Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1903 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 38
... armée . L'opinion générale était que l'Empereur gagnerait les premières batailles . On croyait , on pariait qu'il serait à Bruxelles avant le 30 juin . Malgré ses succès en Espagne , on ne craignait guère Wellington . On disait qu'à ...
... armée . L'opinion générale était que l'Empereur gagnerait les premières batailles . On croyait , on pariait qu'il serait à Bruxelles avant le 30 juin . Malgré ses succès en Espagne , on ne craignait guère Wellington . On disait qu'à ...
Page 39
... armée vendéenne , qui s'était dispersée à la mort de Louis de La Rochejaquelein , se re- formait sous le ... armées de Vendéens et de chouans , il y avait la Chambre . Sans doute , les libéraux n'étaient pas disposés à prendre le fusil ...
... armée vendéenne , qui s'était dispersée à la mort de Louis de La Rochejaquelein , se re- formait sous le ... armées de Vendéens et de chouans , il y avait la Chambre . Sans doute , les libéraux n'étaient pas disposés à prendre le fusil ...
Page 42
... armée ; une dépêche lui fut même envoyée par un courrier extraordinaire pour l'engager à différer son retour . Ce courrier put - il rejoindre l'Empereur ? C'est douteux . En tout cas , l'opinion de ses ministres , dont un au moins lui ...
... armée ; une dépêche lui fut même envoyée par un courrier extraordinaire pour l'engager à différer son retour . Ce courrier put - il rejoindre l'Empereur ? C'est douteux . En tout cas , l'opinion de ses ministres , dont un au moins lui ...
Page 43
... armée bien loin de l'Élysée . L'Empereur revenait à Paris , avait dit Joseph , pour demander de grands pouvoirs à la Chambre . Ces pouvoirs dictatoriaux , Fouché doutait fort qu'on les donnât au souverain vaincu , mais il pensait que ...
... armée bien loin de l'Élysée . L'Empereur revenait à Paris , avait dit Joseph , pour demander de grands pouvoirs à la Chambre . Ces pouvoirs dictatoriaux , Fouché doutait fort qu'on les donnât au souverain vaincu , mais il pensait que ...
Page 45
... armée avait fait des prodiges , la panique l'a prise . Tout a été perdu ... Ney s'est conduit comme un fou ; il m'a fait massa- crer toute ma cavalerie ... Je n'en puis plus ... Il me faut deux heures de repos pour être à mes affaires ...
... armée avait fait des prodiges , la panique l'a prise . Tout a été perdu ... Ney s'est conduit comme un fou ; il m'a fait massa- crer toute ma cavalerie ... Je n'en puis plus ... Il me faut deux heures de repos pour être à mes affaires ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
âme anglais armée assez avaient Beethoven Bénarès blanche Blücher brahmanique c'était cavalerie Chambre chansons chant chevaux chose chrétiens Cochin cœur comte Corneille corps corsaires côté coup d'autres Dante devant dire Donatienne donner doute ÉDOUARD ROD enfans espagnol événemens Fayette femme fille fleurs Fouché française frère général Gneisenau gouvernement heures hommes Hyderabad j'ai jamais jeune jour jusqu'à Katzbach l'armée de Silésie l'Empereur laisser Lawrence Bell Léonard Leslie Stephen Louarn Lucienne M. G. Huszär main mari Maroc matin Maurice ment ministres Mme de Liéven Mme de Staël monde mort musique n'avait n'était Napoléon nationale Noémi palais parler passé Paul Ier pays pensée Perreuse petite peut-être poésie poète politique porte premier presque prince prussien qu'à qu'un question raison Raymond regard religion reste rien rose Russie s'est s'était semble sentimens sentiment serait seul siècle Silésie sociale soir sorte temples terre théâtre tion Tripoli Tripolitaine troupes trouver Venezuela voitures voix volcaniques vrai yeux
Popular passages
Page 351 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement.
Page 350 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 48 - La Chambre se déclare en permanence. Toute tentative pour la dissoudre est un crime de haute trahison; quiconque se rendrait coupable de cette tentative sera traître à la patrie et sur-le-champ jugé comme tel.
Page 370 - Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation...
Page 57 - Français, que tout doit céder à l'amour de la patrie. Retournez vers votre frère; dites-lui que l'assemblée des représentants du peuple attend de lui une résolution qui lui fera plus d'honneur dans l'avenir que ses nombreuses victoires; dites-lui qu'en abdiquant le pouvoir il peut sauver la France qui a fait pour lui de si grands et de si pénibles sacrifices.
Page 60 - Si les amis de l'empereur avaient cm son abdication nécessaire au salut de la France, ils auraient été les premiers à la lui demander. » « — C'est parler en vrai Français, reprit La Fayette.
Page 48 - Lorsque,, pour la première fois, depuis bien des années , j'élève une voix que les vieux amis de la liberté reconnaîtront encore , je me sens appelé à vous parler des dangers de la patrie, que vous seuls à présent avez le pouvoir de sauver.
Page 436 - ... proportions et certains attributs, comme la grâce, la force, la noblesse, la beauté, savamment étudiés chez l'homme et réduits en corps de doctrines, s'appliquaient aussi à ce qui n'était pas l'homme. Il en résultait une sorte d'universelle humanité ou d'univers humanisé, dont le corps humain, dans ses proportions idéales, était le prototype.
Page 43 - La présence de l'ennemi sur le sol national rendra, je l'espère, aux députés le sentiment de leurs devoirs. La nation ne les a point envoyés pour me renverser, mais pour me soutenir. Je ne les crains point. Quelque chose qu'ils fassent, je serai toujours l'idole du peuple et de l'armée. Si je disais un mot, ils seraient tous assommés.
Page 373 - séance que l'ex-empereur fût invité, au nom de la patrie, à quitter la capitale où sa présence ne pouvait plus être qu'un prétexte de trouble et une occasion de danger public1.