Napoléon et la reine Hortense d'après les mémoires de la lectrice de la reineJ. Tallandier, 1910 - 293 pages |
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... ordres duquel le prince Eugène avait fait ses premières campagnes en Italie , en Égypte . Sa femme était une des personnes que la Reine estimait le plus . Elle ne pense plus à sa fatigue ; elle se rend à Croissy , où se trouvait cette ...
... ordres duquel le prince Eugène avait fait ses premières campagnes en Italie , en Égypte . Sa femme était une des personnes que la Reine estimait le plus . Elle ne pense plus à sa fatigue ; elle se rend à Croissy , où se trouvait cette ...
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... ordres verbaux pour le maréchal Augereau qui commandait à Lyon , pour le prince Borghese , gouverneur du Piémont , et pour le prince Eugène , qui gouvernait l'Italie . Arrivé à Lyon , il eut toutes les peines du monde à pénétrer jusqu ...
... ordres verbaux pour le maréchal Augereau qui commandait à Lyon , pour le prince Borghese , gouverneur du Piémont , et pour le prince Eugène , qui gouvernait l'Italie . Arrivé à Lyon , il eut toutes les peines du monde à pénétrer jusqu ...
Page 34
... ordres de l'Empereur et de la réponse du maréchal . M. de Bondy s'en mon- tra très affligé et lui dit : « C'est ainsi que tout marche ici maintenant . » La Reine ne passait pas deux jours sans aller voir sa mère à la Malmaison ; et ...
... ordres de l'Empereur et de la réponse du maréchal . M. de Bondy s'en mon- tra très affligé et lui dit : « C'est ainsi que tout marche ici maintenant . » La Reine ne passait pas deux jours sans aller voir sa mère à la Malmaison ; et ...
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... J'allai donner des ordres , j'emballai moi - même les diamants , et j'attendis le soir avec impatience . Mon agitation d'esprit ne me permettait pas de res- ter en place . Je fus chez la duchesse de 36 NAPOLÉON ET LA REINE HORTENSE.
... J'allai donner des ordres , j'emballai moi - même les diamants , et j'attendis le soir avec impatience . Mon agitation d'esprit ne me permettait pas de res- ter en place . Je fus chez la duchesse de 36 NAPOLÉON ET LA REINE HORTENSE.
Page 39
... ordres , versaient des pleurs , se lamentaient , les unes du regret de quitter leurs familles , les autres de ne pas ... ordre était donné à la porte de ne recevoir personne ; car , dans cette matinée , M. de La Bédoyère vint aussi chez ...
... ordres , versaient des pleurs , se lamentaient , les unes du regret de quitter leurs familles , les autres de ne pas ... ordre était donné à la porte de ne recevoir personne ; car , dans cette matinée , M. de La Bédoyère vint aussi chez ...
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Napoléon Et la Reine Hortense: D'Après les Mémoires de la Lectrice de la ... Louise Cochelet No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
aide de camp allait aller alliés appartement arriver assez autrichien avaient Bade beau Bédoyère bonne Boudiakine Bourbons bruit c'était chambre château de Bercy chose Cochelet comte comte d'Artois dames demander départ devait dévouement diamants dîner dire disait dit-elle donner duc d'Otrante duc de Vicence duchesse de Bassano enfants ennemis envoya faisait femme Fouché foule frère garde nationale gardes royaux guerre heures homme j'ai j'avais j'étais jour l'armée l'avait l'Em l'Empe l'empereur Alexandre l'empereur de Russie l'impératrice Joséphine laisser Lavallette Louis XVIII Madame Mère maison Majesté malheur Malmaison maréchal Marie-Louise Marmol matin ment ministre Mme de Krudner Mme de Staël n'avait n'était Napoléon officier palais de l'Élysée parler passer penser pereur personne porte pouvait prince de Schwarzenberg prince Eugène princesse quitter reine Hortense rester reur Ribou rien rire s'était Saint-Leu salon sentiments serait seule soir sort tions troupes trouvait Tuileries Tzar venait vint visite voiture voulait Voyna yeux
Popular passages
Page 197 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français.
Page 38 - L'impératrice lui avait répondu : « Vous avez raison , ce n'est pas ma faute , » mais le conseil l'a décidé ainsi. » La frayeur de Cambacérès , ses embarras, le temps qu'il réclamait pour pouvoir se mettre en route , puisqu'il devait accompagner l'impératrice . l'oubli que l'on allait faire du trésor de l'empereur , toutes ces choses furent encore longtemps le sujet de la conversation; nous finîmes par en rire de colère et de pitié. M. de Lavalette demanda à la reine ce qu'elle comptait...
Page 166 - ... de la couronne , qui sont la propriété de la nation. Vous lui ferez connaître en même temps les dispositions des lois des assemblées nationales , qui ont été renouvelées, et qui s'appliquent aux membres de la famille des Bourbons qui entreraient sur le territoire francais.
Page 197 - ... préparer à la guerre. Ne mettez pas cette grande nation à la merci de l'étranger, de peur d'être déçus dans vos espérances. Dans quelque position que je me trouve, je serai heureux si la France est libre et indépendante. Si j'ai remis le droit qu'elle m'a donné à mon fils, de mon vivant, ce grand sacrifice je ne l'ai fait que pour le bien de la nation, et l'intérêt de mon fils, que j'ai en conséquence proclamé empereur.
Page 185 - L'entraînement de la prospérité n'est pas le danger qui nous menace aujourd'hui. C'est sous les Fourches Caudines que les étrangers veulent nous faire passer ! La justice de notre cause, l'esprit public de la nation et le courage de l'armée, sont de...
Page 166 - Vienne par son ministre, pouvaient m'autoriser à traiter le duc d'Angoulême comme cette ordonnance et cette déclaration voulaient qu'on traitât moi et ma famille. Mais constant dans les dispositions qui m'avaient porté à ordonner que les membres de la famille des Bourbons pussent sortir librement de France, mon intention est que vous donniez des ordres pour que le duc d'Angoulême soit conduit à Cette, où il sera embarqué, et que vous veilliez à sa sûreté et à écarter de lui tout mauvais...
Page 197 - France de renforcer promptement les armées. Qui veut la paix doit se préparer à la guerre. Ne mettez pas cette grande nation à la merci des étrangers, craignez d'être déçus dans vos espérances.
Page 197 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 199 - Certainement; je suis trop heureuse de pouvoir lui témoigner ma reconnaissance pour tout ce qu'il à fait pour moi ! — » Mais , madame , réfléchissez au danger des circonstances où nous sommes ; il y en a sûrement beaucoup pour vous à vous identifier ainsi au sort de l'Empereur. — » C'est une raison de plus pour que je n'hésite pas à m'y associer ! je m'en fais un devoir , et plus l'Empereur court de périls , et plus je suis heureuse de lui témoigner tout mon dévouement. » Depuis...
Page 166 - France , mon intention est que vous donniez des ordres pour que le duc d'Angoulême soit conduit à Cette , où il sera embarqué , et que vous veilliez à sa sûreté et à écarter de lui tout mauvais traitement. Vous aurez soin seulement de retirer les fonds qui ont été enlevés des caisses publiques et de demander au duc d'Angoulême qu'il s'oblige à la restitution des diamants de la couronne , qui sont la propriété de la nation.