Histoire du consulat et de l'empire, faisant suite à l'Histoire de la Révolution française. [With] Atlas, Volume 18Paulin, 1860 - France |
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires allait allemands alliés Anglais Août armées aurait Autrichiens avaient ayant Bavière Beugnot Blacas Bourbons c'était cantons cause Chambres Charte choses coalisées commission comte d'Artois Concordat conduite congrès de Vienne Conseil royal consentement Constitution d'Angoulême Davout décidé déclaration devait duc d'Angoulême duc de Berry duché effet émigrés envers esprits États européen eût fallait finances Fouché frontière fût général gouvernement guerre intérêts jours Juin l'Angleterre l'armée l'Autriche l'avait l'égard l'empereur Alexandre l'Empire l'État l'Europe laisser légation française liberté lord Castlereagh Louis XVIII maison maréchal Soult ment Metternich militaires mille hommes millions ministre Montesquiou Murat n'avait n'était Naples Napoléon négociateurs Octob officiers paix police politique Pologne pouvait présenter presse prince principe projet provinces Prusse Prussiens puissances question refuser rendre résolution reste rétablissement réunis Rhin rien royaume Russie s'en s'était Saxe Sénat sentiments serait seule soldats songé sorte souverains surtout Talleyrand territoire tion traité trône troupes Tuileries Vistule Vitrolles voulait
Popular passages
Page 270 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Page 186 - Le rang que la France a toujours occupé parmi les nations n'a été transféré à aucune autre, et lui demeure sans partage. Tout ce que les autres États acquièrent de sécurité accroît également la sienne, et par conséquent ajoute à sa puissance véritable.
Page 187 - C'est les yeux fixés sur cet immortel ouvrage, c'est pénétré des sentiments qui le dictèrent, c'est guidé par l'expérience , et secondé par les conseils de plusieurs d'entre vous , que j'ai rédigé la Charte constitutionnelle dont vous allez entendre la lecture , et qui asseoit sur des bases solides la prospérité de l'Etat. « Mon chancelier va vous faire connaître avec plus de détail mes intentions paternelles.
Page 40 - ... royaume, jusqu'à l'arrivée du roi votre auguste frère. Notre respectueuse confiance ne peut mieux honorer l'antique loyauté qui vous fut transmise par vos ancêtres. » Monseigneur, le Sénat, en ces moments d'allégresse publique, obligé de rester en apparence plus calme sur la limite de ses devoirs, n'en est pas moins pénétré des sentiments universels.
Page 185 - ... marques de son amour, je me félicite d'être devenu le dispensateur des bienfaits que la divine Providence daigne accorder à mon peuple.
Page 336 - ... de l'ivresse. Les troupes remises en ligne, Napoléon fit une distribution de croix d'honneur parmi les vieux soldats qui, cinq ans auparavant, s'étaient trouvés sur la même place. A leur tour, les principaux magistrats de la Cisalpine en furent décorés par lui. Puis, avec Joséphine, il posa la première pierre d'un monument destiné à perpétuer le souvenir de la bataille de Marengo. Après quoi, l'empereur, l'impératrice, les ambassadeurs, les magistrats, le peuple et l'armée, tout...
Page 187 - J'étais né, je me flattais, de rester toute ma vie le plus fidèle Sujet du meilleur des Rois; et j'occupe aujourd'hui sa place!
Page 186 - France ne sera plus le seul ouvert aux productions de son sol et de son industrie. Celles dont l'habitude lui a fait un besoin, ou qui sont nécessaires aux arts qu'elle exerce, lui seront fournies par les possessions qu'elle recouvre. Elle ne sera plus réduite à s'en priver, ou à ne les obtenir qu'à des conditions...
Page 40 - ... de France. Trop instruit par le présent et le passé , il désire avec la nation affermir pour jamais l'autorité royale sur une juste division des pouvoirs , et sur la liberté publique , seules garanties du bonheur et des intérêts de tous. » Le Sénat, persuadé que les principes de la...
Page 170 - Toutes les propriétés sont inviolables, sans aucune exception de celles qu'on appelle nationales, la loi ne mettant aucune