient du pain . et Paris se nourrit de pain bis et de pain d'avoine ; madame de Maintenon en fit servir à la table du roi . Le peuple cria aux accapareurs ; le bruit courut le roi s'entendait avec eux , que des ...
Page 122
... gens , dit l'historien du prince Eugène , « bien équipés , bien payés et prêts à bien faire » . Jamais ils n'avaient eu de régiments si beaux ni si bien fournis de toutes les choses nécessaires . Ils cherchèrent à passer entre les ...
... gens , dit l'historien du prince Eugène , « bien équipés , bien payés et prêts à bien faire » . Jamais ils n'avaient eu de régiments si beaux ni si bien fournis de toutes les choses nécessaires . Ils cherchèrent à passer entre les ...
Page 130
... gens ; les travaux de la culture étaient interrompus faute de bras . Les recrues cherchaient à échapper au service en se mutilant , en se cachant dans les bois , en contractant des mariages prématurés . Ceux qui partaient se croyaient ...
... gens ; les travaux de la culture étaient interrompus faute de bras . Les recrues cherchaient à échapper au service en se mutilant , en se cachant dans les bois , en contractant des mariages prématurés . Ceux qui partaient se croyaient ...
Page 135
... gens en étaient venus à regarder l'abdication du duc d'Anjou non - seulement comme une nécessité , mais comme une nécessité heureuse , on se réjouit , parce que les alliés devraient être forcés de modifier leur lan- gage et leurs ...
... gens en étaient venus à regarder l'abdication du duc d'Anjou non - seulement comme une nécessité , mais comme une nécessité heureuse , on se réjouit , parce que les alliés devraient être forcés de modifier leur lan- gage et leurs ...
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Common terms and phrases
affaires Allemands alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille Bavière Berwick billets c'était campagne cent Chamillard charges Charles Choiseul clergé commandement commerce conseil côté cour d'Argenson d'État déclara défense devait donna Dubois duc d'Orléans duc de Bourgogne duc de Savoie Élisabeth Farnèse ennemis envoya Espagnols établit États étre Eugène eût Fénelon Fleury forces française Frédéric fût garnisons général gouvernement guerre Hollande l'Angleterre l'archiduc l'armée l'Autriche l'électeur l'Empereur l'ennemi l'Espagne l'Europe laisser Louis XIV madame de Maintenon madame de Pompadour Madrid maréchal maritimes Marlborough Marsin ment Milanais militaires mille hommes millions ministres mois n'avait n'était négociations Noailles noblesse obligé officiers paix Parlement passer Pays-Bas Philippe politique Pologne pouvait prétendait prince prit protesta Prusse puissances refusa régent reine rent résistance Rhin Russie s'était Saint-Simon sentait septembre seul siége soldats succès Tallard Tessé tion Torcy traité traité de Ryswick troupes trouva vaisseaux Vauban Vendôme Versailles Victor-Amédée Villars Villeroy voulut whigs
Popular passages
Page 436 - L'ambition dans l'oisiveté, la bassesse dans l'orgueil, le désir de s'enrichir sans travail, l'aversion pour la vérité, la flatterie, la trahison, la perfidie, l'abandon de tous ses engagements, le mépris des devoirs du citoyen, la crainte de la vertu du prince, l'espérance de ses faiblesses, et, plus que tout cela, le ridicule perpétuel jeté sur la vertu, forment, je crois, le caractère du plus grand nombre des courtisans, marqué dans tous les lieux et dans...
Page 170 - Un grand seigneur est un homme qui voit le roi, qui parle aux ministres, qui a des ancêtres, des dettes, et des pensions. S'il peut avec cela cacher son oisiveté par un air empressé, ou par un feint attachement pour les plaisirs, il croit être le plus heureux de tous les hommes.
Page 325 - La nation anglaise est la seule de la terre qui soit parvenue à régler le pouvoir des rois en leur résistant, et qui d'efforts en efforts ait enfin établi ce gouvernement sage où le prince, tout-puissant pour faire du bien, a les mains liées pour faire du mal*; où les seigneurs sont grands sans insolence et sans vassaux, et où le peuple partage le gouvernement sans confusion ;t.
Page 11 - Vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous...
Page 121 - ... quoique ma tendresse pour mes peuples ne soit pas moins vive que celle que j'ai pour mes propres enfants, quoique je partage tous les maux que la guerre fait souffrir à des sujets aussi fidèles, et que j'aie fait voir à toute l'Europe que je désirais...
Page 151 - ... c'est une vieille machine délabrée qui va encore de l'ancien branle qu'on lui a donné, et qui achèvera de se briser au premier choc.
Page 10 - Depuis environ trente ans, vos principaux ministres ont ébranlé et renversé toutes les anciennes maximes de l'État, pour faire monter jusqu'au comble votre autorité, qui était devenue la leur parce qu'elle était dans leurs mains. On n'a plus parlé de l'Etat ni des règles; on n'a parlé que du Roi et de son bon plaisir.
Page 554 - États, sous l'autorité spirituelle des ordinaires des lieux, en se conformant aux lois de notre royaume et se comportant en toutes choses comme nos bons et fidèles sujets.
Page 10 - ... dans leurs mains. On n'a plus parlé de l'État ni des règles ; on n'a parlé que du roi et de son bon plaisir. On a poussé vos revenus et vos dépenses à l'infini. On vous a élevé jusqu'au ciel , pour avoir effacé , disait-on , la grandeur de tous vos prédécesseurs ensemble , c'est-à-dire , pour avoir appauvri la France entière, afin d'introduire à la cour un luxe monstrueux et incurable.