personne qui est atteinte d'im- bécillité, de démence ou de fu- reur).--Voir Administrateur pro- visoire, Conseil judiciaire ou In- terdiction.
ALIMENTS. Quand sont dus entre descendants et ascendants, p. 38, 39, 154, 241, 263, 268, 271; entre beau-père, belle-mère, belle-fille et gendre, p. 103, 104; entre époux, p. 104, 105, 120, 241, 268, 271.
ALLIANCE (relation établie par le mariage entre l'un des deux époux et les parents de l'autre). Empêchement à mariage, p. 87 à 89; idem, alliance naturelle, p. 175; engendre la dette d'ali- ments, p. 102 à 104, 175, 182; le droit et le devoir de faire partie d'un conseil de famille, 328. AMBASSADEUR. Ses prérogatives, p. 227, 267.
AMBASSADRICE, femme d'un ambas- sadeur, p. 22, 222, 227, 267. ANNEXION DE TERRITOIRE. Ses effets quant à la nationalité, p. 4, 6, 212. APPARTEMENTS MEUBLES. Condi-
tions de location, p. 346 à 357. APPRENTISSAGE INDUSTRIEL, p. 303, 316 à 318.
ARBITRAGE. Voir Arbitre-juge. ARBITRE-JUGE (juge choisi amia- blement par les plaideurs adver- saires). La femme française peut remplir cette fonction, p. 9 à 14; la femme étrangère ne le peut pas, p. 216.
ARMEE. La femme française y est admise, p. 20; mais non la femme étrangère, p. 221. ARRHES (argent donné à l'avance à titre de gage pour, assurer l'exécution d'un louage), p. 360,
ASCENDANTS (grand-père et grand'- mère à tous les degrés). Etendue du droit de voir leurs petits- enfants, p. 37, 140; ne peuvent les émanciper, p. 69; aliments, p. 38, 39, 154, 312, 313. ASSISTANCE JUDICIAIRE (faculté de plaider avec dispense provisoire de payer les frais). Quand accor-
dée à femme étrangère, p. 249; définition et conditions, p. 406, 407, 408. ASSISTANCE PUBLIQUE (administra- tion des hospices à Paris), place- ment des orphelins et des in- sensés, p. 316 à 321. ASSURANCE CONTRE L'INCENDIE, pour femme mariée, p. 122. ASSURANCE SUR LA VIE. Ressource pécuniaire offerte aux parents pour eux et leurs enfants, pour fille mineure émancipée, p. 29, 30; pour femme mariée, p. 127. AUBERGISTE. Règles de cette pro- fession, p. 346 à 357. AUTORISATION
Dans quels cas, p. 129, 130, 131, 183. AUTORISATION MARITALE.Dans quels cas est nécessaire, p 129, 130, 131, 183, 234, 238, 241. AUTORITÉ PATERNELLE OU MATER- Voir Puissance pater-
BAIL des biens d'un enfant mineur
fait par père ou mère adminis- trateur légal, p. 52, 53; - par un tuteur, p. 66; par mineur émancipé, p. 73, 74; par femme mariée, p. 121; droit de la femme séparée de prendre à bail, p. 123; règles et con- ditions générales du bail, p. 358 à 362.
BALAYAGE devant les maisons, à la charge de qui, p. 364, note. BANQUE DE FRANCE (actions de la). Quelles formalités pour leur vente. Voir Vente de meubles incorporels.
BEAU-PERE (le père de votre épouse ou de votre mari). Quand dù des aliments, p. 104, 182, 241. BELLE-FILLE (l'épouse de votre fils). Quand dù des aliments, p. 104, 182, 241. BELLE-MERE (la mère de votre mari ou de votre épouse). Quand dû des aliments, p. 104, 182, 241. BÉNÉFICE DE CESSION DE BIENS. C'est le droit accordé par la loi à un débiteur de se libérer de
de bois de haut jet. BOIS TAILLIS. taillis.
BREVET D'INVENTION. Titre délivré par le gouvernement, garantis- sant à un inventeur la propriété exclusive de sa découverte, pris au nom d'un enfant, p. 47; d'un émancipé, p. 76; d'une femme mariée, p. 129; conditions de validité, p. 202, 203; au nom d'une étrangère, p. 158, 202, 243, 277, 284.
BRU (l'épouse de votre fils). Quand dû des aliments, p. 104, 182, 281. BUREAU DE POSTE. Voir Direc- trice de bureau de poste. BUREAU DE TÉLÉGRAPHE. Voir Directrice de bureau de télégra- phe.
CADEAUX faits à une enfant, p. 47, 158.
