Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1903 |
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... ment un bâton , tant la possibilité d'une surprise de la part des hommes ou des bêtes est loin de ma pensée ; et cependant la peur du chevrier me gagne , la peur sombre , la peur de ce qui n'a pas de nom et ne s'exprime pas . J ...
... ment un bâton , tant la possibilité d'une surprise de la part des hommes ou des bêtes est loin de ma pensée ; et cependant la peur du chevrier me gagne , la peur sombre , la peur de ce qui n'a pas de nom et ne s'exprime pas . J ...
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... ment les cartes , absorbé dans sa pensée , son partenaire , le baron de Gérando , leva le regard vers lui . Le visage de Carnot était contracté par la douleur , de grosses larmes roulaient dans ses yeux . Son émotion l'avait trahi . Il ...
... ment les cartes , absorbé dans sa pensée , son partenaire , le baron de Gérando , leva le regard vers lui . Le visage de Carnot était contracté par la douleur , de grosses larmes roulaient dans ses yeux . Son émotion l'avait trahi . Il ...
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... ment pourquoi l'on prendrait une mesure aussi grave , puisque , en raison du danger public , les Chambres ne marchanderaient pas à l'Empereur leur concours dévoué . « Je vous assure , conclut - il , que tout est très tranquille . L ...
... ment pourquoi l'on prendrait une mesure aussi grave , puisque , en raison du danger public , les Chambres ne marchanderaient pas à l'Empereur leur concours dévoué . « Je vous assure , conclut - il , que tout est très tranquille . L ...
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... ment vous déclareriez traître à la patrie quiconque tenterait de dissoudre la représentation nationale ! Qui nous menace ? Qui ? Est - ce le gouvernement ? ... » « C'est la canaille excitée par nos ennemis ! s'exclama tout en feu ...
... ment vous déclareriez traître à la patrie quiconque tenterait de dissoudre la représentation nationale ! Qui nous menace ? Qui ? Est - ce le gouvernement ? ... » « C'est la canaille excitée par nos ennemis ! s'exclama tout en feu ...
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... ment annihilée . Sadowa eût été une victoire pour l'Autriche , au lieu d'être un désastre . On s'est demandé si Benedeck était informé du mouvement de l'armée du prince royal . Les combats précédens de Trautenau , de Nachod , de Skalitz ...
... ment annihilée . Sadowa eût été une victoire pour l'Autriche , au lieu d'être un désastre . On s'est demandé si Benedeck était informé du mouvement de l'armée du prince royal . Les combats précédens de Trautenau , de Nachod , de Skalitz ...
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Common terms and phrases
âme anglais armée assez avaient Beethoven Bénarès blanche Blücher brahmanique c'était cavalerie Chambre chansons chant chevaux chose chrétiens Cochin cœur comte Corneille corps corsaires côté coup d'autres Dante devant dire Donatienne donner doute ÉDOUARD ROD enfans espagnol événemens Fayette femme fille fleurs Fouché française frère général Gneisenau gouvernement heures hommes Hyderabad j'ai jamais jeune jour jusqu'à Katzbach l'armée de Silésie l'Empereur laisser Lawrence Bell Léonard Leslie Stephen Louarn Lucienne M. G. Huszär main mari Maroc matin Maurice ment ministres Mme de Liéven Mme de Staël monde mort musique n'avait n'était Napoléon nationale Noémi palais parler passé Paul Ier pays pensée Perreuse petite peut-être poésie poète politique porte premier presque prince prussien qu'à qu'un question raison Raymond regard religion reste rien rose Russie s'est s'était semble sentimens sentiment serait seul siècle Silésie sociale soir sorte temples terre théâtre tion Tripoli Tripolitaine troupes trouver Venezuela voitures voix volcaniques vrai yeux
Popular passages
Page 351 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement.
Page 350 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 48 - La Chambre se déclare en permanence. Toute tentative pour la dissoudre est un crime de haute trahison; quiconque se rendrait coupable de cette tentative sera traître à la patrie et sur-le-champ jugé comme tel.
Page 370 - Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation...
Page 57 - Français, que tout doit céder à l'amour de la patrie. Retournez vers votre frère; dites-lui que l'assemblée des représentants du peuple attend de lui une résolution qui lui fera plus d'honneur dans l'avenir que ses nombreuses victoires; dites-lui qu'en abdiquant le pouvoir il peut sauver la France qui a fait pour lui de si grands et de si pénibles sacrifices.
Page 60 - Si les amis de l'empereur avaient cm son abdication nécessaire au salut de la France, ils auraient été les premiers à la lui demander. » « — C'est parler en vrai Français, reprit La Fayette.
Page 48 - Lorsque,, pour la première fois, depuis bien des années , j'élève une voix que les vieux amis de la liberté reconnaîtront encore , je me sens appelé à vous parler des dangers de la patrie, que vous seuls à présent avez le pouvoir de sauver.
Page 436 - ... proportions et certains attributs, comme la grâce, la force, la noblesse, la beauté, savamment étudiés chez l'homme et réduits en corps de doctrines, s'appliquaient aussi à ce qui n'était pas l'homme. Il en résultait une sorte d'universelle humanité ou d'univers humanisé, dont le corps humain, dans ses proportions idéales, était le prototype.
Page 43 - La présence de l'ennemi sur le sol national rendra, je l'espère, aux députés le sentiment de leurs devoirs. La nation ne les a point envoyés pour me renverser, mais pour me soutenir. Je ne les crains point. Quelque chose qu'ils fassent, je serai toujours l'idole du peuple et de l'armée. Si je disais un mot, ils seraient tous assommés.
Page 373 - séance que l'ex-empereur fût invité, au nom de la patrie, à quitter la capitale où sa présence ne pouvait plus être qu'un prétexte de trouble et une occasion de danger public1.