desservir quatre Messes la se maine,à l'Autel qu'il érigera, entre celui de la Vierge et de Ste. Anne vis-a-vis les fonds baptis maux; No lobo Ammor si Hose réserve sa vie durante, la collation de cette Chapelle et après sa mort,auž Doyen eɩCha→ pitre ; the yon sehauf al su

Le Chapelain devra fréquenter le Choeur de la Cathédrale avec assiduité et ne pourra faire. couper qu'un bonnier de raspe par an, du produit de son bénéfice.:

2. 1344.

L'on a vu qu'en rã53 un des motifs de l'arrêt du Parlement de Paris, qui privoit Tournay

de sa Commune étoit que ses Magistrats, contre la teneur de la loi salique et constitution fran. çaise, avoient condamné, à mort le nommé Godefroid Duboises fameux brigand, gentilhomme, connu sous le nom de Brigètête, et qui comme Noble avoit récla mé la justice royale;

Il s'en étoit suivi une guerre ouverte entre Tournay, Gérard et Robert Dubois, frères de Brige. téte; i ob vahind calce says on Un armisticé avoit fait cesser les hostilités;

Le 2 Mars, Jeanne de Valois, Comtesse de Haynaut, et Jean de Haynaut, Seigneur dé Beau-mont, arrêtèrent la paix défini

tive de ce différent, par leur mé diation, a Pont-St.-Maxence.(142) (142) 1348.9

Le Magistrat, par un concor dar avec le Chapitre, les Curés de St. Brixe, Nicolas, St. Jean et Rumegnies, conviennent que la dîme seroit payée à ce premier dans ces Paroisses sur les jardins, comme dans ceux voisins. N (143)

1349.

Il regna cette année une peste funeste, jointe à une inondation, qui firent périr beaucoup de monde, que des gens crédules? attribuèrent aux maléfices des: Juifs, dont plusieurs furent pu nis de mort, de même qu'une

(143)

troupe fanatique de Croisés et de Flagellans, que ce Monarque sut également punir et dissiper;

Ils étoient adonnés aux pratiques les plus extravagantes, les plus répréhensibles et les plus superstitieuses, prêchoient des maximes aussi fausses que dans (144) gereuses. (144),ab onu qooppala La peste fit alors le tour de l'Europe et moissonna près d'un tiers de ses habitans.m

1350.

Philippe-Auguste qui comme

me

on l'a dit au discours sur le 13. siècle, avoit acquis d'Everard Desvignes, le tiers des émolumens de la monnoie de Tour

nay, avoit porté en 1211 une ordonnance sur la partie des monnoies, dans laquelle il règle le salaire des ouvriers, et confirme leurs privilèges qui consistoient dans l'exemption de toutes sortes d'impositions, d'aller à la guerre, de n'avoir pour Juges que les Maîtres de la monnoie, sauf le cas de meurtre, rapt, incendie;

Cette ordonnance fut confirmée par ses Successeurs. (145) (145) Or il arrivoit que beaucoup de malfaiteurs, bannis ou riches bourgeois, pour s'échapper à la punition de leurs crimes et aux charges et impositions de la Ville, se faisoient immatriculer Suppôts