CAISSE D'ÉPARGNE, ouverte aux pa- rents pour eux et leurs enfants, p. 30, 158, 340 à 346. CAISSE DES RETRAITES pour la vieil- lesse, ouverte aux parents pour eux et leurs enfants, p. 30, 244. CAUTION judicatum solvi (dépôt d'une somme d'argent destinée à garantir le payement des frais d'un procès et des dommages- intérêts). Quand peut être exi- gée de l'étranger qui plaide, p. 249, 262, 271. CAUTIONNEMENT, par femme ma- riée, p. 128. CESSION DE BAIL, p. 396. CESSION DE BIENS.
de cession de biens. CHARGES DE VILLE ET DE POLICE, p. 227.
CHASSE. Droit permis à la femme française, p. 21; à la femme étrangère, p. 243.
CHOIX D'UN ÉTAT. Appartient au père et à la mère, p. 34, 35; au
tuteur, p. 59; à l'émancipée, p. 71. CLEFS de chose louée, p. 398. COMMERÇANTE. Définition, p. 186; célibataire mineure, p. 189, 190; célibataire majeure, p. 191; femme mariée, p. 191 à 195; conditions et charges communes au commerce, p. 196 à 198; con- ditions et mesures spéciales au commerce, p. 199 à 208; étran- gère mineure, p. 279, 280; ma- jeure mariée, p. 280. COMMERCE.
Voir Commerçante. COMPÉTENCE DES TRIBUNAUX. Voir Juridiction française. COMPTE DE TUTELLE. Se rend après l'extinction de la tutelle, p 67,75. CONCEPTION. Quand est-elle attri- butive de la qualité de Fran- çaise ou d'étrangère? p. 1 à 3, 209, 210; quand attributive de la qualité d'enfant légitime ou naturel, p. 27; attributive de droits à l'enfant, p. 28. CONCIERGE, p. 380 à 384. CONCOURS ARTISTIQUE. Femme fran- çaise juge, p. 21; femme étran- gère, p. 221. CONCURRENCE DELOYALE (emploi de moyens trompeurs pour cap- ter la clientèle au préjudice de ses voisins). Quels moyens de répression, p. 207, 283.
CONGÉ. Déclaration qu'on entend faire cesser une location, p. 391 à 396. CONQUÊTE.
CONSEIL DE FAMILLE (assemblée de famille tenue sous la prési- dence d'un juge de paix pour ré- gler les intérêts d'un enfant mi- neur ou d'un interdit). Mère et grand mère peuvent en être membres, p. 18, 309 à 312, 318; étendue de ses pouvoirs, p. 37, 43, 59, 60, 158, 165; quand peut- il émanciper la jeune fille ? p. 69; sa composition et ses fonc- tion, p. 322, 324, 328 à 334. CONSEIL JUDICIAIRE (personne pla- cée par la justice auprès d'un prodigue ou d'un insensé pour surveiller ses actes et l'aider de ses avis), p. 321, 322.
CONSUL (agent qui a pour mission de protéger ses nationaux à l'étranger), p. 272.
CONTRAT DE MARIAGE (acte devant notaire qui règle les intérêts pé- cuniaires de deux futurs époux). Doit se faire avant le mariage et devant notaire, p. 93, 94; quel régime adopter, p. 94, 95, 96; peut être modifié avant le mariage, p. 96; qu'est-ce que le régime de la communauté, le ré- gime exclusif de communauté, le régime dotal, le régime de la séparation de biens ? p. 94, 95, 96; faculté à la femme de se réserver tout ou partie de ses revenus, p. 96; entre époux étrangers, p. 177, 185; absence de contrat, p. 257, 262. CONTRAVENTION (infraction qui est réprimée par une peine de sim- ple police); commise en France, elle oblige l'étrangère contre- venante, p. 227, 267. CONTRIBUTION mobilière et person- nelle, des portes et fenêtres, de patente, p. 227, 384 à 387. CONVERSION DES VALEURS AU POR- TEUR EN VALEURS NOMINATIVES.
Quand est-elle obligatoire, p. 63, 65, 76, 334 à 336. CONVERSION DES VALEURS NOMINA- TIVES EN VALEURS AU PORTEUR par femme mariée, p. 126. CORRECTION. Exercice de ce droit par les père et mère légitimes, p. 39 à 42, 61, 166, 167; par le tuteur, p. 61; par la mère veuve non remariée, p. 62; l'éman- cipée n'y est plus soumise, p. 71; droit de la mère éteint par son nouveau mariage, p. 142; droit des père et mère naturels, p. 155, 166, 167; du tu- teur, p. 166; des père et mère étrangers, p. 235.
COTUTEUR. Voir Mère veuve re- mariée.
