Souvenirs du quatre septembre: Origine et chute du second empire |
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... parler en toute occasion de la légende napo- léonienne , qui lui avait déjà rendu tant de services dans les élections . Il fit sa constante étude du corps des officiers dans la première division et dans l'armée de Paris . Il n'y ...
... parler en toute occasion de la légende napo- léonienne , qui lui avait déjà rendu tant de services dans les élections . Il fit sa constante étude du corps des officiers dans la première division et dans l'armée de Paris . Il n'y ...
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... parler dans ces conditions du réta- blissement du suffrage universel ? Voilà ce que nous disions ; qu'aurions - nous dit si nous avions pu prévoir que ce qui restait du suffrage universel allait être dé- truit et avili par le système ...
... parler dans ces conditions du réta- blissement du suffrage universel ? Voilà ce que nous disions ; qu'aurions - nous dit si nous avions pu prévoir que ce qui restait du suffrage universel allait être dé- truit et avili par le système ...
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... vous vous serez donné ! » Nous pensions alors , dans notre colère , que parler ainsi à un grand peuple , c'était se jouer de la justice divine . VIII La résistance légale . Un certain nombre de députés 44 SOUVENIRS DU QUATRE SEPTEMBRE.
... vous vous serez donné ! » Nous pensions alors , dans notre colère , que parler ainsi à un grand peuple , c'était se jouer de la justice divine . VIII La résistance légale . Un certain nombre de députés 44 SOUVENIRS DU QUATRE SEPTEMBRE.
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... parler , que les députés placés au fond de la salle s'écrièrent : « On monte ! on monte ! » Un profond silence s'établit : « < Pas un mot , Messieurs , dit le président . Gardez vos places . Songez que l'Europe entière vous regarde ...
... parler , que les députés placés au fond de la salle s'écrièrent : « On monte ! on monte ! » Un profond silence s'établit : « < Pas un mot , Messieurs , dit le président . Gardez vos places . Songez que l'Europe entière vous regarde ...
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... parler , ni écrire . Il n'y avait d'autres journaux que ceux qui s'étaient soumis , et ceux - là mêmes subissaient les ordres de la censure . Les représentants du peuple , les journalistes , les républicains dont les opinions étaient ...
... parler , ni écrire . Il n'y avait d'autres journaux que ceux qui s'étaient soumis , et ceux - là mêmes subissaient les ordres de la censure . Les représentants du peuple , les journalistes , les républicains dont les opinions étaient ...
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Common terms and phrases
août armée armes aurait avaient avions bataillon Benedetti Bismark c'était cabinet candidature Cayenne Châlons Chambre chef citoyens collègues commandement commission comte de Palikao conseil Constitution Corps législatif coup d'État croyait Daru décembre déchéance déclaration demande dépêche déposition députés devant dire disait donner Dréolle dynastie Émile Ollivier étions force foule fusils Gambetta garde nationale gauche général de Wimpffen général Trochu gouvernement Gramont guerre heures hommes impérial jour journée juillet Jules Favre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'Em l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Hôtel l'impératrice laisser Louis-Napoléon Bonaparte majorité maréchal Bazaine maréchal Le Boeuf membres ment Metz ministre n'avait n'était Napoléon officiers Ollivier paix Palikao parler paroles Pascal Duprat passer pays pendant pensée peuple police politique pont de Solférino pouvait préfet président prince de Hohenzollern proclamation proposition Prusse Prussiens républicains résolution reste Rouher s'était Sadowa salle séance sentiment septembre serait seul situation soir soldats suffrage universel Thiers tion tribune troupes vote voulait Wimpffen
Popular passages
Page 39 - Soyez fiers de votre mission ; vous sauverez la patrie, car je compte sur vous, non pour violer les lois, mais pour faire respecter la première loi du pays : la souveraineté nationale, dont je suis le légitime représentant. " Depuis longtemps vous souffriez comme moi des obstacles qui s'opposaient et au bien que je voulais faire et aux démonstrations de vos sympathies en ma faveur.
Page 152 - Cette éventualité, nous en avons le ferme espoir, ne se réalisera pas. Pour l'empêcher, nous comptons à la fois sur la sagesse du peuple allemand et sur l'amitié du peuple espagnol. S'il en était autrement, forts de votre appui et de celui de la nation, nous saurions remplir notre devoir sans hésitation et sans faiblesse.
Page 193 - Veuillez donc répéter à Sa Majesté et à ses ministres que, fidèles à nos engagements tels qu'ils ont été consignés dans les lettres échangées l'année dernière entre les deux souverains, nous considérons la cause de la France comme la nôtre et que nous contribuerons au succès de ses armes dans les limites du possible.
Page 141 - Nous persisterons dans cette conduite, mais nous ne croyons pas que le respect des droits d'un peuple voisin nous oblige à souffrir qu'une puissance étrangère, en plaçant un de ses princes sur le trône de Charles-Quint, puisse déranger à notre détriment l'équilibre actuel des forces en Europe, et mettre en péril les intérêts et l'honneur de la France. Cette éventualité, nous en avons le ferme espoir, ne se réalisera pas.
Page 119 - Et alors, permettez-moi de vous le dire, s'accomplira un grand phénomène, vers lequel on tend depuis plus d'un siècle : on verra refaire un nouvel empire germanique, cet empire de Charles-Quint qui résidait autrefois à Vienne, qui résiderait maintenant à Berlin, qui serait bien près de notre frontière, qui la presserait, la serrerait...
Page 70 - ... proroge ou met obstacle à l'exercice de son mandat, est un crime de haute trahison. Par ce seul fait, le président est déchu de ses fonctions; les citoyens sont tenus de lui refuser obéissance; le pouvoir exécutif passe de plein droit à l'assemblée nationale. Les juges de la haute cour de justice se réunissent immédiatement à peine de forfaiture: ils convoquent les jurés dans le lieu, qu'ils désignent, pour procéder au jugement du président et de ses complices; ils nomment eux-mêmes...
Page 141 - ... d'une noble et grande nation en plein exercice de sa souveraineté ; nous ne sommes pas sortis à l'égard des divers prétendants au trône, de la plus stricte neutralité, et nous n'avons jamais témoigné pour aucun d'eux ni préférence, ni éloignement.
Page 9 - Sans autre ambition que celle de servir mon pays, je viens annoncer mon arrivée aux membres du Gouvernement provisoire, et les assurer de mon dévouement à la cause qu'ils représentent, comme de ma sympathie pour leurs personnes.
Page 38 - Des ministres dépendant du pouvoir exécutif seul ; « 3° Un conseil d'État formé des hommes les plus distingués, préparant les lois et en soutenant la discussion devant le Corps législatif;
Page 39 - L'Assemblée a essayé d'attenter à l'autorité que je tiens de la nation entière; elle a cessé d'exister. Je fais un loyal appel au peuple et à l'armée, et je leur dis : Ou donnez-moi les moyens d'assurer votre prospérité; ou choisissez un autre à ma place. En 1830 comme en 1848, on vous a traités en vaincus. Après avoir flétri votre désintéressement héroïque, on a dédaigné de consulter vos sympathies et vos vœux, et cependant vous êtes l'élite de la nation.