Le Correspondant, Volume 13Charles Douniol, 1846 |
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... regards étaient tournés vers le Vatican , et le siècle entier , dans ce que son esprit a de plus unanime , semblait re- mettre les foudres aujourd'hui irrésistibles de l'opinion aux mains d'un pouvoir qu'hier encore tapt de voix abusées ...
... regards étaient tournés vers le Vatican , et le siècle entier , dans ce que son esprit a de plus unanime , semblait re- mettre les foudres aujourd'hui irrésistibles de l'opinion aux mains d'un pouvoir qu'hier encore tapt de voix abusées ...
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... regards ; or , il suffit d'ouvrir les écrivains du temps qui prirent part aux travaux de ces découvertes pour reconnaître tout d'abord que les auteurs an- ciens n'étaient pas alors classés suivant la hiérarchie que la critique leur a ...
... regards ; or , il suffit d'ouvrir les écrivains du temps qui prirent part aux travaux de ces découvertes pour reconnaître tout d'abord que les auteurs an- ciens n'étaient pas alors classés suivant la hiérarchie que la critique leur a ...
Page 112
... regard terrible comme s'il méditait une action funeste . Bientôt ses lèvres prononcent un nom !!! mais si bas qu'aucune oreille n'eût pu l'entendre . Deux fois il le répète , puis il ajoute : « Venez , venez ! » Alors il écoute , et ...
... regard terrible comme s'il méditait une action funeste . Bientôt ses lèvres prononcent un nom !!! mais si bas qu'aucune oreille n'eût pu l'entendre . Deux fois il le répète , puis il ajoute : « Venez , venez ! » Alors il écoute , et ...
Page 115
... regard d'amour de ton jeune cousin ... Vois , pénètre dans mon cœur et comprends tout ce que j'ai souffert ... regards implacables vous attachez sur moi ! ... Je le vois , vous voulez enchaîner ma volonté à la vôtre ? -Oui , je le veux ...
... regard d'amour de ton jeune cousin ... Vois , pénètre dans mon cœur et comprends tout ce que j'ai souffert ... regards implacables vous attachez sur moi ! ... Je le vois , vous voulez enchaîner ma volonté à la vôtre ? -Oui , je le veux ...
Page 116
... regard formidable du magnétiseur irrité . « Je voudrais vouloir et je ne le puis plus , continua - t - elle au milieu de ses larmes . Où est mon courage et ma force ? où est ma liberté ? Tout s'est évanoui devant cette volonté étrangère ...
... regard formidable du magnétiseur irrité . « Je voudrais vouloir et je ne le puis plus , continua - t - elle au milieu de ses larmes . Où est mon courage et ma force ? où est ma liberté ? Tout s'est évanoui devant cette volonté étrangère ...
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Common terms and phrases
affaires âme Anglais année avaient Basiliennes Bourgogne c'était candidat catholiques cause Chambre Charles Perrault Chine Chinois choses chrétiens ciel clergé cœur Colbert commerce culte czernice d'Amboise devant Dieu dire Divine Comédie donner Druzes Elise enfants enfin esprit évêques Fazio force général Georges d'Amboise gouvernement guerre hommes impérial jamais jour Ki-Yng l'Angleterre l'Eglise l'empereur l'empire l'Etat lagman laisser lettre Liban liberté livres lois Louis XIV main maison Marguerite marine Maronites ment mesure ministre MINSK monde mort n'avait nation négociations noble Odin parler paroles passé pays pensée père personne Pétréa peuple politique POLOCK Portal porte pouvoir premier prendre prêtres prince province puissance qu'un question Rancé Registres des despesches religieuses religion reste rien Robert Peel royale royaume s'est s'était saint Saint-Priest Sainte-Irène Saxo Grammaticus Seigneur sentiments serait seul Séville siècle SIEMASZKO Sœurs sorte souvent suivant Syrie tion traité trouve vérité voilà Woden Ynglinga saga
Popular passages
Page 588 - République, l'infraction des règles consacrées par les canons reçus en France, l'attentat aux libertés, franchises et coutumes de l'Église gallicane, et toute entreprise ou tout procédé qui, dans l'exercice du culte, peut compromettre l'honneur des citoyens, troubler arbitrairement leur conscience, dégénérer contre eux en oppression ou en injure, ou en scandale public.
Page 818 - Napoléon, empereur des Français, roi d'Italie et protecteur de la confédération du Rhin ; Sur le rapport de notre Ministre des relations extérieures , Notre Conseil d'Etat entendu , Nous avons décrété et décrétons ce qui suit: Art.
Page 442 - On a pris soixante bourgeois : on commence demain à pendre.^Cette province est un bel 'exemple pour les autres, et surtout de respecter les gouverneurs et les gouvernantes, de ne leur point dire d'injures, et de ne point jeter de pierres dans leur jardin.
Page 480 - Gervaise, l'épée au côté, deux pistolets à l'arçon de sa selle, un habit couleur de biche, une cravate de taffetas noir où pendait une broderie d'or. Si, dans les compagnies plus sérieuses qui le...
Page 772 - ... noble ait trouvé grâce auprès de Dieu. Mon amour et mon cœur sont avec luy, mon père, et ce sera la dernière mort qui me donnera de l'attache à Dieu. Vanité trompeuse du siècle de fer, je ne veux plus aspirer qu'à l'éternité bienheureuse, pour y voir mon Dieu et mon cher Thalouet!
Page 18 - Bretagne, comme aussi les galères, les Compagnies des Indes orientales et occidentales et les pays de leurs concessions : le commerce, tant dedans que dehors le royaume, et tout ce qui en dépend; les consulats de la nation française dans les pays étrangers ; les manufactures et les haras, en quelque province...
Page 962 - Sully , et de faire revivre les anciennes ordonnances de ce grand homme. Le ministre de Louis XIV, à l'exemple de celui de Henri IV, assura des fonds pour chaque dépense ; à son exemple , il réduisit l'intérêt de l'argent : tous deux travaillèrent à faciliter les communications ; mais Colbert fit exécuter le canal de Languedoc , dont Sully n'avait eu que le projet.
Page 324 - Odin lui-même ne demeurait sur les autels qu'en y prenant une attitude guerrière. On le représente armé de pied en cap; on l'appelle le père du carnage. Les Valkyries, qui le suivent, aiment l'odeur des morts et le cri des blessés. La veille des grandes batailles, elles travaillent ensemble en s'accompagnant de chants de guerre. Le tissu qui les occupe est d'entrailles humaines; des flèches servent de navettes, et le sang ruisselle sur le métier. Le palais de la Valhalla ne s'ouvre qu'aux...
Page 963 - On leur doit à tous deux l'éloge d'avoir vu que la réforme du barreau pouvait influer sur l'aisance nationale ; mais l'avantage des temps fit que Colbert exécuta ce que Sully ne put que désirer. L'un, dans un temps d'orages...
Page 413 - Provinces-Unies, il faudrait bien trouver un .moyen, les plaintes étant inutiles, de les empêcher de remplir ce pays des leurs, et de lui tirer par là le plus clair de son argent.