CURATEUR (commis par la jus- tice ou par la loi à l'effet d'ad- ministrer les intérêts d'au- trui). Mari curateur légal de sa femme mineure, p. 108; consé- quences touchant la gestion des
DENIER A DIEU, p. 360, 361. DÉPENSE ANNUELLE, d'enfant mi- neur en tutelle laissée à la fixa- tion du conseil de famille, à moins que le tuteur ne soit le père ou la mère légitime, p. 64. DESAVEU DE PATERNITÉ, par étran- ger, p. 269.
DESSINS DE FABRIQUE. Formalités à remplir pour en conserver la propriété, p. 47, 199, 244, 278, 283. DIRECTRICE d'un bureau de poste ou de télégraphe ; femme fran- çaise, p. 19: femme étrangère, p. 220; - d'école communale: femme française, p. 19, 293; femme étrangère, p. 219, 295;
d'école maternelle femme française, p. 19, 295; femme étrangère, p. 219, 296 ; — d'école normale femme française, p. 19, 295; femme étrangère, p. 219,
DISPARITION DES PÈRE ET MÈRE. Quels effets quant à la direction des enfants légitimes, p. 34, 47, des enfants naturels, p. 153, 154.
DISPENSE D'AGE pour se marier, p. 85, 86, 173, 237. DISPENSES D'ALLIANCE pour se ma- rier, p. 87, 88, 175, 237. DISPENSES DE LA TUTELLE, p. 138.
DIVORCE, p. 237. DOMICILE DE LA FEMME chez le mari, avec obligation de le suivre, p. 107; de la femme étrangère, p. 248.
DOMICILE DE L'ENFANT chez ses père et mère, p. 37, 163; chez son tuteur, p. 57, 163; chez elle émancipée, p. 71.
DON MANUEL par fille mineure,
p. 66; par femme mariée, p. 124; à fille mineure, p. 160. DONATION ENTRE-VIFS, faite à jeune fille, acceptée par père, mère ou ascendant, p. 48, 49, 131, 159; fille mineure n'en peut faire, p. 50; acceptée par le tuteur autorisé de la famille, p. 65; l'émancipée n'en peut faire. p. 72; peut en accepter, p. 77; femme mariée peut-elle en faire? p. 124; en accepter? p. 128, 130.
DONATIONS AUX ÉPOUX par contrat de mariage, p. 100, 101, 102, 180 à 182.
DONATIONS ENTRE ÉPOUX. Étendue et limites, p. 97 à 99, 177 à 180; en cas de second mariage, p. 142.
Dor (les biens que la femme ap- porte à son mari pour lui aider à supporter les charges du ma- riage), p. 93, 110 à 116. DROIT DE CORRECTION. A qui ap- partient sur la jeune fille légi- time, p. 39, 40, 41, 42, 61; sur l'enfant naturelle, p. 155; n'existe plus sur l'enfant éman- cipée, p. 71; existe sur l'enfant étrangère, p. 241.
DROIT DES GENS. Définition, p. 25, 187, 224; application aux étran- gers, p. 240 à 242, 279. DROIT NATUREL. Définition, p. 25, 224; application aux étrangères, p. 240 à 242, 268, 279. DROITS CIVILS, attachés à la qua- lité de Française, p. 7; défini- tion, p. 8, 25; attachés au titre d'étrangère, p. 224, 248, 249,
DROITS CIVIQUES, attachés à la qua-
lité de Française, p. 7 à 24; à la qualité d'étrangère, p. 213 à 223.
DROITS COMMERCIAUX, appartenant à la femme française, p. 186 à 207; à la femme étrangère, p. 277 à 288.
DROITS DE FAMILLE, attachés à la qualité de Française, p. 8 à 24: à la qualité d'étrangère, p. 215 à 223. DROITS POLITIQUES attachés au titre de citoyen, p. 7; les femmes n'en sont pas complètement exclues, p. 8; définition, p. 8; femmes étrangères, p. 214.
ÉCOLE des beaux-arts, p. 296; de droit, p. 296; maternelle (salle d'asile), p. 295; de mé- decine, p. 297; de phar- macie, p. 300. ÉCOLE PRIMAIRE PUBLIQUE. Femme française peut être directrice, p. 18; quid femme étrangère, p. 219, 249, 293 à 296. ÉCONOMIES faites par une enfant, p. 47.
