...s'était expliqué sur cet objet sans détour. Un des ministres observa que si les amis de Napoléon avaient cru son abdication nécessaire au salut de...la lui demander. « C'est parler en vrai Français ! » repris-je; «j'adopte cette idée et la convertis en mo« tion. Je demande que nous allions tous...

...s'était expliqué sur cet objet sans détour. Un des ministres observa que si les amis de Napoléon avaient cru son abdication nécessaire au salut de...lui demander. «C'est parler en vrai Français!» repris-je ; « j'adopte cette idée et la convertis en mo« tion. Je demande que nous allions tous...

...s'était expliqué sur cet objet sans détour. Un des ministres observa que si les amis de Napoléon avaient cru son abdication nécessaire au salut de...auraient été les premiers à la lui demander. «C'est i, parler en vrai Français ! » repris-je ; « j'adopte » cette idée et la convertis en motion....

...plusieurs fois accueilli la proposition d'abdication. «Si les.amis de Napoléon, répliqua Lucien, avaient cru son abdication nécessaire au salut de...lui demander. — C'est parler en vrai Français, s'écria M. de Lafayette; j'adopte cette idée et je la convertis en motion. Je demande que nous allions...

...applaudir, plusieurs fois, à la proposition d'abdication. « Si les amis de Napoléon, répliqua Lucien, avaient cru son abdication nécessaire au salut de la France, ils auraient été les premiers a la lui demander. — C'est parler en vrai Français ! s'écria M. de la Fayette ; j'adopte cette...

...Comme, à ce mot, les amis de l'Empereur se récriaient, objectant que, s'ils avaient cru l'abdication nécessaire au salut de la France, ils auraient été les premiers à la conseiller à l'Kmpcreur : « C'est parler en vrais Français, » dit M: de la Fayette ; et il proposa...

...reproduire. « Si les amis de Napoléon, dit un » des ministres, avaient cru son abdication nécessaire, ils » auraient été les premiers à la lui demander. » — « C'est » parler en vrai Français, s'écria M. de La Fayette ; j'a» dopte cette idée et je la convertis en motion. Je demande » que...

...explicitement la question de l'abdication. Lucien l'interrompit : <( — Si les amis de l'empereur avaient cru son abdication nécessaire au salut de...C'est parler en vrai Français, reprit La Fayette. J adopte cette idée. Je demande que nous allions tous chez l'empereur lui dire que son abdication...

...explicitement la question de l'abdication. Lucien l'interrompit : « — Si les amis de l'empereur avaient cm son abdication nécessaire au salut de la France,...Cambacérès se défendit de mettre aux voix « une motion de cette espèce ». On se sépara à trois heures du matin, avec la certitude que le jour qui se levait...

...». Un des assistants, Lucien, assure-t-on, l'interrompit pour dire que, « si les amis de Napoléon avaient cru son abdication nécessaire au salut de la France, ils auraient été des premiers à la lui demander ». Il tombait dans le jeu de La Fayette et lui procurait oiseusement...