L'Univers: histoire et description de tous les peuples ...F. Didot fréres, 1840 - World history |
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... escadron sur le champ de ba- taille . BACHELET D'AMBILLE , général de division , se distingua à la bataille de Gébora , en Espagne , sous les ordres 9 du maréchal Soult et surtout pen- dant la campagne BAC 5 FRANCE . BAC.
... escadron sur le champ de ba- taille . BACHELET D'AMBILLE , général de division , se distingua à la bataille de Gébora , en Espagne , sous les ordres 9 du maréchal Soult et surtout pen- dant la campagne BAC 5 FRANCE . BAC.
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histoire et description de tous les peuples ... 9 du maréchal Soult et surtout pen- dant la campagne de Russie , à la dé- fense de Dantzick . « < BACHELIER ( CHEVALIER ) .- On don- nait ce nom à tout chevalier d'un rang inférieur , qui ...
histoire et description de tous les peuples ... 9 du maréchal Soult et surtout pen- dant la campagne de Russie , à la dé- fense de Dantzick . « < BACHELIER ( CHEVALIER ) .- On don- nait ce nom à tout chevalier d'un rang inférieur , qui ...
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... maréchal Lefebvre . Le courage et les talents militaires de Bacon le firent nommer colonel du 63 ° régiment d'infanterie de ligne . BACON ( N. ) , cultivateur du Pas - de- Calais , fut député par les électeurs de ce département au ...
... maréchal Lefebvre . Le courage et les talents militaires de Bacon le firent nommer colonel du 63 ° régiment d'infanterie de ligne . BACON ( N. ) , cultivateur du Pas - de- Calais , fut député par les électeurs de ce département au ...
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... maréchal Soult sur les Espa- gnols , le 19 février 1811 , ouvrit à nos troupes les portes de Badajoz , capitale de l'Estramadure , où elles entrèrent le 11 mars . Deux mois après , cette ville fut investie par Béresford , géné- ral ...
... maréchal Soult sur les Espa- gnols , le 19 février 1811 , ouvrit à nos troupes les portes de Badajoz , capitale de l'Estramadure , où elles entrèrent le 11 mars . Deux mois après , cette ville fut investie par Béresford , géné- ral ...
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... la France l'homme qui , avant l'ouver- ture du congrès d'Utrecht , avait déjà donné un premier démenti à la mau- vaise fortune , et relevé l'honneur de nos armes à Denain , le maréchal Vil- lars , 14 BAD BAD L'UNIVERS .
... la France l'homme qui , avant l'ouver- ture du congrès d'Utrecht , avait déjà donné un premier démenti à la mau- vaise fortune , et relevé l'honneur de nos armes à Denain , le maréchal Vil- lars , 14 BAD BAD L'UNIVERS .
Common terms and phrases
armée attaques avaient avocats baillis Banque baron bataille bataillon Beauvais Bernadotte Bernard Bertin bibliothèque bientôt célèbre cent chargé Charles Charles VII chef clergé combat commandement comte conseil Conseil des Cinq-Cents Convention cour décret département député devait devint Directoire distingua donna duché de Bar ecclésias ecclésiastiques Égypte ENCYCL ennemis ensuite envoyé époque évêque force fran française François Ier Gaule général gouvernement guerre Henri Henri III Henri IV hommes ibid Jean l'Académie l'armée l'art l'Assemblée l'Église l'empereur l'empire l'ennemi l'État l'histoire Légion d'honneur législative lettres livres Louis XIV Louis XVI manuscrits maréchal membre ment mille ministre mort mourut Napoléon naquit nationale nombre nommé obtint ouvrages passa pendant peuple Philippe poëte politique porter premier prince prit publié rent reste révolution romaine royale s'était saint saint Louis Sarrasins seigneurs seizième siècle seulement siége sion succès suivant teur tion titre toire troupes trouve vint Voyez
Popular passages
Page 541 - France , il faut décréter que la religion catholique , apostolique et romaine est et demeurera , pour toujours , la religion de la nation, et que son culte sera le seul autorisé'.
Page 541 - Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir, d'une manière convenable, aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres, et au soulagement des pauvres...
Page 77 - Gardez-vous de demander du temps; le malheur n'en accorde jamais.... Eh! messieurs, à propos d'une ridicule motion du Palais-Royal, d'une risible insurrection qui n'eut jamais d'importance que dans les imaginations faibles ou les desseins pervers de quelques hommes de mauvaise foi , vous avez entendu naguère ces mots forcenés...
Page 77 - Croyezvous que les milliers, les millions d'hommes qui perdront en un instant, par l'explosion terrible ou par ses contrecoups, tout ce qui faisait la consolation de leur vie, et peut-être leur unique moyen de la sustenter, vous laisseront paisiblement jouir de votre crime?
Page 378 - Essai bibliographique sur les éditions des Elzevirs les plus précieuses et les plus recherchées, Paris, in-8°, 1822, et des Souvenirs historiques sur la révolution de 1830.
Page 184 - ... pour porter bateau. Les lits de tous ces fleuves sont , les uns à l'égard des autres , si heureusement disposés par la nature , qu'on peut aisément transporter les marchandises de l'Océan à la Méditerranée , et réciproquement : car la plus grande partie du transport se fait par eau , en descendant ou en remontant les fleuves, et le peu de chemin qui reste à faire par terre est d'autant plus commode qu'on n'a que des plaines à traverser.
Page 149 - Le décret est absurde, — il ne laisse aucune prise, aucune action contre eux. — Ce sont des factieux, des artisans •de crimes et de trahisons. Tant que j'aurai l'épée au côté, jamais je ne signerai un pareil décret. — Je veux qu'on puisse couper la langue à un avocat qui s'en sert contre le gouvernement.
Page 166 - ... à lui ou à moi. Nous criions tous deux, et étions aussi effrayés l'un que l'autre. Enfin Dieu voulut que M. de Nançay, capitaine des gardes, y...
Page 77 - Oh ! si des déclarations moins solennelles ne garantissaient pas notre respect pour la foi publique, notre horreur pour l'infâme mot de banqueroute, j'oserais scruter les motifs secrets, et peut-être, hélas ! ignorés de nous-mêmes, qui nous font si imprudemment reculer au moment de proclamer l'acte d'un grand dévouement, certainement inefficace, s'il n'est pas rapide et vraiment abandonné.
Page 193 - Réclamation pour l'Église de France et pour la vérité, contre l'ouvrage de M. le comte de Maistre, intitulé : Du pape, et contre la suite, intitulée : De l'Église gallicane dans son rapport avec le souverain pontife, par M l'abbé Baston.