La vérité sur les évènemens de Lyon au mois d'avril 1834 |
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... heure comme pour un spectacle . L'autorité le sa- vait , mais elle n'agissait pas ; elle ne voulait pas prévenir le mal : son but était d'en ve- nir à le réprimer par la violence . Des at- troupemens nombreux se montraient sur tous les ...
... heure comme pour un spectacle . L'autorité le sa- vait , mais elle n'agissait pas ; elle ne voulait pas prévenir le mal : son but était d'en ve- nir à le réprimer par la violence . Des at- troupemens nombreux se montraient sur tous les ...
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... heures après midi : cet ordre s'explique difficilement . D'abord pour- quoi ce piquet ne s'était - il pas trouvé au rendez - vous donné par l'état - major de la place ? ensuite , pourquoi ne le laissa - t - on pas aller à l'hôtel de ...
... heures après midi : cet ordre s'explique difficilement . D'abord pour- quoi ce piquet ne s'était - il pas trouvé au rendez - vous donné par l'état - major de la place ? ensuite , pourquoi ne le laissa - t - on pas aller à l'hôtel de ...
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... heures du matin . L'autorité militaire déploya toutes ses forces . Les troupes , le sac au dos et les armes chargées , furent rangées en colonnes serrées sur la place Bellecour ; le 7 ° régiment de dragons était à cheval ; une batterie ...
... heures du matin . L'autorité militaire déploya toutes ses forces . Les troupes , le sac au dos et les armes chargées , furent rangées en colonnes serrées sur la place Bellecour ; le 7 ° régiment de dragons était à cheval ; une batterie ...
Page 28
... heures plus tard , devaient être dé- serts et présenter l'aspect de la désolation , étaient couverts d'une foule immense qui circulait dans tous les sens , et promenait un regard inquiet sur la scène qui se préparait . La multitude se ...
... heures plus tard , devaient être dé- serts et présenter l'aspect de la désolation , étaient couverts d'une foule immense qui circulait dans tous les sens , et promenait un regard inquiet sur la scène qui se préparait . La multitude se ...
Page 29
... heures , une attitude alarmante sur la place Saint - Jean et sur celle de la Préfecture . En un clin - d'œil des proclamations furent pla- cardées avec profusion dans plusieurs en- droits . Des ouvriers montés sur des bornes les ...
... heures , une attitude alarmante sur la place Saint - Jean et sur celle de la Préfecture . En un clin - d'œil des proclamations furent pla- cardées avec profusion dans plusieurs en- droits . Des ouvriers montés sur des bornes les ...
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Common terms and phrases
12 avril armes avril baïonnette balles barricade bataillon blessés boulets Brotteaux c'était caserne Chartreux citoyens combat combattans concitoyens conseil côté coups de fusil Croix-Rousse détachement domicile dragons enfans évènemens faubourg femme fenêtres firent Fourvières fusil tiré fusillade garde nationale garnison général Aymar guerre civile Guillotière habitans heures hommes horrible inoffensifs insurgés avaient jour journée l'artillerie l'autorité l'église l'Hôtel-de-Ville l'insurrection l'ordre Lyon maire maison malheureux matin ment militaire Montreuillon mort n'était nommé Obergailbach occupée ouvrier en soie pendant Perrache personnes peuple place Bellecour place de l'Herberie place des Terreaux place Neuve place Sathonnay police pont de l'Archevêché porte position poste préfet quai de Villeroi quar quartier rent républicains reste révolte Rhône ricades rien rue des Bouquetiers rue des Gloriettes rue Projetée Ruffieu s'était Saint Saint-Just Saint-Nizier Saint-Polycarpe sang Saône secours sera seul sieur soldats tête du pont tion tocsin toyen tribunal troupes trouva tué
Popular passages
Page 249 - Les autres vols non spécifiés dans la présente section, les larcins et filouteries, ainsi que les tentatives de ces mêmes délits , seront punis d'un emprisonnement...
Page 247 - ... observations à faire. Sur leur réponse négative, et avant d'aller aux opinions, il a ordonné à l'accusé de se retirer.
Page 124 - La prolongation de l'état pénible où se trouve la ville de Lyon tient à un petit nombre de factieux qui pénètrent dans les maisons et recommencent à tirer dans quelques quartiers. Dans cet état de choses, permettre la...
Page 249 - Néanmoins, s'il ya eu condamnation, cette restitution ne sera faite qu'en justifiant par le propriétaire, que le condamné a laissé passer les...
Page 34 - France, souffrirez-vous les maux dont on vous menace? consentirez-vous à courber vos têtes sous le joug honteux qu'on prépare à votre patrie? Non, c'est du sang français qui coule dans vos veines, ce sont des cœurs français qui battent dans vos poitrines; vous ne pouvez do'nc être assimilés à de vils esclaves. Vous vous entendrez tous pour sauver la France et lui rendre son titre de première des nations.
Page 32 - ... impôts. Parmi eux, se trouve Barthe, le renégat, qui est aussi nommé pair de France!... Ainsi on récompense les hommes sans honneur, sans conscience, et on laisse souffrir de misère tous ceux qui sont utiles au pays, les ouvriers, par exemple, et les vieux soldats. Pourquoi nous en étonner?...
Page 31 - L'audace de nos gouvernants est loin de se ralentir; ils espèrent par là cacher leur faiblesse, mais ils se trompent ï le peuple est trop clairvoyant aujourd'hui. Ne sait-il pas d'ailleurs que toute la France les abandonne, et qu'il n'est pas un homme de conscience, dans quelque position qu'il soit, manufacturier ou prolétaire, citoyen ou soldat, qui ose se proclamer leur défenseur!...
Page 65 - Sans doute des législateurs philanthropes < ne souillent point le code d'une nation par l'établisse« ment de la peine de mort; mais, pour un tyran, si elle « n'existait pas, il faudrait l'inventer Je déclare que « quiconque ne pense pas comme Caton , n'est pas digne « d'être républicain. Je condamne Louis à la mort : je « demande qu'il la subisse dans les vingt-quatre heures.
Page 69 - Ce sont là les dieux de la patrie ; nos dieux, à nous, sont les dieux de ses maîtres, la Fidélité et l'Honneur. Je vous le dis en vérité, depuis la séduction de la première femme par le Serpent, il n'ya point eu de séduction plus effrayante que celle-là.