Le libre-échange |
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... coton. Avant 1789, le lieutenant de police pouvait mettre Voltaire à la Bastille pour un délit de presse, c'est-à-dire pour un délit qui n'en est pas un; mais le roi de Prusse aurait réclamé; les salons se seraient insurgés; le ...
... coton. Avant 1789, le lieutenant de police pouvait mettre Voltaire à la Bastille pour un délit de presse, c'est-à-dire pour un délit qui n'en est pas un; mais le roi de Prusse aurait réclamé; les salons se seraient insurgés; le ...
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... coton . Avant 1789 , le lieutenant de police pouvait mettre Voltaire à la Bastille pour un délit de presse , c'est - à - dire pour un délit qui n'en est pas un ; mais le roi de Prusse aurait réclamé ; les salons se seraient insurgés ...
... coton . Avant 1789 , le lieutenant de police pouvait mettre Voltaire à la Bastille pour un délit de presse , c'est - à - dire pour un délit qui n'en est pas un ; mais le roi de Prusse aurait réclamé ; les salons se seraient insurgés ...
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... y a dix ans , on ne connaissait plus , en France , le métier à bras pour le tissage du coton ; mais les draps et les étoffes de soie se faisaient encore à la main ; c'est à peine si les premières machines à LE LIBRE - ÉCHANGE 13.
... y a dix ans , on ne connaissait plus , en France , le métier à bras pour le tissage du coton ; mais les draps et les étoffes de soie se faisaient encore à la main ; c'est à peine si les premières machines à LE LIBRE - ÉCHANGE 13.
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... coton . Le succès et le progrès n'en sont pas moins incontestables . Notre exportation de fils et tissus de laine s'est accrue , en sept ans , de 120 millions de francs . Maintenant , le lin . En 1859 , nous avions 400,000 broches ...
... coton . Le succès et le progrès n'en sont pas moins incontestables . Notre exportation de fils et tissus de laine s'est accrue , en sept ans , de 120 millions de francs . Maintenant , le lin . En 1859 , nous avions 400,000 broches ...
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... coton délaissée en Améri- que pour de longues années , n'aurait pas prédit la ruine des manufactures , non - seulement en France , mais dans toute l'Europe ? Voici cependant , Mes- sieurs , ce que disent les faits . En 1859 , nous ...
... coton délaissée en Améri- que pour de longues années , n'aurait pas prédit la ruine des manufactures , non - seulement en France , mais dans toute l'Europe ? Voici cependant , Mes- sieurs , ce que disent les faits . En 1859 , nous ...
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Common terms and phrases
adversaires affaires anglais Angleterre Applaudissements armateurs ateliers avons Bordeaux budget Cardiff cause centimes Cesne Chambre chemins de fer chiffres chose commerciale concurrents conséquent consommation coton crise crois décret dire disait discussion doctrine donner douane dustrie dustriel économique Est-ce Estancelin établissements exportations Expositions universelles fabricants fabrication fer au bois force fret de sortie Gironde Gouvernement guerre Havre hectolitres hommes houille importations impôt in-18 jésus indus industrie industriels industries textiles intérêts j'ai Jules SIMON l'Angleterre l'heure l'honorable l'inscription maritime l'octroi l'outillage l'ouvrier Léon Say liberté libre-échange lois lutter machines manufactures marchandises marché marine mar marine marchande marine militaire matières premières ment merce Messieurs métallurgique milliards millions Ministre monde Mulhouse navires non-seulement ouvriers paie parle pays pensée personnes peuple principes produits prohibition protection question raison Rouher ruine serait seulement situation sommes tarifs textile tion toyen traité de commerce travail Très-bien tribune vail vais Veauce veux vins Voilà
Popular passages
Page 30 - Chacun des cohéritiers peut demander sa part en nature des meubles et immeubles de la succession ; néanmoins, s'il ya des créanciers saisissants ou opposants, ou si la majorité des cohéritiers juge la vente nécessaire pour l'acquit des dettes et charges de la succession, les meubles sont vendus publiquement en la forme ordinaire.
Page 125 - ... que cet abus monstrueux du droit de blocus n'a d'autre but que d'empêcher les communications entre les peuples et d'élever le commerce et l'industrie de l'Angleterre sur la ruine de l'industrie et du commerce du continent ; 6°...
Page 126 - ... que cette conduite de l'Angleterre, digne en tout des premiers âges de la barbarie, a profité à cette puissance au détriment de toutes les autres ; 8° qu'il est de droit naturel d'opposer à l'ennemi les armes dont il se sert et de le combattre de la même manière...
Page 283 - ... pour une seconde levée; à quoi j'ajoute surle-champ qu'il n'arrive presque jamais que le service à bord des navires de l'État soit de plus de trois années, en comprenant tout. Pour ce service qui leur est imposé, ils obtiennent, je crois, trois compensations... Son Exe. M. l'amiral RIGAULT DE GENOUILLY, ministre de la marine et des colonies. Voulez-vous me permettre une courte observation ? M. Jules SIMON. Très- volontiers. M. LE MINISTRE. D'après le dernier décret, les marins, en effet,...
Page 126 - Le commerce des marchandises anglaises est défendu ; et toute marchandise appartenant à l'Angleterre, ou provenant de ses fabriques et de ses colonies, est déclarée de bonne prise.
Page 126 - Les entrepreneurs de fraude en marchandises et denrées prohibées, les assureurs, les intéressés et les complices dans lesdites entreprises, les chefs de bande, directeurs et conducteurs de réunions de fraudeurs en marchandises prohibées , seront punis de dix ans de travaux forcés et de la marque des lettres y.
Page 124 - Toutes marchandises fabriquées ou manufacturées en Angleterre, en Ecosse, en Irlande, et dans tous les pays soumis au gouvernement britannique, sont proscrites du sol et territoire de la République française.
Page 132 - Le droit permanent de cinquante centimes par quintal métrique, établi par la loi du 28 avril 1816 sur les grains et farines importés de l'étranger, est converti en un droit, également permanent, d'un franc vingt-cinq centimes par hectolitre de grains , et de deux francs cinquante centimes par quintal métrique de farine. Ce droit sera réduit à vingt-cinq centimes par hectolitre de grains, et à cinquante centimes par quintal métrique de farines , lorsque...
Page 136 - Vosges arrachaient dans nos prés pendant la dernière famine ; ils en connaissaient l'usage en pareil cas par la tradition de leurs pères ; ils l'ont laissée à leurs enfants ; et c'est à peine si les plantes, cueillies à l'époque dont je vous parle, sont complètement desséchées au moment où nous examinons s'il faut combattre législativement l'avilissement du prix des grains».
Page 135 - J'en appelle à tous ceux qui ont habité le fond des campagnes : ils verront ce qu'ils ont vu mille fois; à mesure que le prix des denrées s'élève, la nourriture du pauvre devient plus grossière; de l'usage du méteil il passe à celui de l'orge, de l'orge à la pomme de terre ou à l'avoine. Je ne veux pas chercher à vous émouvoir...