Lucien Bonaparte et ses mémoires, 1775-1840: d'après les papiers déposés aux archives étrangères et d'autres documents inédits ...Charpentier, 1883 |
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... SIRE , « En quittant Rome , il y a quatre mois , afin de me placer avec ma famille au delà du cordon de l'épidé- mie ... Sire , me serait bien « < précieuse , car si les événements m'ont exclu de la << famille politique des princes ...
... SIRE , « En quittant Rome , il y a quatre mois , afin de me placer avec ma famille au delà du cordon de l'épidé- mie ... Sire , me serait bien « < précieuse , car si les événements m'ont exclu de la << famille politique des princes ...
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... infâmes que j'étais menacé de recevoir . Je déposai tout espoir de rentrer dans la carrière publique , et j'écrivis à l'empereur la lettre suivante : A Sa Majesté l'empereur et roi . <<< SIRE , LUCIEN BONAPARTE EN ITALIE .
... infâmes que j'étais menacé de recevoir . Je déposai tout espoir de rentrer dans la carrière publique , et j'écrivis à l'empereur la lettre suivante : A Sa Majesté l'empereur et roi . <<< SIRE , LUCIEN BONAPARTE EN ITALIE .
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... SIRE , De Pesaro , le ... « Je prie Votre Majesté d'agréer mes remerciements pour les paroles de bienveillance qu'elle a bien voulu « dire au prince Joseph à mon sujet : encouragé par < « < cette bienveillance , je prends la liberté de ...
... SIRE , De Pesaro , le ... « Je prie Votre Majesté d'agréer mes remerciements pour les paroles de bienveillance qu'elle a bien voulu « dire au prince Joseph à mon sujet : encouragé par < « < cette bienveillance , je prends la liberté de ...
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... Sire , une dignité qui mettrait en évidence . « la défaveur qui pèse sur la plus chère moitié de moi- << même m'avilirait à mes propres yeux . Un titre que je « ne pourrais point partager avec la mère de mes enfants << serait un don ...
... Sire , une dignité qui mettrait en évidence . « la défaveur qui pèse sur la plus chère moitié de moi- << même m'avilirait à mes propres yeux . Un titre que je « ne pourrais point partager avec la mère de mes enfants << serait un don ...
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... SIRE , Pesaro , mai 1805 . « J'attendais une heureuse réponse à la dernière lettre « que j'ai eu l'honneur d'écrire à Votre Majesté , et je << reçois une dépêche du ministre Talleyrand qui me << propose d'anéantir le contrat qui ...
... SIRE , Pesaro , mai 1805 . « J'attendais une heureuse réponse à la dernière lettre « que j'ai eu l'honneur d'écrire à Votre Majesté , et je << reçois une dépêche du ministre Talleyrand qui me << propose d'anéantir le contrat qui ...
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Common terms and phrases
alliés Alquier anglaise armée arrivée assez bataille de Ligny Bourbons Canino cardinal Fesch Cent-Jours Chambre chant Charlemagne Charlotte Bonaparte chef cher chose citoyens comte consul Corse demande désire devait devoir divorce enfants ennemis eût famille feld-maréchal femme fille fils Fouché frère général gouvernement guerre hommes impériale Italie j'ai j'avais jamais Jérôme Jérôme Bonaparte Joseph Bonaparte jours juin l'armée l'em l'empe l'empereur l'ennemi l'État l'Europe l'île d'Elbe Lætitia Bonaparte laisser lettre LITTA Louis XVIII Lucien Bonaparte madame Jouberthon madame Lætitia madame Lucien Majesté mariage mars ment Milan ministre mois monarchie mort Murat n'avait n'était Naples Napoléon Napoléon Bonaparte nation officiers pape passé passeports patrie Pauline pense personne peuple Pie VII poème politique Porto-Ferrajo position pourrait pouvait pouvoir premier prince Joseph princesse de Canino puissances quitter raison rendre République reste reur rien Rome s'était s'il sentiments sera seul Sire Somaglia sort souverain Suisse Talleyrand tion trône troupes trouve Waterloo
Popular passages
Page 171 - ... la sainteté et le respect des lois en les faisant dépendre, non des principes sacrés de la justice, de la nature des choses et de la justice civile, mais seulement de la volonté d'une assemblée composée d'hommes étrangers à la connaissance des lois civiles, criminelles, administratives, politiques et militaires ? Lorsqu'on est appelé à régénérer un état , ce sont des principes constamment opposés qu'il faut suivre.
Page 339 - ... voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 175 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 176 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 78 - Gorfou sans le 14e, et que vous avez fait exécuter ponctuellement les ordres que je vous ai donnés. Vous avez une singulière manière de faire. Vous tenez vos troupes dans les lieux où elles sont inutiles, et vous laissez les points les plus importants sans défense. — Votre femme est venue me voir hier. Je l'ai trouvée si bien portante que j'ai été scandalisé qu'elle ne partît point, et je le lui ai dit, car je suis accoutumé à voir les femmes désirer d'être avec leurs maris.
Page 142 - Pour le pape, je suis Charlemagne, parce que, comme Charlemagne, je réunis la couronne de France à celle des Lombards et que mon empire confine avec l'Orient. J'entends donc que l'on règle avec moi sa conduite sur ce poiat de vue.
Page 338 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale , je comptais sur la réunion de tous les efforts , de toutes les volontés , et le concours de toutes les autorités nationales; j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi.
Page 487 - L'issue semblait dépendre de l'arrivée des troupes anglaises, ou de celles du 4* corps prussien. En effet , l'arrivée de cette division aurait donné au feld-maréchal les moyens de faire immédiatement, avec son aile droite , une attaque dont on devait attendre un grand succès. Mais on apprit que la division anglaise destinée à nous appuyer , était violemment attaquée par un corps de l'armée française , et qu'elle ne se maintenait qu'avec une extrême difficulté dans sa position aux Quatre-Bras.
Page 176 - V. Les duchés de Parme, Plaisance et Guastalla seront donnés en toute propriété et souveraineté à SM l'impératrice MarieLouise. Ils passeront à son fils et à sa descendance en ligne directe. Le prince son fils prendra , dès ce moment , le titre de prince de Parme, Plaisance et Guastalla.
Page 149 - Saint-Ange avec les personnes qui voudront m'accom« pagner. On ne tirera pas un seul coup de fusil, parce « que j'ai en horreur l'effusion du sang; mais il faudra « que votre général fasse briser les portes. Je me placerai « à l'entrée du fort ; les troupes seront obligées de passer « sur mon corps, et l'univers chrétien saura que l'empe« reur a fait fouler aux pieds celui qui l'a sacré.