Œuvres complètes de Lamartine: Histoire de la restaurationL'auteur, 1862 |
Common terms and phrases
âme armée armes avaient Bourbons Bourdonnaie Bourmont c'était cabinet Casimir Périer chambre des pairs Chantelauze Charles Charles X charte Chateaubriand chefs clergé cœur collègues combattants comte d'Artois conscience conseil coup d'État cour couronne crime députés devant dévouement dit-il duc d'Angoulême duc d'Orléans duchesse dynastie élections esprit factions famille royale Fayette fidélité force fortune frère garde nationale général gloire gouvernement Grèce guerre hommes Hyde de Neuville jeune jour journaux Kourchid l'armée l'Église l'empire l'esprit l'Europe l'opinion l'opposition Laffitte laisser libéraux liberté Louis XVIII lui-même madame du Cayla main maison maréchal Marmont Martignac ment ministres monarchie mort Mortemart n'avait négociations nistre Odilon Barrot officiers orateur Ottomans palais paroles passions pensée peuple Peyronnet politique populaire pouvait premier presse prince de Polignac publique Ranville règne religieux religion restauration révolution révolutionnaire royauté Russie s'était sacerdotal Saint-Cloud sang secret Semonville sentiment seul soldats tion tribune trône troupes Tuileries Villèle Vitrolles vote XXII
Popular passages
Page 271 - ... de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 310 - D'impérieuses nécessités ne permettent plus de différer l'exercice de ce pouvoir suprême. Le moment est venu de recourir à des mesures qui rentrent dans l'esprit de la Charte, mais qui sont en dehors de l'ordre légal, dont toutes les ressources ont été inutilement épuisées. Ces mesures, sire, vos ministres, qui doivent en assurer le succès, n'hésitent pas à vous les proposer, convaincus qu'ils sont que force restera à justice. Nous sommes avec le plus profond respect, SIRE, De votre...
Page 271 - La charte que nous devons à la sagesse de votre auguste prédécesseur, et dont Votre Majesté a la ferme volonté de consolider le bienfait, consacre comme un droit l'intervention du pays dans la délibération des intérêts publics. Cette intervention devait être...
Page 271 - Entre ceux qui méconnaissent une nation si calme, si fidèle, et nous qui, avec une conviction profonde, venons déposer dans votre sein les douleurs de tout un peuple jaloux de l'estime et de la confiance de son roi, que la haute sagesse de Votre Majesté prononce...
Page 306 - ... manifestent sur presque tous les points du royaume. / Les causes successives qui ont concouru à affaiblir les ressorts du gouvernement monarchique, tendent aujourd'hui à en altérer et à en changer la nature: déchue de sa force morale, l'autorité, soit dans la capitale, soit dans les provinces, ne lutte plus qu'avec désavantage contre les factions...
Page 400 - République nous exposerait à d'affreuses divisions : elle nous brouillerait avec l'Europe. « Le duc d'Orléans est un prince dévoué à la cause de la Révolution. Le duc d'Orléans ne s'est jamais battu contre nous. Le duc d'Orléans était à Jemmapes. Le duc d'Orléans est un roi-citoyen.
Page 433 - Vous aurez donc, en votre qualité de lieutenant général du royaume, à faire proclamer l'avènement de Henri V à la couronne. Vous prendrez d'ailleurs toutes les mesures qui vous concernent pour régler les formes du gouvernement pendant la minorité du nouveau Roi. Ici je me borne à faire connaître ces dispositions : c'est un moyen d'éviter encore bien des maux.
Page 299 - La dernière Chambre des députés a méconnu mes intentions. J'avais droit de compter sur son concours pour faire le bien que je méditais ; elle me l'a refusé ! Comme père de mon peuple , mon cœur s'en est affligé ; comme roi, j'en ai été offensé.
Page 308 - ... sans doute immolés aux vengeances populaires. La presse périodique n'a pas mis moins d'ardeur à poursuivre de ses traits envenimés la religion et le prêtre. Elle veut, elle voudra toujours déraciner, dans le cœur des peuples, jusqu'au dernier germe des sentimens religieux.
Page 146 - Il n'ya plus de Dominique, et nous ne sommes pas non plus des Albigeois. La théocratie de notre temps est moins religieuse que politique ; elle fait partie de ce système de réaction universelle qui nous emporte : ce qui la recommande, c'est qu'elle a un aspect contre-révolutionnaire.