Histoire de France depuis les premiers temps jusqu'à nos jours: d'après les sources et les travaux récents, Volume 4Société Bibliographique, 1880 - France |
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Page 59
... Barère , se souvenant que la famille royale et les Girondins étaient encore en prison , pensa que c'était là un digne holocauste à immoler aux mânes de Marat . « Les royalistes demandent du sang , s'écria- CHAP . II . LA CONVENTION 59.
... Barère , se souvenant que la famille royale et les Girondins étaient encore en prison , pensa que c'était là un digne holocauste à immoler aux mânes de Marat . « Les royalistes demandent du sang , s'écria- CHAP . II . LA CONVENTION 59.
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... royalistes demandent du sang , s'écria- t - il à la tribune de la Convention ; nous leur donne- rons celui de Marie - Antoinette , de Brissot , de tous les conspirateurs . Brissot et les royalistes veulent faire périr la Montagne , elle ...
... royalistes demandent du sang , s'écria- t - il à la tribune de la Convention ; nous leur donne- rons celui de Marie - Antoinette , de Brissot , de tous les conspirateurs . Brissot et les royalistes veulent faire périr la Montagne , elle ...
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... royalistes ; mais nous ne devons pas guillotiner l'in . nocent avec le coupable . » Robespierre répondit sè- chement : « Qui vous a dit que l'on avait envoyé à la mort un seul innocent ? A vous en croire , il n'y au- rait donc jamais de ...
... royalistes ; mais nous ne devons pas guillotiner l'in . nocent avec le coupable . » Robespierre répondit sè- chement : « Qui vous a dit que l'on avait envoyé à la mort un seul innocent ? A vous en croire , il n'y au- rait donc jamais de ...
Page 72
... royalistes , qui commençaient à relever la tête , et les Jacobins , qui refusaient de la baisser , protestèrent , pour des raisons différentes , contre une pareille mesure . Le 13 vendémiaire , une émeute éclata . Un jeune officier d ...
... royalistes , qui commençaient à relever la tête , et les Jacobins , qui refusaient de la baisser , protestèrent , pour des raisons différentes , contre une pareille mesure . Le 13 vendémiaire , une émeute éclata . Un jeune officier d ...
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... royalistes , se préparaient à ouvrir les hostilités contre le Direc- toire , les premiers , parce qu'ils le trouvaient trop modéré , les seconds trop révolutionnaire . Les patriotes se réunissaient au Panthéon au nombre de plus de ...
... royalistes , se préparaient à ouvrir les hostilités contre le Direc- toire , les premiers , parce qu'ils le trouvaient trop modéré , les seconds trop révolutionnaire . Les patriotes se réunissaient au Panthéon au nombre de plus de ...
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Common terms and phrases
amis armée arriva avaient bataille bientôt Bonaparte Bourdonnaye C'était cabinet Camille Desmoulins Casimir Périer catholiques cent Chambre Charles X chef clergé coalition conseil constitution Convention coup Danton déclara décret députés devant Directoire dit-il doctrines Dumouriez écrivait écrivit-il électeurs élections enfin ennemis esprits évêques foule gauche général Gironde Girondins gouvernement guerre Guizot j'ai Jacobins Jésuites jour journaux l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'État l'Europe l'opposition Larévellière libéraux liberté d'enseignement Louis XVIII Louis-Philippe majorité malheureux Marat maréchal ment mille hommes ministère Mirabeau modérés monarchie Montalembert mort n'avait n'était Napoléon Napoléon Ier paix pape parole passer peuple Polignac politique pouvoir premier consul président prêtres prince prit proclamation projet de loi Prusse Prussiens religieux répondit république résistance reste réussit révolution révolutionnaire Richelieu Robespierre royalistes Russie s'écria s'était sera seul Sieyès situation social société soldats sort Talleyrand tête Thiers tion tribune trône troupes trouva Tuileries victoire Villèle voix vote
Popular passages
Page 46 - Louis était monté sur le trône à vingt ans, et à vingt ans il donna sur le trône l'exemple des mœurs ; il n'y porta aucune faiblesse coupable ni aucune passion corruptrice ; il y fut économe, juste, sévère* ; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. " Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui, il le détruisit ; le peuple demandait l'abolition de la servitude, il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines ; le peuple sollicitait des réformes...
Page 181 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 46 - ... l'abolir lui-même dans ses domaines ; le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle pour l'adoucissement du sort des accusés : il fit ces réformes ; le peuple voulait que des milliers de Français, que la rigueur de nos usages avait privés jusqu'alors des droits qui appartiennent aux citoyens, acquissent ces droits ou les recouvrassent : il les en fit jouir par ses lois ; le peuple voulut la liberté; il la lui donna!
Page 247 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leur roi.
Page 20 - Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir, d'une manière convenable, aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres, et au soulagement des pauvres...
Page 198 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 83 - Votre patience, votre courage vous honorent, mais ne vous procurent ni avantage ni gloire. Je vais vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde; vous y trouverez de grandes villes, de riches provinces; vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage?
Page 260 - C'est la passion de la science et du bonheur public; c'est le désir de trouver un moyen de terminer d'une manière douce l'effroyable crise dans laquelle toute la société européenne se trouve engagée, qui m'ont fait tomber dans cet état de détresse.
Page 9 - Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple, et qu'on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes...
Page 132 - Vous avez, à la journée d'Austerlitz, justifié tout ce que j'attendais de votre intrépidité; vous avez décoré vos aigles d'une immortelle gloire. Une armée de cent mille hommes, commandée par les empereurs de Russie et d'Autriche, a été, en moins de quatre heures, ou coupée ou dispersée. Ce qui a échappé à votre fer s'est noyé dans les lacs.