Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Volumes 1-2Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1862 - Anjou (France) |
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âme années appelé arrivé assez aujourd'hui aurait avaient avant beau belle Brault Bretagne Bretons c'était cause cent cher chercher chose cœur commencement côté coup cour d'être demande dernier devant Dieu dire disait donner doute effet élevé enfants enfin évêque faisait famille Félix femme fille fils fond force forme garde gens haut Henri heures heureux homme j'ai jeune jour jusqu'à l'abbé l'autre l'Église l'homme l'un laisser lettres lieu livre longtemps Louis lui-même main maison malheureux Marie ment mère mieux mois monde monsieur mort n'avait n'en n'était Nantes nature nommé nouvelle œuvres parler parole passer pauvre pays peine pendant pensée père personne petit petite peuple pied place poésie poète porte pouvait premier pris qu'un reste rien s'il saint sais semble sentiment sera seul siècle soir sommes sorte souvent suite suivant terre tête tombe Tours traits trouve venait vérité vive voilà voyait vrai yeux
Popular passages
Page 489 - Église romaine, puissé-je m'oublier moi-même ! que ma langue se sèche et demeure immobile dans ma bouche, si tu n'es pas toujours la première dans mon souvenir, si je ne te mets pas au commencement de tous mes cantiques de réjouissance...
Page 162 - Je ne voudrais pas prendre sur moi d'affirmer que les noms n'exercent aucune influence sur la destinée. Entre les faits de la vie et le nom des hommes, il est de secrètes et d'inexplicables concordances ou des désaccords visibles qui surprennent; souvent des corrélations lointaines, mais efficaces, s'y sont révélées. Notre globe est plein, tout s'y tient. Peut-être reviendra-t-on quelque jour aux Sciences Occultes.
Page 67 - La poésie est plus sérieuse et plus utile que le vulgaire ne le croit. La religion a consacré la poésie à son usage, dès l'origine du genre humain. Avant que les hommes eussent un texte d'écriture divine, les sacrés cantiques, qu'ils savaient par cœur, conservaient la mémoire de l'origine du monde, et la tradition des merveilles de Dieu.
Page 452 - Place au rayonnement de l'âme universelle! Un roi c'est de la guerre, un dieu c'est de la nuit. Liberté, vie et foi, sur le dogme détruit ! Partout une lumière et partout un génie! Amour! tout s'entendra, tout étant l'harmonie! L'azur du ciel sera l'apaisement des loups. Place à Tout ! Je suis Pan ; Jupiter ! à genoux.
Page 489 - Sainte Église romaine, mère des Églises et mère de tous les fidèles , Église choisie de Dieu pour unir ses enfants dans la même foi et dans la même charité , nous tiendrons toujours à ton unité par le fond de nos entrailles.
Page 346 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu.
Page 97 - Grallon ; je l'ai seulement entendu dans la nuit » noire, trip trep, trip trep, trip trep, rapide comme le feu ! » « As-tu vu, pêcheur, la fille de la mer, peignant ses cheveux blonds comme l'or au soleil de midi, au bord de l'eau? — « J'ai » vu la blanche fille de la mer, je l'ai même entendue chanter : » ses chants étaient plaintifs comme les flots*.
Page 144 - Mais Toi, qui vois si bien le mal à son dehors, La crapule poussée à l'abandon du corps, Comment tiens-tu ton âme au dedans? Souvent pleine Et chargée, es-tu prompt à la mettre en haleine? Le matin, plus soigneux que l'homme d'à côté, La laves-tu du songe épais?
Page 448 - J'ai deux grands bœufs dans mon étable, Deux grands bœufs blancs, marqués de roux ; La charrue est en bois d'érable, L'aiguillon en branche de houx ; C'est par...
Page 144 - Dans ce cabriolet de place j'examine L'homme qui me conduit, qui n'est plus que machine, Hideux, à barbe épaisse, à longs cheveux collés : Vice et vin et sommeil chargent ses yeux soûlés. Comment l'homme peut-il ainsi tomber? pensais-je, Et je me reculais à l'autre coin du siège.