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Bonté de Dieu, voyez Sageffe de Dieu.

Bornes. Ce que c'eft de ne pas fe renfermer dans fes juftes bornes felon la mesure du don qu'on a reçû,

CANTIQ

C

ANTIQUES, voyez Pseaumes.

365

ibid

Centenier de l'Evangile, Jugement qu'on feroit de fa conduite par le récit de S. Luc, 411. Sincérité de fon fentiment, Champ de Dieu. Sa deftinée. Charité (la). Union de laquelle elle tire tous les motifs, & à laquelle elle dirige tous fes devoirs, 68, Voyez Monde (le). Tout y eft fincére, 341. Déguifemens fecrets que nous devons craindre dans fon exercice, ibid & f. Ce n'eft pas affez pour elle de fouffrir en paix les mauvais traitemens des ennemis, elle demande encore à en triompher par fes bienfaits, 408 & f. Ses fentimens & fes effets, 409. Sa durée & son étendue, 419 &f. Quelle eft la nôtre, fi nous la cherchons ailleurs que dans les devoirs équivoques, 426. Combien il est dangereux de s'en figurer une fans rigueurs, 445 fuiv. Cas où la charité n'eft pas moins charité quand elle eft févére que quand elle eft douce, 446. Comment elle unit ceux qu'elle aime de l'union la plus parfaite & la plus indiffoluble, 462

539

Devoir de charité dont perfonne ne doit se croire difpenfé, 504. Son étendue doit occuper toutes les parties de notre vie, 534. Jusqu'à quand elle ne doit point ceffer d'agir, Chofes. Combien il eft utile de nous fixer à la véritable idée des chofes, 368 & f. Chrétiens. Comment la plupart deviennent semblables aux Juifs groffiers, & fe rendent J. C. inutile, 214&f Différence de leurs mérites & de leur conduite, 217 & s. Où ils doivent chercher la caufe de leur perte, 218. Combien il y en a

aufquels on pent dire: Levez-vous, foyez éclairés,
259. Image de la vie d'une infinité, 272 & suiv.
Réflexion qu'on leur a fouvent fait faire, 278.
Grand fujet de leur condamnation, 280. Pour-
quoi la plupart des Chrétiens ceffent de voir l'É-
toile que tous ont vûe dans l'orient de leur vie,
laquelle les conduifoit à J. C. 289. &. La plû
part font autant Juifs que les Juifs même, par leur
eftime & leur paffion pour les biens du temps,
294. Elprit tout autre que celui de la foi qui ré-
gne parmi eux, 304. Raifon que l'on a de les ex-
horter à fe bannir des compagnies du fiécle, 355,
Tout ce qui regarde les Chrétiens ne doit point
être régardé comme étranger au vrai Chrétien,
362 &. Motifs & réflexions plus particulieres
pour un Chrétien, 369&f. Comment ils devien-
nent plus miférables & plus dignes de condamna-
tion, 451. Il fe trouve au fond de leur cœur cer-
tain préjugé de falut qui fait qu'ils en préfument,
lors même qu'ils ont tout fujet d'en défefpérer,
452. Ce que c'est que d'être Chrétien, ibid. Quel
doit être leur unique foin, 470. Pourquoi l'on
eft fi peu Chrétien, 472. Comment on s'apperçoit
qu'il y en a de mauvais, 479 & s. Quel est le vrai
Chrétien, 494 &f. Leur aveuglement fur ce
qu'ils devroient favoir, 18. Penfee bizarre, mais
très-criminelle pour un Chrétien dans quelque
condition qu'il foit, 519. Quand on cefle d'être
Chrétien dans l'efprit,
Chriftianifme. Ce qui fait la différence entre l'efprit
du Chriftianifme & celui du Siécle, 340. Ce que
le Chriftianisme nous apprend de plus aimable &
de plus touchant fur les vûes de Dieu quant à fes
Elús,363 &f. A quoi, fi on l'entend bien, fa
perfection tend au fond, 450 & Comment il
appelle tous les hommes à la paix, 466. Ce qu'il
eft; étude qu'on en doit faire, 472. Ce qui forme
fon efprit,
Circoncifion (la), Quel en étoit l'engagement, 239

522

493

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Cœur. Quand le nôtre eft fincérèment avec Dieu,
233 Tous les motifs fe réunissent pour tou.
cher un cœur à qui la vérité vient de découvrir les
égaremens, 292. Ce qui fait que notre cœur fe
révolte contre Dieu,

359

Commandemens. Fous font renfermés dans celui de
l'amour,

Commandement, voyez Obéissance.

