La Critique philosophique, Volume 10Bureau de la Critique philosophique., 1881 - Philosophy |
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... sociales dues aux accidents moléculaires d'un genre analogue . C'est une vérité des plus banales que les intelligences humaines d'un ordre tout simple sont très bornées ( are very literal ) . Elles sont esclaves de l'habitude , faisant ...
... sociales dues aux accidents moléculaires d'un genre analogue . C'est une vérité des plus banales que les intelligences humaines d'un ordre tout simple sont très bornées ( are very literal ) . Elles sont esclaves de l'habitude , faisant ...
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... sociale . A ce titre seul il jouira de la considéra- tion , du respect , de la faveur publique et produira tous les bons fruits . qu'on peut en attendre . » CH . DELESCLUZE . ( 1 ) Cette lettre est curieuse et méritait d'être mise sous ...
... sociale . A ce titre seul il jouira de la considéra- tion , du respect , de la faveur publique et produira tous les bons fruits . qu'on peut en attendre . » CH . DELESCLUZE . ( 1 ) Cette lettre est curieuse et méritait d'être mise sous ...
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... sociale se met par une extension graduelle du droit de suffrage à la merci de classes qui autrefois n'influaient en rien sur la composition du Parlement ; et malgré tout ce qu'on dit de l'amour de l'inégalité , naturel au peuple anglais ...
... sociale se met par une extension graduelle du droit de suffrage à la merci de classes qui autrefois n'influaient en rien sur la composition du Parlement ; et malgré tout ce qu'on dit de l'amour de l'inégalité , naturel au peuple anglais ...
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... sociale , en d'autres termes , l'homme d'État anglais admet le principe même du suffrage universel qu'il renonce à défendre au point de vue abstrait des droits de l'homme et du citoyen . Ce n'est pas à dire qu'il entende proposer jamais ...
... sociale , en d'autres termes , l'homme d'État anglais admet le principe même du suffrage universel qu'il renonce à défendre au point de vue abstrait des droits de l'homme et du citoyen . Ce n'est pas à dire qu'il entende proposer jamais ...
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... sociale de l'An- gleterre ; quand on n'a pas , pour être rassuré sur ce dernier point , de meilleures raisons que l ' « amour de l'inégalité » dont le peuple anglais a pu jusqu'ici donner des marques , il faut avouer que la position que ...
... sociale de l'An- gleterre ; quand on n'a pas , pour être rassuré sur ce dernier point , de meilleures raisons que l ' « amour de l'inégalité » dont le peuple anglais a pu jusqu'ici donner des marques , il faut avouer que la position que ...
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absolument Assemblées nationales attributs catégories causalité cause causes finales Chambre choses cogito Comte conception Condorcet Congrès connaissance conscience conséquent Constitution Constitution de 1793 CRITIQUE PHILOSOPHIQUE POLITIQUE croyance démocratie députés Descartes déterminisme Dieu dire distinction division doctrine donner électeurs électoral Félix Pyat force forme Gambetta générale gouvernement Hodgson hommes humaine idées infini kabbale Kant l'Assemblée l'esprit l'État l'existence l'histoire l'homme l'idée l'infini l'unité légal législatif Leibniz liberté libre logique lois Louis Blanc majorité mandat mandats impératifs manière ment métaphysique méthode monde morale Muiron nation nationale nature nécessaire nombre objets panthéisme pensée perception perfection peuple phénomènes physique PILLON positive positivisme possible pouvoir premier principe progrès propre Proudhon psychologie qu'une question raison rapport réelle religieux Renouvier représentation républicain République révision rien Saint-Just Saint-Simon science scientifique scrutin de liste sens sentiment serait seulement simple sociale société SOMMAIRE DU NUMÉRO sorte Spinoza substance supposer système théisme théorie tion uchroniques universel vérité volonté vote vrai
Popular passages
Page 244 - Cromwell allait ravager toute la chrétienté; la famille royale était perdue, et la sienne à jamais puissante, sans un petit grain de sable, qui se mit dans son uretère. Rome même allait trembler sous lui ; mais ce petit gravier s'étant mis là, il est mort, sa famille abaissée, tout en paix, et le roi rétabli «. 8.
Page 375 - Mais aussitôt après je pris garde que , pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et , remarquant que cette vérité : Je pense , donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 329 - Nous connaissons qu'il ya un infini, et ignorons sa nature. Comme nous savons qu'il est faux que les nombres soient finis, donc il est vrai qu'il ya un infini en nombre. Mais nous ne savons ce qu'il est : il est faux qu'il soit pair, il est faux qu'il soit impair, car, en ajoutant l'unité, il ne change point de nature ; cependant c'est un nombre, et tout nombre est pair ou impair (il est vrai que cela s'entend de tout nombre fini).
Page 110 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessure.
Page 208 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent ou la précipitent : tous les accidents sont soumis à ces causes; et, si le hasard d'une bataille, c'est-à-dire une cause particulière, a ruiné un État, il y avait une cause générale qui faisait que cet Etat devait périr par une seule bataille ; en un mot, l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers.
Page 377 - ... lorsque quelqu'un dit: Je pense, donc je suis, ou j'existe, il ne conclut pas son existence de sa pensée comme par la force de quelque syllogisme, mais comme une. chose connue de soi; il la voit par une simple inspection de l'esprit.
Page 17 - Quand les philosophes eurent reconnu l'absurdité de ces fables, sans avoir acquis néanmoins de vraies lumières sur l'histoire naturelle, ils imaginèrent d'expliquer les causes des phénomènes par des expressions abstraites, comme essences et facultés, expressions qui, cependant, n'expliquaient rien, et dont on raisonnait comme si elles eussent été des êtres, de nouvelles divinités substituées aux anciennes. On suivit ces analogies et on multiplia les facultés pour rendre raison de chaque...
Page 46 - En effet, j'expérimente déjà que ma connaissance s'augmente et se perfectionne peu à peu; et je ne vois rien qui puisse empêcher qu'elle ne s'augmente ainsi de plus en plus jusqu'à l'infini, ni aussi pourquoi, étant ainsi accrue et perfectionnée, je ne pourrais pas acquérir par son moyen, toutes les autres perfections de la nature divine...
Page 21 - ... point, on ne peut pas feindre néanmoins que son idée ne me représente rien de réel, comme j'ai tantôt dit de l'idée du froid. Elle est aussi fort claire et fort distincte, puisque tout ce que mon esprit conçoit clairement et distinctement de réel et de vrai, et qui contient en soi quelque perfection, est contenu et renfermé tout entier dans cette idée.
Page 158 - ... instruire la masse entière d'un peuple, de tout ce que chaque homme a besoin de savoir pour l'économie domestique, pour l'administration de ses affaires, pour le libre développement de son industrie et de ses facultés, pour connaître ses droits, les défendre et les exercer; pour être instruit de ses devoirs, pour pouvoir les bien remplir, pour juger ses ac- so lions et celles des autres d'après ses propres lumières, et n'être étranger à aucun des sentiments élevés ou délicats qui...