ÉCRITEAUX, p. 393. LDITEUR, p. 76, 129. ÉDUCATION DES ENFANTS. Pen- dant le mariage, à qui appar- tient, p. 33, 34, 108; étendue des droits de l'enfant, p. 45; pendant la tutelle, p. 59; con- tribution des père et mère dans les dépenses, p. 120; quid en cas de second mariage de la mère, p. 146, 147; de l'enfant natu- relle reconnue, p. 150, 151, 165. ÉMANCIPATION. Définition, p. 67; par le père ou la mère légi- time, p. 68, 69; par le conseil de famille, p. 69; en quelle forme, p. 70; ses effets, 70 à 80; étendue des pouvoirs de l'éman- cipée, p. 71 à 80; elle seule re- çoit ses revenus, p. 73; révo- cation de l'émancipation, ses effets, p. 81; la fille mineure émancipée par son mariage, p. 102; l'émancipation par ma- riage est irrévocable, p. 103; émancipation de fille naturelle reconnue, p. 168 à 170; éman-
cipation d'enfant étranger,p.236,
ÉMANCIPÉE. Voir Emancipation. EMMÉNAGEMENT de locataire, p. 363. EMPÊCHEMENTS A MARIAGE, p. 87, 88, 173, 174, 175, 236. EMPLOI DES CAPITAUX, non imposé au père et à la mère adminis- trateurs légaux, p. 51; obliga- toire pour tuteur de mineure, p. 63; pour l'émancipée, p. 75; facultatif pour femme mariée, p. 126; pour femme étrangère, p. 263; obligatoire pour tuteur d'interdit, p. 326.
EMPRUNTS par fille émancipée,
p. 77; par femme mariée, p. 127. ENFANT LEGITIME (née de mariage), p. 31; quand nait-elle Fran- çaise, p. 2, 3; quand naît-elle étrangère, p. 209; quand naît- elle légitime, quand naturelle,
ENFANT LÉGITIMÉE par le mariage subséquent de ses père et mère, p. 27; devoir de se marier dans ce but après l'avoir reconnue, p. 28, 210, 238.
ENFANT NATURELLE (née hors ma- riage), p. 148.
ENFANT NATURELLE RECONNUE.
Quand née française, p. 2, 3; ou étrangère, p. 2, 3, 209, 210; en quelle forme doit se faire la reconnaissance par le père et la mère, p. 27; déclaration per- sonnelle de la mère exigée, p. 27, 28; quels effets produit ia reconnaissance, p. 148, 149; suites, p. 150 à 160; émanci- pation, p. 168 à 170, 237, 238; succession, p. 229, 230.
ENFANT NATURELLE NON RECONNUE. Quelle nationalité, p. 6, 210, 315.
ENFANTS ASSISTÉS par l'adminis-
tration de l'Assistance publique, p. 316 à 318. ENGAGEMENTS EXCESSIFS de mineurs
ou d'interdits sont réductibles, p. 71; idem de femme mariée, p. 131, 235.
ENSEIGNE. A qui appartient, p. 205,
ENSEIGNEMENT PRIMAIRE privé, par
femme française ou étrangère, p. 293; public par femme française ou femme étrangère, p. 19, 29, 249, 293 à 295; - professionnel (appren- tissage industriel), p. 303, 316 à
318. ETABLISSEMENT A L'ÉTRANGER. Perte de qualité de Française, p. 213; droits commerciaux, p. 283. ETABLISSEMENT INDUSTRIEL EN FRANCE exploité par un étran- ger, p. 277, 283.
ETAT CIVIL (manière d'être d'une personne suivaut la loi civile). Voir Question d'état. ETAT ET CAPACITÉ des personnes étrangères, p. 233, 236, 239, 260, 266, 269, 276.
ÉTAT DE LIEUX. Son utilité, ses
avantages pour location, p. 362. ETATS DE SITUATION imposés au tuteur, excepté au père et à la mère, ayant l'usufruit légal, p. 64, 65. ETRANGÈRE (non Française). Quand une femme est-elle étrangère, p. 209; quand naît-elle étran- gère, p. 209; quand le devient- elle, p. 210, 211, 212, 213; quand cesse-t-elle de l'être, p. 3 à 6, 276; quand le rede- vient-elle, 214; droits civiques et de famille, p. 215 à 223; assu- jettie aux lois d'ordre public en France, p. 226; assujettie au statut réel, p. 228; assujettie au statut personnel de son pays, p. 233 à 239; protégée par le droit des gens, p. 240 à 242; pro- tégée par les lois dites politiques p. 243 à 245; assujettie aux traités diplomatiques, p. 246, 247; admise au domicile en France, p. 248 à 253; placée sous l'application de la règle locus regit actum, p. 254 à 258; placée devant les tribunaux français, p. 259 à 272; ordon- nance d'exequatur, p. 273, 274; étrangère naturalisée Française, p. 275 et 276; commerçante, p. 277 à 288; admise à l'ensei- gnement public ou privé, p. 293 à 300; apprentissage ou ensei-
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