Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1903 |
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... regard . Cependant , mon chevrier n'a plus peur , ayant constaté que tous ces personnages de pierre étaient aussi immobiles pendant la nuit qu'en plein jour . En sortant de cette grotte , sa lan- terne éteinte , délibérément il ...
... regard . Cependant , mon chevrier n'a plus peur , ayant constaté que tous ces personnages de pierre étaient aussi immobiles pendant la nuit qu'en plein jour . En sortant de cette grotte , sa lan- terne éteinte , délibérément il ...
Page 36
... regard est grave . Derrière eux , sous l'abri de chaume , on voit luire , bien nets et bien en ordre , les ustensiles de cuivre qui servent à leurs ablutions de chaque matin et à leur diner frugal . Et au - dessus de leur tête , les ...
... regard est grave . Derrière eux , sous l'abri de chaume , on voit luire , bien nets et bien en ordre , les ustensiles de cuivre qui servent à leurs ablutions de chaque matin et à leur diner frugal . Et au - dessus de leur tête , les ...
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... regards . » Ce jour - là étant un dimanche , la foule se pressait dans les rues et sur les promenades . Des groupes se formaient pour entendre la lecture de l'Extrait du Moniteur , imprimé sur une feuille volante que l'on distribuait ...
... regards . » Ce jour - là étant un dimanche , la foule se pressait dans les rues et sur les promenades . Des groupes se formaient pour entendre la lecture de l'Extrait du Moniteur , imprimé sur une feuille volante que l'on distribuait ...
Page 42
... regard vers lui . Le visage de Carnot était contracté par la douleur , de grosses larmes roulaient dans ses yeux . Son émotion l'avait trahi . Il se leva en jetant les cartes - et dit d'une voix étouffée : « Oui , 42 REVUE DES DEUX MONDES .
... regard vers lui . Le visage de Carnot était contracté par la douleur , de grosses larmes roulaient dans ses yeux . Son émotion l'avait trahi . Il se leva en jetant les cartes - et dit d'une voix étouffée : « Oui , 42 REVUE DES DEUX MONDES .
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... regard , le traître , sans leur laisser le temps de prendre un parti , vint à la tribune et dit négligemment que « les ministres n'avaient rien à ajouter à leurs rapports antérieurs . » Prenant acte de cette déclaration évasive , Jay ...
... regard , le traître , sans leur laisser le temps de prendre un parti , vint à la tribune et dit négligemment que « les ministres n'avaient rien à ajouter à leurs rapports antérieurs . » Prenant acte de cette déclaration évasive , Jay ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 355 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement.
Page 354 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 52 - La Chambre se déclare en permanence. Toute tentative pour la dissoudre est un crime de haute trahison; quiconque se rendrait coupable de cette tentative sera traître à la patrie et sur-le-champ jugé comme tel.
Page 374 - Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation...
Page 61 - Français, que tout doit céder à l'amour de la patrie. Retournez vers votre frère; dites-lui que l'assemblée des représentants du peuple attend de lui une résolution qui lui fera plus d'honneur dans l'avenir que ses nombreuses victoires; dites-lui qu'en abdiquant le pouvoir il peut sauver la France qui a fait pour lui de si grands et de si pénibles sacrifices.
Page 64 - Si les amis de l'empereur avaient cm son abdication nécessaire au salut de la France, ils auraient été les premiers à la lui demander. » « — C'est parler en vrai Français, reprit La Fayette.
Page 52 - Lorsque,, pour la première fois, depuis bien des années , j'élève une voix que les vieux amis de la liberté reconnaîtront encore , je me sens appelé à vous parler des dangers de la patrie, que vous seuls à présent avez le pouvoir de sauver.
Page 440 - ... proportions et certains attributs, comme la grâce, la force, la noblesse, la beauté, savamment étudiés chez l'homme et réduits en corps de doctrines, s'appliquaient aussi à ce qui n'était pas l'homme. Il en résultait une sorte d'universelle humanité ou d'univers humanisé, dont le corps humain, dans ses proportions idéales, était le prototype.
Page 47 - La présence de l'ennemi sur le sol national rendra, je l'espère, aux députés le sentiment de leurs devoirs. La nation ne les a point envoyés pour me renverser, mais pour me soutenir. Je ne les crains point. Quelque chose qu'ils fassent, je serai toujours l'idole du peuple et de l'armée. Si je disais un mot, ils seraient tous assommés.
Page 377 - séance que l'ex-empereur fût invité, au nom de la patrie, à quitter la capitale où sa présence ne pouvait plus être qu'un prétexte de trouble et une occasion de danger public1.