Histoire de la conquête de l'Angleterre par les Normands: de ses causes et de ses suites jusqu'à nos jours, en Angleterre, en Écosse, en Irlande et sur le continent, Volume 3

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 338 - The tones of hopeless sorrow ring.] " My hounds they all go masterless ; My hawks they flee from tree to tree ; My younger brother will heir my land ; Fair England again I'll never see...
Page 334 - A lor!» d'ambas las partz et auch ennir chavals vochs per l'ombratge, et auch cridar: «Aidatz!, aidatz!» e vei chazer per los fossatz paucs e grans per l'erbatge, e vei los mortz que pels costatz an los tronzos ab los cendatz.
Page 341 - And quickly hied he down the stair ; Of fifteen steps he made but three ; He's ta'en his bonny love in his arms, And kist, and kist her tenderlie.
Page 344 - And bonny will the Hollans boats Come rowin' till your hand. " Ye set your milk-white foot on board, Cry, ' Hail ye, Domine !' And I will be the steerer o't, To row you o'er the sea.
Page 190 - Regnault s'arma dans l'avant-cour, et, prenant une hache des mains d'un charpentier qui travaillait, il frappa contre la porte pour l'ouvrir ou la briser. Les gens de la maison , entendant les coups de hache, supplièrent le primat de se réfugier dans l'église, qui communiquait à son appartement par un cloître ou une galerie ; il ne le voulut point , et on allait l'entraîner de force, quand un des assistants fit remarquer que l'heure de vêpres avait sonné. » Puisque c'est l'heure de mon devoir,...
Page 339 - All night long no rest she got, Young Beichan's song for thinking on ; She's stown the keys from her father's head, And to the prison strong is gone. And she has...
Page 395 - Quar non es res qu'a pretz aia mestier Que tot no fos el jove rei engles ; E fora miels, s'a dieu plagues razos , Que visques el que mant autre envios Qu'ane no feron als pros mas dol et ira.
Page 338 - IN London was young Beichan born, He longed strange countries for to see ; But he was taen by a savage moor, Who handled him right cruellie ; For he viewed the fashions of that land ; Their way of worship viewed he ; But to Mahound, or Termagant, Would Beichan never bend a knee. So in every shoulder...
Page 84 - ... à proprement parler, il n'y eut plus de nation en Bretagne ; il y eut un parti français et un parti angevin ou normand , qui travaillèrent en sens divers pour l'une ou pour l'autre puissance. La vieille langue nationale , abandonnée par tous ceux qui voulaient plaire à l'un ou à l'autre des deux rois, s'altéra peu à peu dans la bouche des pauvres et des paysans; eux seuls y tinrent fidèlement et la conservèrent , à travers les siècles, avec la ténacité de mémoire et de volonté...
Page 98 - Les harnais de ses chevaux étaient couverts d'or et d'argent; sa vaisselle était magnifique, et il tenait table ouverte pour les personnes de haut rang. Ses pourvoyeurs faisaient venir de loin , à grands frais , les choses les plus rares et les plus délicates. Les comtes et les barons tenaient à honneur de lui rendre visite, et aucun étranger venant à son hôtel ne s'en retournait sans un présent , soit de chiens ou d'oiseaux de chasse , soit de chevaux ou de riches vêtements.

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