Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1903 |
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... quelque duc , suivi de ses chevaliers et de ses barons , revenant de la chasse , en automne , un beau soir des siècles passés ... PIERRE LOTI . LA SECONDE ABDICATION I LE RETOUR DE L'EMPEREUR A PARIS DANS L'INDE AFFAMÉE . 37.
... quelque duc , suivi de ses chevaliers et de ses barons , revenant de la chasse , en automne , un beau soir des siècles passés ... PIERRE LOTI . LA SECONDE ABDICATION I LE RETOUR DE L'EMPEREUR A PARIS DANS L'INDE AFFAMÉE . 37.
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LA SECONDE ABDICATION I LE RETOUR DE L'EMPEREUR A PARIS I En France , on attendait avec anxiété des nouvelles de l'armée . L'opinion générale était que l'Empereur gagnerait les premières batailles . On croyait , on pariait qu'il serait ...
LA SECONDE ABDICATION I LE RETOUR DE L'EMPEREUR A PARIS I En France , on attendait avec anxiété des nouvelles de l'armée . L'opinion générale était que l'Empereur gagnerait les premières batailles . On croyait , on pariait qu'il serait ...
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... Empereur ; ils le combattaient par tous les moyens en leur pouvoir fausses nouvelles , propos alarmans , chansons ... Empereur et la liberté . Ils redoutaient que le triomphe de la France par l'épée de Napoléon n'eût pour conséquence le ...
... Empereur ; ils le combattaient par tous les moyens en leur pouvoir fausses nouvelles , propos alarmans , chansons ... Empereur et la liberté . Ils redoutaient que le triomphe de la France par l'épée de Napoléon n'eût pour conséquence le ...
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... Empereur . >> Ces sentimens dominaient dans la Chambre . La grande majorité des représentans ne voyaient en Napoléon que le moindre de deux maux . Elle le subissait comme une condition de l'état de guerre ; elle n'était bonapartiste que ...
... Empereur . >> Ces sentimens dominaient dans la Chambre . La grande majorité des représentans ne voyaient en Napoléon que le moindre de deux maux . Elle le subissait comme une condition de l'état de guerre ; elle n'était bonapartiste que ...
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... Empereur qui , selon leurs prévisions , amènerait vite la paix . Ils prirent peur et vendirent . La rente tomba de 56 francs à 53 francs . Mais la Chambre céda à l'entraînement des bons Français . « Aujour- d'hui pour la première fois ...
... Empereur qui , selon leurs prévisions , amènerait vite la paix . Ils prirent peur et vendirent . La rente tomba de 56 francs à 53 francs . Mais la Chambre céda à l'entraînement des bons Français . « Aujour- d'hui pour la première fois ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 351 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement.
Page 350 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 48 - La Chambre se déclare en permanence. Toute tentative pour la dissoudre est un crime de haute trahison; quiconque se rendrait coupable de cette tentative sera traître à la patrie et sur-le-champ jugé comme tel.
Page 370 - Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation...
Page 57 - Français, que tout doit céder à l'amour de la patrie. Retournez vers votre frère; dites-lui que l'assemblée des représentants du peuple attend de lui une résolution qui lui fera plus d'honneur dans l'avenir que ses nombreuses victoires; dites-lui qu'en abdiquant le pouvoir il peut sauver la France qui a fait pour lui de si grands et de si pénibles sacrifices.
Page 60 - Si les amis de l'empereur avaient cm son abdication nécessaire au salut de la France, ils auraient été les premiers à la lui demander. » « — C'est parler en vrai Français, reprit La Fayette.
Page 48 - Lorsque,, pour la première fois, depuis bien des années , j'élève une voix que les vieux amis de la liberté reconnaîtront encore , je me sens appelé à vous parler des dangers de la patrie, que vous seuls à présent avez le pouvoir de sauver.
Page 436 - ... proportions et certains attributs, comme la grâce, la force, la noblesse, la beauté, savamment étudiés chez l'homme et réduits en corps de doctrines, s'appliquaient aussi à ce qui n'était pas l'homme. Il en résultait une sorte d'universelle humanité ou d'univers humanisé, dont le corps humain, dans ses proportions idéales, était le prototype.
Page 43 - La présence de l'ennemi sur le sol national rendra, je l'espère, aux députés le sentiment de leurs devoirs. La nation ne les a point envoyés pour me renverser, mais pour me soutenir. Je ne les crains point. Quelque chose qu'ils fassent, je serai toujours l'idole du peuple et de l'armée. Si je disais un mot, ils seraient tous assommés.
Page 373 - séance que l'ex-empereur fût invité, au nom de la patrie, à quitter la capitale où sa présence ne pouvait plus être qu'un prétexte de trouble et une occasion de danger public1.