Archives parlementaires de 1787 à 1860Librairie administrative de Paul Dupont, 1913 - France |
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14 décembre 18 frimaire 20 frimaire Annales patriotiques Archives nationales assignats Barère bataillon Boissard Bourdon de l'Oise brumaire carton C 284 citoyen Président Citoyens représentants civisme comité d'instruction publique comité de Salut comité de sûreté comité de surveillance commissaires commune COMPTE RENDU conseil général Convention nationale D'après la minute décade demande département député directoire dossier envoyé fanatisme frimaire indivisible insertion jour Journal des Débats l'armée ladite législateurs liberté livres maire marcs membres ment Mention honorable Mercure universel Michaud militaires ministre minute du décret mois de l'an Moniteur universel Moniteur universel nº Montagne nation officiers municipaux onces patrie patriotisme pétition Pontarlier poste présent prêtres procureur syndic RENDU du Journal RENDU du Moniteur Renvoyé au comité représentants du peuple républicains République française révolutionnaire Salut et fraternité Salut public sans-culottes séance secrétaire section sera seront Siblot Société populaire Suit la lettre Suit le texte sûreté générale tion toyens tribunal tyrans
Popular passages
Page 28 - ... ou contre tous ceux qui tenteraient d'abuser du prétexte de la religion pour compromettre la cause de la liberté...
Page 375 - IL est temps de rétablir ce grand principe qu'on semble méconnaître : que les enfants appartiennent à la République avant d'appartenir à leurs parents. Personne plus que moi ne respecte la nature. Mais l'intérêt social exige que là seulement doivent se réunir les affections. Qui me répondra que les enfants, travaillés par l'égoïsme des pères, ne deviennent...
Page 134 - Les nations libres n'ont pas besoin d'une caste de savants spéculatifs, dont l'esprit voyage constamment par des sentiers perdus, dans la région des songes et des chimères. Les sciences de pure spéculation détachent de la société les individus qui les cultivent et deviennent à la longue un poison qui mine, énerve et détruit les Républiques.
Page 243 - Une de 172,750 individus qui, embrassant par une hiérarchie habilement combinée, tous les âges, tous les sexes, toutes les parties de la République, deviendraient infailliblement les régulateurs plénipotentiaires des mœurs, des goûts, des usages et parviendraient facilement par leur influence à se rendre les arbitres de la liberté et des destinées de la Nation.
Page 200 - Convention nationale décrète que quiconque proposerait ou tenterait d'établir en France la royauté ou tout autre pouvoir attentatoire à la souveraineté du peuple, sous quelque dénomination que ce soit, sera puni de mort.
Page 28 - ... ralentir l'essor de l'esprit public. La Convention invite tous les bons citoyens, au nom de la patrie , à s'abstenir de toutes disputes théologiques ou étrangères aux grands intérêts du peuple français, pour concourir de tous les moyens au triomphe de la République et à la ruine de tous ses ennemis.
Page 243 - Ce système n'est-il pas effrayant pour la liberté? La Révolution vient de détruire toutes les corporations, et on voudrait en établir une monstrueuse, une de 172,750 individus qui, embrassant, par une hiérarchie habilement combinée, tous les âges, tous les sexes, toutes les parties de la République, deviendraient infailliblement les régulateur...
Page 135 - De produire un certificat de. civisme et de bonnes mœurs signé de la moitié des membres du Conseil général de la commune ou de la section du lieu de leur résidence, et par deux membres au moins du Comité de surveillance de la section, ou du lieu de leur domicile, ou du lieu qui en est le plus voisin.
Page 509 - Noirmoutier me sera parvenue, j'enverrai sur-le-champ un ordre impératif aux généraux Dutruy et Haxo, de mettre à mort dans tous les pays insurgés tous les individus de tout sexe qui s'y trouveront indistinctement, et d'achever de tout incendier...
Page 134 - ... l'organisation de l'instruction publique pouvait être résolu de plusieurs manières ; et il s'est déterminé à vous présenter un nouveau plan, un plan simple, naturel, facile à exécuter, un plan qui proscrivît à jamais toute idée de corps académique, de société scientifique, d'hiérarchie pédagogique ; un plan enfin dont les bases fussent les mêmes que celles de la Constitution : la Liberté, l'Egalité, la Fraternité.