Histoire de France: depuis la fin du règne de Louis XVI jusqu'à l'année 1825, Volume 6 |
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... mesure aussi violente , une mesure étrange , car elle est nouvelle et n'est pas plus dans nos mœurs que dans nos maximes politiques , en dé- clarant qu'il se donne des otages pour les Français qui seraient pris par les Anglais sur des ...
... mesure aussi violente , une mesure étrange , car elle est nouvelle et n'est pas plus dans nos mœurs que dans nos maximes politiques , en dé- clarant qu'il se donne des otages pour les Français qui seraient pris par les Anglais sur des ...
Page 42
... mesures qui peuvent n'être pas « < conformes à la justice proprement dite ; mais ce qui « < paraît crime aux yeux de la morale ne l'est point << lorsqu'il s'agit du salut d'un état . C'est vrai , ré- << pond la jolie interlocutrice ; et ...
... mesures qui peuvent n'être pas « < conformes à la justice proprement dite ; mais ce qui « < paraît crime aux yeux de la morale ne l'est point << lorsqu'il s'agit du salut d'un état . C'est vrai , ré- << pond la jolie interlocutrice ; et ...
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... mesures tendant à amener et å consommer une si exécrable catastrophe . Nous nous exprimons ainsi en supposant vraies les particularités suivantes . M. Duroc ( Voyez plus haut ) a prétendu que le duc d'Enghien écrivit à Bonaparte une ...
... mesures tendant à amener et å consommer une si exécrable catastrophe . Nous nous exprimons ainsi en supposant vraies les particularités suivantes . M. Duroc ( Voyez plus haut ) a prétendu que le duc d'Enghien écrivit à Bonaparte une ...
Page 59
... mesure que la strangulation s'opère , et que le der- nier souffle de respiration soit ainsi retenu et conser- vé , cela est encore dans l'ordre physique . Mais un résultat hors de doute , que tous les médecins et chi- rurgiens éclairés ...
... mesure que la strangulation s'opère , et que le der- nier souffle de respiration soit ainsi retenu et conser- vé , cela est encore dans l'ordre physique . Mais un résultat hors de doute , que tous les médecins et chi- rurgiens éclairés ...
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... mesures , il se retranchait dans une bonne gestion des deniers publics et dans des combinaisons de banque . Il commit une faute immense en ne faisant pas tous ses efforts pour gagner Mirabeau , le grand moteur du tiers - état . La ...
... mesures , il se retranchait dans une bonne gestion des deniers publics et dans des combinaisons de banque . Il commit une faute immense en ne faisant pas tous ses efforts pour gagner Mirabeau , le grand moteur du tiers - état . La ...
Common terms and phrases
Alexandre anglais août armée armes Arthur Wellesley Autrichiens bataille de Wagram Bonaparte Bourbons cabinet çais campagne capitulation cent champ de bataille chef citoyen commandant conscrits continent corps législatif couronne déclaration décret impérial despotisme desseins duc d'Enghien Dupont ennemis Espagnols états eût force Fouché fran frégates général George Cadoudal gloire gouvernement guerre jour l'Angleterre l'archiduc Charles l'armée française l'Autriche l'em l'empereur l'empire l'ennemi l'Espagne l'état l'Europe léon liberté lieues Louis Louis XVI Madrid Majesté maréchal Bernadotte maréchal Davoust maréchal Lannes maréchal Murat maréchal Soult Masséna mée ment militaire mille hommes millions ministre monarchie Moreau Naples Napo Napoléon nation nationale novembre octobre ordres paix patrie pereur peuple Pichegru Pie VII poléon politique porte Portugal premier consul prince de Ponte-Corvo prisonniers proclamation Prusse prussienne puissance résultat révolution Rhin royaume Russie sénat sénatus-consulte septembre sera seront seul soldats souverain talents territoire tion traité d'Amiens tribunat trône troupes vaisseaux Védel Wagram
Popular passages
Page 404 - Considérant que , depuis ce temps , l'union des deux pouvoirs spirituel et temporel ayant été, comme elle l'est encore aujourd'hui, la source de continuelles discordes ; que les souverains pontifes ne se sont que trop souvent servis de l'influence de l'un pour soutenir les prétentions de l'autre, et que, par cette raison, les affaires spirituelles, qui , de leur nature , sont immuables , se trouvent...
Page 105 - Bonaparte, de mâle en mâle, par ordre de primogéniture, et à l'exclusion perpétuelle des femmes et de leur descendance.
Page 149 - Saùl et de David par le ministère du prophète Samuel, répandez par mes mains les trésors de vos grâces et de vos bénédictions sur votre serviteur Napoléon, que, malgré notre indignité personnelle, nous consacrons, aujourd'hui, empereur en votre nom.
Page 371 - Ce serait une prétention chimérique, et même criminelle, que de vouloir représenter la nation avant l'Empereur. Le Corps législatif, improprement appelé de ce nom, devrait être appelé Conseil législatif, puisqu'il n'a pas la faculté de faire des lois, n'en ayant pas la proposition. Le Conseil législatif est donc la réunion des mandataires des collèges électoraux. On les appelle députés des départements, parce qu'ils sont nommés par les départements.
Page 8 - L'arme de la victoire et l'arbitre du sort. Le fer, il boit le sang; le sang nourrit la rage, Et la rage donne la mort!
Page 92 - On ne verra point le silence de la servitude succéder au tumulte de la démocratie. Non, Citoyen Premier Consul, vous ne voulez commander qu'à un peuple libre : il le sait, et c'est pour cela qu'il vous obéira toujours. Les corps de l'État se balanceront avec sagesse; ils conserveront tout ce qui peut maintenir la liberté, et rien de ce qui peut la détruire.
Page 121 - ... dans cette correspondance , et destiné à jouer un grand rôle dans le rappel du prétendant , qu'elle avait pour but , j'ai cru devoir vous' en instruire , pour que vous ne soyez pas dupe de son feint républicanisme ; que vous puissiez faire éclairer ses démarches , et vous opposer aux coups funestes qu'il peut porter à notre pays , puisque Ja guerre civile ne peut qu'être le but de ses projets.
Page 137 - Bonn parte pour vous , et celle de tous les siens. Puisse la providence déjouer ses projets iniques et maintenir ce pays dans sa situation heureuse et prospère. C'est le vœu de mon cœur, c'est ma prière la plus fervente.
Page 96 - Vous avez jugé l'hérédité de la suprême magistrature nécessaire , pour mettre le peuple français à l'abri des complots de nos ennemis et des agitations qui naîtraient d'ambitions rivales. Plusieurs de nos institutions vous ont, en même temps , paru devoir être perfectionnées pour assurer, sans retour, le triomphe de l'égalité...
Page 10 - Bonaparte avec ceux qui l'ont précédé ; j'estime sa valeur, ses talents militaires ; je lui sais gré de plusieurs actes d'administration, car le bien que l'on fera à mon peuple me sera toujours cher ; mais il se trompe, s'il croit m'engager à transiger sur mes droits. Loin de là, il les établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment.