Sitôt que l'homme pense un peu attentivement à la Divinité, il sent une certaine douce émotion de cœur, qui témoigne que Dieu est Dieu du cœur humain ; et jamais notre entendement n'a tant de plaisir qu'en cette pensée de la Divinité, de laquelle... Oeuvres de Fénélon - Page 202by François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1820Full view - About this book
| Onésime Leroy - Imitatio Christi - 1841 - 436 pages
...attentivement à la Divinité , il sent une certaine douce émotion de cœur qui témoigne que Dieu est Dieu de cœur humain , et jamais notre entendement n'a tant...philosophes, vaut mieux que la plus grande des autres choses Que si quelque accident épouvante notre cœur, soudain il recourt à la divinité , avouant que quand... | |
| Saint Francis (de Sales) - 1851 - 648 pages
...une certaine douce esmotion do cœur , qui tesmoigne que Dieu est Dieu du cœur humain; jamais nostre entendement n'a tant de plaisir qu'en cette pensée de la Divinité, de la» quelle la moindre cogneissance, comme dit le prince des philosophes, vaut mieux que la plus grande... | |
| Saint Francis (de Sales) - 1882 - 444 pages
...DIEU ET L'HOMME. Sitôt que l'homme pense un peu attentivement à la Divinité, il sent une certaine douce émotion de cœur, qui témoigne que Dieu est...cette pensée de la Divinité, de laquelle la moindre connaissance, comme dit le prince des philosophes , vaut mieux que la plus grande des autres choses... | |
| Charles Freppel - Preaching - 1893 - 412 pages
...quelques phrases : « Si tôt que l'homme pense un peu attentivement à la divinité, il sent une certaine douce émotion de cœur qui témoigne que Dieu est Dieu du cœur humain ; jamais notre entendement n'a tant de plaisir qu'en cette pensée de la divinité, de laquelle la... | |
| Laurence Devillairs - God - 2004 - 356 pages
...en refusant le « schématisme de l'analogie » que constitue le mystère de l'Incarnation : (...) jamais notre entendement n'a tant de plaisir qu'en cette pensée de la Divinité (...). Notre âme est spirituelle (...): en quoi elle ressemble à Dieu (...). Mais, ô Dieu éternel... | |
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