435

Conduite. Efprit qui domine plus ou moins pour la
conduite. 314. Où nous devons puifer les régles
de notre conduite,

471

Confiance. Combien nous trouvons de raisons en
nous-mêmes d'avoir une confiance parfaite en
Dieu,
459 & S.
Confcience. Doù vient le cri qu'elle nous fait enten-
dre malgré nous, 18. Qu'on s'en forme une favo
rable à fes defirs, pour vivre en paix, 19&f. La
confcience la plus en paix ne doit pas infpirer la
fécurité, 156. Voyez Devoirs.
Confolations, voyez, Senfibilité.
Converfations, Fruit de la pieufe,
Converfions. Foule de merveilles dans l'ouvre d'une
converfion qui n'a quelquefois rien d'éclatant au
dehors, 204 &f. Caufe la plus ordinaire de la
rareté des converfions durables, 306. La conver-
ffon la plus fincéré après les grandes paffions,
n'opére pas un renouvellement parfait de l'hom
me 377 Source de celles qui réjouiffent le
Ciel,

·&

Coupables. Ce qui nous rend tels,

242

513

339

Courage. Ce que nous devons faire lorfqu'il nous
manque, & que nous ne fentons point là joże
la ferveur & la paix avec laquelle il faut fervir
Dieu,
'371 S.
Course. Le temps de courir eft celui de toute la vie,
532: Combien peu courent pour remporter le
prix,
Craintes. Surquoi nous ne devons ou devons mefu-
xer les nôtres, 6. Celle dont l'ame fidéle doit

ibid.

trembler, 162. Il faut beaucoup craindre de for
même, & tout espérer de Dieu,
164
Créatures. Combien il nous eft avantageux de nous
féparer d'elles,
147 & f.
Culte. Quel eft le fond du vrai culte. que nous de-
vons à Dieu, 299 S. Celui que J. C. enfei
gne à fes Difciples, 300 & S. Dispositions qui
Font, en cette vie, tout notre culte, 309 &f.
Ce qui en est tout l'appareil extérieur & fenfible
fans elles, 310&f. D'où le tirent tous les de-
Noirs du culte dû à Dieu, & toutes les fources de
la morale,
Cupidité (la). Elle comprend tous les defirs du
monde
194 s.
Curiofité. Combien eft vaine celle de rechercher s'il
s'agit dans la prédiction de J. C. de la ruine de
Jérufalem, ou de celle de l'Univers, 37 &S.
Voyez Hiftoire.

D

523

E' CENCE Eccléfiaftique, en quoi elle con-

Dafte

24

Découragement, voyez Alternatives.
Défauts, qui multipliés, défigurent l'ame aux yeux
de Dieu, & déshonorent la piété devant les hom-
mes, 394. Ce qu'il y a de plus dangereux dans
ces défauts
395
Déférences mutuelles, à quoi réduites par la cor-
ruption du fiècle,
352
Défiances. Quand nous comprenons mieux combien
nos défiances font déraisonnables, & nos idées
fur la Puiffance de Dieu font imparfaites,458 &ƒ.
Dégoûts, voyez Alternatives. Répugnances.
Déréglemens & Excès. Sources des nôtres,
Defirs. Quel doit être le grand objet des nôtres,
227&f. Ordre que nous devons mettre dans les
nôtres, 303f. Voyez Pensées.

Défordre. Ce qui le fait en nous,

440

528 f.

7

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Devoirs. Étendue des nôtres envers nous, 250. Ce
qu'on peut dire à ceux qui vivent dans l'ignorance
de leurs devoirs, & fe tranquillifent dans le mau-
vais état de leur confcience, 271. Tout doit nous
paroître digne de toute attention, quand il s'agit
de nos devoirs, 322. Ceux aufquels on fe croit in-
difpenfablement obligé, à proportion qu'on a des
Jiaifons plus étroites, 363. Par qui nos devoirs
nous font impofés, 413. Ils doivent être remplis
avec ordre, ibid & f. Les devoirs extérieurs n'o-
bligent pas toujours, ni pour toujours, 419&f.
Le détail des devoirs de la juftice eft fans bornes,
419f. Ceux que l'on regarde comme de grands
facrifices, 504 &f. Pourquoi, 5c5. Pourquoi on
néglige les petits devoirs,
524
Dévotions arbitraires. Les fauffes; fouvent plus cou-

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rues que celles tirées du fonds de la Religion, 248
Dieu. Quand fa main eft redoutable, 12. Que fon
grand deffein eft de tout réduire à fon unité, 67.
Fin qu'il s'eft propofée en nous afsujettissant à
l'ufage des alimens, 28 f. Voix qui nous crient
d'appaifer Dieu irrité contre nous, 159. Pour
quoi il nous fait connoître fa colere, ibid. Of.
Comment on juge de Dieu, 163. Il nous parle
partout de tout ce qui nous fait connoître ce qu'il
eft, & de ce que nous lui devons, 181. Dieu ne
nous appelle pas, parce que nous fommes justes,
mais afin que nous le devenions, 188. Il ne nous
donne point de connoiffances inutiles ; fi ce qu'il
y a de merveilleux dans les témoignages que Dieu
rend de lui-même, excite quelquefois notre cu-
riofité, ce qu'il y a d'intéreffant ne nous laiffe que
trop fouvent dans notre indolence, 191 & fuiv.
Voyez Monde. Trait bien marqué de sa bonté,
265&f. Tout plaît à Dieu dans l'homme, quand
ilen a le cœur, 309. Ce qui nous rend agréables
à Dieu, 366. Son inaction apparente déconcerte
ceux qui fouffrent, 442 f. Ce qui nous fera con.

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