Biographie des lieutenants-généraux, ministres, directeurs-généraux, chargés d'arrondissements, Préfets de la police en France, et de ses principaux agents |
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Page 18
... mort , un cœur qui , pendant sa vie , » avait si fort chéri le couvent . On peut dire qu'il s'y › enterra de son vivant ; car , en 1718 , ayant été fait » garde - des - sceaux et chef des finances , on vit ce grave magistrat , qui ...
... mort , un cœur qui , pendant sa vie , » avait si fort chéri le couvent . On peut dire qu'il s'y › enterra de son vivant ; car , en 1718 , ayant été fait » garde - des - sceaux et chef des finances , on vit ce grave magistrat , qui ...
Page 28
... mort du régent ( 2 décembre 1723 ) , d'Ar- genson conserva auprès du fils les emplois qu'il te- nait de la bienveillance du père ; mais il abandonna la lieutenance - générale de police le 2 janvier 1724 , fonction dans laquelle il avait ...
... mort du régent ( 2 décembre 1723 ) , d'Ar- genson conserva auprès du fils les emplois qu'il te- nait de la bienveillance du père ; mais il abandonna la lieutenance - générale de police le 2 janvier 1724 , fonction dans laquelle il avait ...
Page 31
... mort du marquis de Breteuil lui fit ( 1 ) On a cité le mot suivant de d'Argenson à l'abbé Desfon- taines . Cet abbé se défendait de l'amertume de ses pamphlets par la nécessité où il était de vivre . D'Argenson reprit aussitôt : Je n'en ...
... mort du marquis de Breteuil lui fit ( 1 ) On a cité le mot suivant de d'Argenson à l'abbé Desfon- taines . Cet abbé se défendait de l'amertume de ses pamphlets par la nécessité où il était de vivre . D'Argenson reprit aussitôt : Je n'en ...
Page 35
... mort par son père ( 1 ) . Huit canons anglais , pris à cette ba- taille , furent donnés par le roi au ministre de la guerre , en récompense de ses services ... » D'Argenson s'associa par ses talens à la gloire des guerriers . Par sa ...
... mort par son père ( 1 ) . Huit canons anglais , pris à cette ba- taille , furent donnés par le roi au ministre de la guerre , en récompense de ses services ... » D'Argenson s'associa par ses talens à la gloire des guerriers . Par sa ...
Page 37
... mort de madame de Pom- padour , en 1764 , ses yeux étaient éteints , et les souf- frances cruelles de la goutte tourmentaient tous ses instans . Il mourut le , 22 août , laissant deux fils d'Anne Larcher , sa femme . « Aux lumières de ...
... mort de madame de Pom- padour , en 1764 , ses yeux étaient éteints , et les souf- frances cruelles de la goutte tourmentaient tous ses instans . Il mourut le , 22 août , laissant deux fils d'Anne Larcher , sa femme . « Aux lumières de ...
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Biographie des Lieutenans-Généraux, Ministres, Directeurs-Généraux, Chargés ... Edme-Théodore Bourg No preview available - 2016 |
Common terms and phrases
accusé administration affaires agens Anglès août arrêté avaient avril Bastille Beugnot bientôt Bourbons Bourienne bureau chambre chargé chef comité commissaire commission comte conseil conseil des Cinq-Cents conseiller-d'État conspiration Convention nationale crimes Crosne d'Argenson Dandré Debelleyme Decazes décret Delavau départemens département députés devait devint dévoûment directeur-général Directoire donner Dubois duc de Rovigo époque événemens exercer février fonctions Fouché Franchet gouvernement homme j'ai Jacobins janvier jours jugement juillet juin justice l'administration l'Assemblée l'empereur l'État Lenoir lettre liberté lieutenant de police lieutenant-général de police Louis XVI magistrat maison mars Marville Maubreuil Méhée membre ment Merlin ministre Miot mission mois Mounier n'avait Napoléon Nièvre nommé ordonnance ordres Pasquier pendant personne place police générale politique pouvoir pré préfecture préfet de police premier consul prince prison publique Réal rendit révolution royale s'était Sartine seconde restauration secrets servir Sieyes société sorte Sotin suivant sûreté surveillance talens teurs tion tribunal trouva Vidocq zèle
Popular passages
Page 51 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!
Page 371 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 229 - Le lieu commun où leurs cendres reposeront sera isolé de toute habitation, planté d'arbres sous l'ombre desquels s'élèvera une statue représentant le sommeil. Tous les autres signes seront détruits. ART, VI. — On lira sur la porte de ce champ consacré par un respect religieux aux mânes des morts cette inscription : La mort est un sommeil éternel.
Page 280 - Je dois à mon honneur, je dois à ma famille de ne point souscrire à un jugement qui m'inculpe d'un crime que je ne puis me reprocher; en conséquence je déclare que j'interjette appel à la nation elle-même du jugement de ses, représentants; je donne, par ces présentes, pouvoir spécial à mes défenseurs officieux, et charge...
Page ix - Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double cadenas font fermer les boutiques; Que, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent; Que dans le Marché-Neuf tout est calme et tranquille, Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste et le moins fréquenté Est, au prix de Paris, un lieu de sûreté.
Page 7 - Il y eut quelques émotions * qu'il n'eût été ni prudent ni humain de punir trop sévèrement. Le magistrat les calma, et par la sage hardiesse qu'il eut de les braver, et par la confiance que la populace, quoique furieuse, avait toujours en lui.
Page 231 - Nous le jurons, le peuple sera vengé ; notre courage sévère répondra à sa juste impatience : le sol qui fut rougi du sang des patriotes sera bouleversé ; tout ce que le vice et le crime avaient élevé sera anéanti ; et sur les débris de cette ville superbe et rebelle , qui...
Page 234 - On parle de sensibilité! et nous aussi nous sommes sensibles; les Jacobins ont toutes les vertus, ils sont compatissants, humains1, généreux ; mais tous ces sentiments, ils les réservent pour les patriotes qui sont leurs frères, et les aristocrates ne le seront jamais.
Page 52 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois, Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Page 312 - ... envoyé une expédition au ministre de la guerre, au grand-juge ministre de la justice, et au général en chef gouverneur de Paris. « L'ordre d'exécution ne pouvait être...