Examen raisonné, ou, Décisions théologiques sur le commandements de Dieu et de l'Eglise: sur les sacrements et les péchés capitaux : ouvrage où l'on décide, d'après les meilleurs théologiens, ce qui est péché mortel ou véniel en cette matière, Volume 1 |
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Common terms and phrases
actes d'espérance action adesse alii alios avez avez-vous Billuart blasphème Bonacina bonne foi n'excuse cause censé charité chose civile Conférences d'Angers consentement contrat coupable cùm dæmone debitum devoirs Dieu doit domestiques dommage enfants enim êtes-vous etiam etsi excommunication exemple fraude grave scandale haine illas illud injuste injustice jurement justice commutative l'Eglise Layman Lessius Ligori Lugo maître malè matière grave matière légère ment messe mort N'avez-vous pas quelquefois N'avez-vous point quelquefois Navarrus nécessité négligence nisi notable Obligation de restituer pable parents payer peccat peccatum péché grave péché mortel Péché très-grave péché véniel pèchent peine de péché periculo personne plures posse potest pract précepte probabiliùs quæ quàm quasi-contrat quod raison légitime reddere Religion s'il sæpè saints jours saltem salut Sanchez serait seulement Sic communiter Sic omnes sine sive solùm Sporer Suarez sunt tamen tantùm tenetur tenu Theol théologiens tion verò vertu théologale videtur vœu volontairement
Popular passages
Page 180 - Elle ne s'étendra pas aux biens que les enfants pourront acquérir par un travail et une industrie séparés, ni à ceux qui leur seront donnés ou légués sous la condition expresse que les père et mère n'en jouiront pas.
Page 180 - Le père, durant le mariage, et, après la dissolution du mariage, le survivant des père et mère, auront la jouissance des biens de leurs enfants jusqu'à l'âge de dix-huit ans accomplis, ou jusqu'à l'émancipation qui pourrait avoir lieu avant l'âge de dix-huit ans. ART. 385. , — Les charges de cette jouissance seront : 1° celles auxquelles sont tenus les usufruitiers ; 2°...
Page 417 - La prescription est un moyen d'acquérir ou de se libérer par un certain laps de temps, et sous les conditions déterminées par la loi.
Page 360 - Ce cheptel (aussi appelé cheptel de fer) est celui par lequel le propriétaire d'une métairie la donne à ferme, à la charge qu'à l'expiration du bail, le fermier laissera des bestiaux d'une valeur égale au prix de l'estimation de ceux qu'il aura reçus.
Page 324 - Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s'obligent, envers une ou plusieurs autres, à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose.
Page 420 - Le serment pourra être déféré aux veuves et héritiers, ou aux tuteurs de ces derniers, s'ils sont mineurs, pour qu'ils aient à déclarer s'ils ne savent pas que la chose soit due.
Page 181 - Lorsque le père ou la mère de l'enfant adultérin ou incestueux lui auront fait apprendre un art mécanique, ou lorsque l'un d'eux lui aura assuré des aliments de son vivant, l'enfant ne pourra élever aucune réclamation contre leur succession.
Page 316 - Les pigeons, lapins, poissons, qui passent dans un autre colombier, garenne ou étang, appartiennent au propriétaire de ces objets, pourvu qu'ils n'y aient point été attirés par fraude et artifice.
Page 360 - Le preneur profite seul comme dans le cheptel simple, des laitages, du fumier et des travaux des bêtes. < Le bailleur n'a droit qu'à la moitié des laines et du croît. Toute convention contraire est nulle, à moins que le bailleur ne soit propriétaire de la métairie dont le preneur est fermier ou colon partiaire.
Page 388 - Le possesseur est de bonne foi quand il possède comme propriétaire, en vertu d'un titre translatif de propriété dont il ignore les vices. Il cesse d'être de bonne foi du moment où ces vices lui sont connus.