Histoire du consulat et de l'empire: faisant suite à l'Histoire de la révolution française, Volume 7Paulin, 1847 - France |
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... blessés lâchement assassinés , sans pouvoir les secourir , et fut obligé pour se faire jour , de brûler des villages , et de passer des populations in- surgées au fil de l'épée . Du reste , il se conduisit avec énergie et célérité , et ...
... blessés lâchement assassinés , sans pouvoir les secourir , et fut obligé pour se faire jour , de brûler des villages , et de passer des populations in- surgées au fil de l'épée . Du reste , il se conduisit avec énergie et célérité , et ...
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... lieu sûr , pour y déposer son matériel , ses blessés , ses malades , tout ce qui n'était pas propre à la guerre active , et tout ce qu'il ne pouvait pas trainer après lui . Eugène , vice - roi d'Italie , et confident des 24 LIVRE XXV .
... lieu sûr , pour y déposer son matériel , ses blessés , ses malades , tout ce qui n'était pas propre à la guerre active , et tout ce qu'il ne pouvait pas trainer après lui . Eugène , vice - roi d'Italie , et confident des 24 LIVRE XXV .
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... blessés , qua- tre ou cinq cents caissons devaient suffire à tous les besoins de l'armée . Il défendit expressément qu'aucun officier , qu'aucun général fît servir à son usage les charrois destinés aux troupes . Les trans- ports étaient ...
... blessés , qua- tre ou cinq cents caissons devaient suffire à tous les besoins de l'armée . Il défendit expressément qu'aucun officier , qu'aucun général fît servir à son usage les charrois destinés aux troupes . Les trans- ports étaient ...
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... blessés . Mais l'effet moral de ce combat fut plus grand que l'effet matériel , et les Prussiens purent voir dès lors à quels soldats ils avaient af- faire . Si Murat , comme Napoléon lui en fit la re- marque , avait eu sous la main un ...
... blessés . Mais l'effet moral de ce combat fut plus grand que l'effet matériel , et les Prussiens purent voir dès lors à quels soldats ils avaient af- faire . Si Murat , comme Napoléon lui en fit la re- marque , avait eu sous la main un ...
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... blessés , et un millier de prisonniers . - Tel fut le début de la campagne . Les premiers coups de la guerre , comme le dit le lendemain Na- poléon dans le bulletin de la journée , venaient de tuer l'un de ses auteurs . On était si près ...
... blessés , et un millier de prisonniers . - Tel fut le début de la campagne . Les premiers coups de la guerre , comme le dit le lendemain Na- poléon dans le bulletin de la journée , venaient de tuer l'un de ses auteurs . On était si près ...
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Common terms and phrases
80 mille Anglais armée artillerie Augereau avaient basse Vistule bataillons Benningsen Berlin blessés bois brigade C'était canon carte nº cavalerie chevaux combat commandement corps d'armée corps du maréchal d'Eylau d'Iéna d'infanterie Dantzig déboucher derrière détachements devait duc de Brunswick ennemi Eylau fallait Fév forces forêt de Thuringe garde gauche général Benningsen général Blucher général Tauenzien Golymin grenadiers guerre Hassenhausen Janv Kalkreuth Koenigsberg l'armée française l'armée prussienne l'armée russe l'artillerie l'Autriche l'Elbe l'Empereur l'ennemi l'Oder l'Ukra laisser ligne Magdebourg marche maréchal Augereau maréchal Bernadotte maréchal Davout maréchal Lannes maréchal Ney maréchal Soult mée ment mille hommes Murat n'avait Napoléon Narew Naumbourg nord Octob officiers Osterode Passarge passer place Pologne pont porter Posen position pouvait Prenzlow prince de Hohenlohe prus Prusse Prussiens Pultusk réchal régiments réserve reste réunir Rhin route Ruchel Russes s'était Saale Saalfeld Saxe Saxons Schleitz Silésie soldats Stettin Thorn tion troupes Varsovie Vistule voulait Weimar Wurtzbourg
Popular passages
Page 82 - Eh quoi ! aurions-nous donc bravé les saisons , les mers , les déserts ; vaincu l'Europe plusieurs fois coalisée contre nous ; porté notre gloire de l'orient à l'occident, pour retourner aujourd'hui dans notre patrie comme des transfuges , après avoir abandonné nos alliés , et pour entendre dire que l'aigle française a fui épouvantée à l'aspect des armées prussiennes Mais déjà ils sont arrivés sur nos avant-postes....
Page 422 - Vous vivez trop avec des lettrés et des savants. Ce sont des coquettes avec lesquelles il faut entretenir un commerce de galanterie, et dont il ne faut jamais songer à faire ni sa femme ni son ministre.
Page 420 - Je veux faire de ces jeunes filles des femmes utiles, certain que j'en ferai par là des femmes agréables. Je ne veux pas chercher à en faire des femmes agréables, parce que j'en ferais des petites-maîtresses.
Page 617 - L'ennemi s'est mépris sur les causes de notre inactivité. Il s'est aperçu trop tard que notre repos était celui du lion ; il se repent de l'avoir troublé. Dans les...
Page 82 - Que l'armée prussienne éprouve le même sort qu'elle éprouva il ya quatorze ans ! Qu'ils apprennent que, s'il est facile d'acquérir un accroissement de domaines et de puissance avec l'amitié du grand peuple, son inimitié (qu'on ne peut provoquer que par l'abandon de tout esprit de sagesse et de raison) est plus terrible que les tempêtes de l'Océan.
Page 188 - Il ya de la gloire pour tous. Un autre jour » ce sera votre tour de remplir de votre nom les » bulletins de la grande armée.
Page 206 - Cependant si l'on prouvait que le granit entraînât dans une trop grande dépense et dans de longs délais, il faudrait y renoncer, car la condition principale du projet, c'est qu'il soit exécuté en trois ou quatre ans, et au plus en cinq ans. Ce monument tient en quelque chose à la politique : il est dès lors du nombre de ceux qui doivent se faire vite.
Page 126 - Dornbourg, et par là vous ne vous êtes pas trouvé à la bataille, et le maréchal Davout a supporté les principaux efforts de l'armée ennemie. Tout cela est certainement très-malbeureux.
Page 81 - L'ordre pour votre rentrée en France était parti, vous vous en étiez déjà rapprochés de plusieurs marches. Des fêtes triomphales vous attendaient, et les préparatifs , pour vous recevoir, étaient commencés dans la capitale. « Mais, lorsque nous nous abandonnions à cette trop confiante sécurité , de nouvelles trames s'ourdissaient sous le masque de l'amitié et de l'alliance. Des cris de guerre se sont fait entendre à Berlin ; depuis deux mois nous sommes provoqués tous les jours davantage.
Page 618 - Français, vous avez été dignes de vous et de moi. Vous rentrerez en France couverts de tous vos lauriers, et après avoir obtenu une paix glorieuse, qui porte avec elle la garantie de sa durée. Il est temps que notre patrie vive en repos, à l'abri de la maligne influence de l'Angleterre. Mes bienfaits vous prouveront ma reconnaissance et toute l'étendue de l'amour que je vous porte.