Histoire du consulat et de l'empire: faisant suite à l'Histoire de la révolution française, Volume 7Paulin, 1847 - France |
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... EYLAU . - Effet que produisent en Europe les victoires de Napoléon sur la Prusse . - A quelle cause on attribue les exploits des Français . - Ordon- nance du roi Frédéric - Guillaume tendant à effacer les distinctions de naissance dans ...
... EYLAU . - Effet que produisent en Europe les victoires de Napoléon sur la Prusse . - A quelle cause on attribue les exploits des Français . - Ordon- nance du roi Frédéric - Guillaume tendant à effacer les distinctions de naissance dans ...
Page 208
... Eylau , résolus à livrer bataille . - - - - Combats de Waltersdorf et fuir plus long - temps , s'arrêtent L'armée française , mourant de faim et réduite d'un tiers par les marches , aborde l'armée russe , et lui livre à Eylau une ...
... Eylau , résolus à livrer bataille . - - - - Combats de Waltersdorf et fuir plus long - temps , s'arrêtent L'armée française , mourant de faim et réduite d'un tiers par les marches , aborde l'armée russe , et lui livre à Eylau une ...
Page 211
... étaient accordées aux maréchaux qui avaient commandé des corps d'ar- mée . Les drapeaux pris sur l'ennemi devaient être suspendus aux voûtes de l'édifice . Napoléon décida Nov. 1806 . enfin que tous les ans une fête 14 . EYLAU . 211.
... étaient accordées aux maréchaux qui avaient commandé des corps d'ar- mée . Les drapeaux pris sur l'ennemi devaient être suspendus aux voûtes de l'édifice . Napoléon décida Nov. 1806 . enfin que tous les ans une fête 14 . EYLAU . 211.
Page 212
... décembre 1806 . La littérature a besoin d'encouragements ; vous en êtes le ministre . Proposez - moi quelques moyens pour donner une secousse à toutes les EYLAU . 213 ars du temps , connaissant les faiblesses 242 LIVRE XXVI .
... décembre 1806 . La littérature a besoin d'encouragements ; vous en êtes le ministre . Proposez - moi quelques moyens pour donner une secousse à toutes les EYLAU . 213 ars du temps , connaissant les faiblesses 242 LIVRE XXVI .
Page 215
... les constructions faites pour une église . La première était l'idée principale , la seconde était l'idée accessoire . M. Vignon a donc deviné ce que je voulais ... NAPOLÉON . et n'admit aucune borne à sa volonté . L'Europe lui EYLAU . 215.
... les constructions faites pour une église . La première était l'idée principale , la seconde était l'idée accessoire . M. Vignon a donc deviné ce que je voulais ... NAPOLÉON . et n'admit aucune borne à sa volonté . L'Europe lui EYLAU . 215.
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Common terms and phrases
80 mille Anglais armée artillerie Augereau avaient basse Vistule bataillons Benningsen Berlin blessés bois brigade C'était canon carte nº cavalerie chevaux combat commandement corps d'armée corps du maréchal d'Eylau d'Iéna d'infanterie Dantzig déboucher derrière détachements devait duc de Brunswick ennemi Eylau fallait Fév forces forêt de Thuringe garde gauche général Benningsen général Blucher général Tauenzien Golymin grenadiers guerre Hassenhausen Janv Kalkreuth Koenigsberg l'armée française l'armée prussienne l'armée russe l'artillerie l'Autriche l'Elbe l'Empereur l'ennemi l'Oder l'Ukra laisser ligne Magdebourg marche maréchal Augereau maréchal Bernadotte maréchal Davout maréchal Lannes maréchal Ney maréchal Soult mée ment mille hommes Murat n'avait Napoléon Narew Naumbourg nord Octob officiers Osterode Passarge passer place Pologne pont porter Posen position pouvait Prenzlow prince de Hohenlohe prus Prusse Prussiens Pultusk réchal régiments réserve reste réunir Rhin route Ruchel Russes s'était Saale Saalfeld Saxe Saxons Schleitz Silésie soldats Stettin Thorn tion troupes Varsovie Vistule voulait Weimar Wurtzbourg
Popular passages
Page 82 - Eh quoi ! aurions-nous donc bravé les saisons , les mers , les déserts ; vaincu l'Europe plusieurs fois coalisée contre nous ; porté notre gloire de l'orient à l'occident, pour retourner aujourd'hui dans notre patrie comme des transfuges , après avoir abandonné nos alliés , et pour entendre dire que l'aigle française a fui épouvantée à l'aspect des armées prussiennes Mais déjà ils sont arrivés sur nos avant-postes....
Page 422 - Vous vivez trop avec des lettrés et des savants. Ce sont des coquettes avec lesquelles il faut entretenir un commerce de galanterie, et dont il ne faut jamais songer à faire ni sa femme ni son ministre.
Page 420 - Je veux faire de ces jeunes filles des femmes utiles, certain que j'en ferai par là des femmes agréables. Je ne veux pas chercher à en faire des femmes agréables, parce que j'en ferais des petites-maîtresses.
Page 617 - L'ennemi s'est mépris sur les causes de notre inactivité. Il s'est aperçu trop tard que notre repos était celui du lion ; il se repent de l'avoir troublé. Dans les...
Page 82 - Que l'armée prussienne éprouve le même sort qu'elle éprouva il ya quatorze ans ! Qu'ils apprennent que, s'il est facile d'acquérir un accroissement de domaines et de puissance avec l'amitié du grand peuple, son inimitié (qu'on ne peut provoquer que par l'abandon de tout esprit de sagesse et de raison) est plus terrible que les tempêtes de l'Océan.
Page 188 - Il ya de la gloire pour tous. Un autre jour » ce sera votre tour de remplir de votre nom les » bulletins de la grande armée.
Page 206 - Cependant si l'on prouvait que le granit entraînât dans une trop grande dépense et dans de longs délais, il faudrait y renoncer, car la condition principale du projet, c'est qu'il soit exécuté en trois ou quatre ans, et au plus en cinq ans. Ce monument tient en quelque chose à la politique : il est dès lors du nombre de ceux qui doivent se faire vite.
Page 126 - Dornbourg, et par là vous ne vous êtes pas trouvé à la bataille, et le maréchal Davout a supporté les principaux efforts de l'armée ennemie. Tout cela est certainement très-malbeureux.
Page 81 - L'ordre pour votre rentrée en France était parti, vous vous en étiez déjà rapprochés de plusieurs marches. Des fêtes triomphales vous attendaient, et les préparatifs , pour vous recevoir, étaient commencés dans la capitale. « Mais, lorsque nous nous abandonnions à cette trop confiante sécurité , de nouvelles trames s'ourdissaient sous le masque de l'amitié et de l'alliance. Des cris de guerre se sont fait entendre à Berlin ; depuis deux mois nous sommes provoqués tous les jours davantage.
Page 618 - Français, vous avez été dignes de vous et de moi. Vous rentrerez en France couverts de tous vos lauriers, et après avoir obtenu une paix glorieuse, qui porte avec elle la garantie de sa durée. Il est temps que notre patrie vive en repos, à l'abri de la maligne influence de l'Angleterre. Mes bienfaits vous prouveront ma reconnaissance et toute l'étendue de l'amour que je vous porte.