Histoire de France depuis les origines jusqu'a nos jours, Volume 6Henri Plon, 1868 |
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Page 7
... jugea qu'il pût être néces- saire d'agir sur l'opinion . Corneille , Nicole , la Bruyère , la Fontaine , mesdames de Sévigné et de la Fayette n'étaient plus . Racine , dont les deux derniers chefs - d'œuvre , Esther et Athalie ...
... jugea qu'il pût être néces- saire d'agir sur l'opinion . Corneille , Nicole , la Bruyère , la Fontaine , mesdames de Sévigné et de la Fayette n'étaient plus . Racine , dont les deux derniers chefs - d'œuvre , Esther et Athalie ...
Page 15
... jugea l'emploi de ces moyens inutile ou prématuré . L'ambassadeur , réduit à s'insinuer auprès du roi et des minis- tres , éprouva de grandes résistances , n'obtint d'être présenté à Charles II qu'après une attente de quatre mois , et.
... jugea l'emploi de ces moyens inutile ou prématuré . L'ambassadeur , réduit à s'insinuer auprès du roi et des minis- tres , éprouva de grandes résistances , n'obtint d'être présenté à Charles II qu'après une attente de quatre mois , et.
Page 43
... jugea l'entreprise trop périlleuse , et l'on dut y re- noncer . Villars , obligé pour joindre l'électeur de s'aventurer dans des chemins difficiles , en laissant sur sa gauche une armée ennemie , chargea Tallard de rester en observation ...
... jugea l'entreprise trop périlleuse , et l'on dut y re- noncer . Villars , obligé pour joindre l'électeur de s'aventurer dans des chemins difficiles , en laissant sur sa gauche une armée ennemie , chargea Tallard de rester en observation ...
Page 45
... jugea que sa mésintelligence avec l'élec- teur ne permettait pas de les laisser ensemble . Le 13 octobre , Marsin , qui venait d'être nommé maréchal , prit le commande- ment de l'armée d'Allemagne . Maximilien prétendait assiéger la ...
... jugea que sa mésintelligence avec l'élec- teur ne permettait pas de les laisser ensemble . Le 13 octobre , Marsin , qui venait d'être nommé maréchal , prit le commande- ment de l'armée d'Allemagne . Maximilien prétendait assiéger la ...
Page 77
... jugea pas non plus en état de défendre les passages . Il était d'avis que le roi s'arrêtat à Burgos , y ralliȧt les troupes qui revenaient par la France , et se défendit dans la Vieille - Castille . Philippe V refusa formellement de ...
... jugea pas non plus en état de défendre les passages . Il était d'avis que le roi s'arrêtat à Burgos , y ralliȧt les troupes qui revenaient par la France , et se défendit dans la Vieille - Castille . Philippe V refusa formellement de ...
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Common terms and phrases
affaires Allemands alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille Bavière Berwick billets c'était campagne cent Chamillard charges Charles Choiseul clergé commandement commerce conseil côté cour d'Argenson d'État déclara défense devait donna Dubois duc d'Orléans duc de Bourgogne duc de Savoie Élisabeth Farnèse ennemis envoya Espagnols établit États étre Eugène eût Fénelon Fleury forces française Frédéric fût garnisons général gouvernement guerre Hollande l'Angleterre l'archiduc l'armée l'Autriche l'électeur l'Empereur l'ennemi l'Espagne l'Europe laisser Louis XIV madame de Maintenon madame de Pompadour Madrid maréchal maritimes Marlborough Marsin ment Milanais militaires mille hommes millions ministres mois n'avait n'était négociations Noailles noblesse obligé officiers paix Parlement passer Pays-Bas Philippe politique Pologne pouvait prétendait prince prit protesta Prusse puissances refusa régent reine rent résistance Rhin Russie s'était Saint-Simon sentait septembre seul siége soldats succès Tallard Tessé tion Torcy traité traité de Ryswick troupes trouva vaisseaux Vauban Vendôme Versailles Victor-Amédée Villars Villeroy voulut whigs
Popular passages
Page 436 - L'ambition dans l'oisiveté, la bassesse dans l'orgueil, le désir de s'enrichir sans travail, l'aversion pour la vérité, la flatterie, la trahison, la perfidie, l'abandon de tous ses engagements, le mépris des devoirs du citoyen, la crainte de la vertu du prince, l'espérance de ses faiblesses, et, plus que tout cela, le ridicule perpétuel jeté sur la vertu, forment, je crois, le caractère du plus grand nombre des courtisans, marqué dans tous les lieux et dans...
Page 170 - Un grand seigneur est un homme qui voit le roi, qui parle aux ministres, qui a des ancêtres, des dettes, et des pensions. S'il peut avec cela cacher son oisiveté par un air empressé, ou par un feint attachement pour les plaisirs, il croit être le plus heureux de tous les hommes.
Page 325 - La nation anglaise est la seule de la terre qui soit parvenue à régler le pouvoir des rois en leur résistant, et qui d'efforts en efforts ait enfin établi ce gouvernement sage où le prince, tout-puissant pour faire du bien, a les mains liées pour faire du mal*; où les seigneurs sont grands sans insolence et sans vassaux, et où le peuple partage le gouvernement sans confusion ;t.
Page 11 - Vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous...
Page 121 - ... quoique ma tendresse pour mes peuples ne soit pas moins vive que celle que j'ai pour mes propres enfants, quoique je partage tous les maux que la guerre fait souffrir à des sujets aussi fidèles, et que j'aie fait voir à toute l'Europe que je désirais...
Page 151 - ... c'est une vieille machine délabrée qui va encore de l'ancien branle qu'on lui a donné, et qui achèvera de se briser au premier choc.
Page 10 - Depuis environ trente ans, vos principaux ministres ont ébranlé et renversé toutes les anciennes maximes de l'État, pour faire monter jusqu'au comble votre autorité, qui était devenue la leur parce qu'elle était dans leurs mains. On n'a plus parlé de l'Etat ni des règles; on n'a parlé que du Roi et de son bon plaisir.
Page 554 - États, sous l'autorité spirituelle des ordinaires des lieux, en se conformant aux lois de notre royaume et se comportant en toutes choses comme nos bons et fidèles sujets.
Page 10 - ... dans leurs mains. On n'a plus parlé de l'État ni des règles ; on n'a parlé que du roi et de son bon plaisir. On a poussé vos revenus et vos dépenses à l'infini. On vous a élevé jusqu'au ciel , pour avoir effacé , disait-on , la grandeur de tous vos prédécesseurs ensemble , c'est-à-dire , pour avoir appauvri la France entière, afin d'introduire à la cour un luxe monstrueux et incurable.