Abrége de l'histoire contemporaine de la France accompagné de réflexions |
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... Thiers ne contient pas moins de dix volumes et que je n'ai nullement la prétention de recommencer , pour ne pas le fatiguer inutilement , je crois devoir passer sur les détails qu'il sait aussi bien que moi . Je vais donc me borner ...
... Thiers ne contient pas moins de dix volumes et que je n'ai nullement la prétention de recommencer , pour ne pas le fatiguer inutilement , je crois devoir passer sur les détails qu'il sait aussi bien que moi . Je vais donc me borner ...
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... Thiers dit que pour arrêter cette effervescence populaire , Louis XVI aurait pu y parvenir en abolissant , de sa propre autorité , les privilèges de la noblesse et du clergé . M. Thiers savait bien que quand bien même Louis XVI en ...
... Thiers dit que pour arrêter cette effervescence populaire , Louis XVI aurait pu y parvenir en abolissant , de sa propre autorité , les privilèges de la noblesse et du clergé . M. Thiers savait bien que quand bien même Louis XVI en ...
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... Thiers dit encore qu'il aurait dù modifier les institutions du pays . M. Thiers savait bien que le roi eut - il voulu en prendre l'initiative , il n'eùt pu arriver à ceile grave mesure sans un parfait accord et la vo- lonté de tous les ...
... Thiers dit encore qu'il aurait dù modifier les institutions du pays . M. Thiers savait bien que le roi eut - il voulu en prendre l'initiative , il n'eùt pu arriver à ceile grave mesure sans un parfait accord et la vo- lonté de tous les ...
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... Thiers appelle les Com- munes s'en offensa , néanmoins l'accord finit par se faire et ladite vérification se fit en assemblée générale sous la présidence de Bailly , son doyen , homme simple , connu pour sa modération , sa justice et ...
... Thiers appelle les Com- munes s'en offensa , néanmoins l'accord finit par se faire et ladite vérification se fit en assemblée générale sous la présidence de Bailly , son doyen , homme simple , connu pour sa modération , sa justice et ...
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... Thiers en rend compte ainsi : « Le discours de Louis XVI était empreint d'un cer- tain embarras . Il enjoignait la séparation par ordre , cassait les précédents arrêts du Tiers - État ! promettait d'abolir les privilèges pécuniers ...
... Thiers en rend compte ainsi : « Le discours de Louis XVI était empreint d'un cer- tain embarras . Il enjoignait la séparation par ordre , cassait les précédents arrêts du Tiers - État ! promettait d'abolir les privilèges pécuniers ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 66 - On vient de vous exposer mes moyens de défense; je ne les répéterai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité.
Page 373 - Car nous t'aimons de tout notre cœur, de toute notre âme, de toutes nos forces ! N'es-tu pas notre sang, l'os de nos os, la chair de notre chair?
Page 500 - Si je n'obtiens pas la majorité de vos suffrages, alors je provoquerai la réunion d'une nouvelle Assemblée et je lui remettrai le mandat que j'ai reçu de vous. Mais si vous croyez que la cause dont mon nom est le symbole, c'est-à-dire la France régénérée par la révolution de 89 et organisée par l'Empereur, est toujours la vôtre, proclamez-le en consacrant les pouvoirs que je vous demande. Alors la France et l'Europe seront préservées de l'anarchie, les obstacles s'aplaniront, les rivalités...
Page 499 - Elle consiste surtout à créer des institutions qui survivent aux hommes et qui soient enfin des fondations sur lesquelles on puisse asseoir quelque chose de durable. Persuadé que l'instabilité du Pouvoir, que la prépondérance d'une seule Assemblée sont des causes permanentes de trouble et de discorde, je soumets à vos suffrages les bases fondamentales suivantes d'une Constitution que les Assemblées développeront plus tard. 1° Un Chef responsable nommé pour dix ans; 2° Des Ministres dépendants...
Page 308 - Le Gouvernement provisoire de la République française s'engage à garantir l'existence de l'ouvrier par le travail; il s'engage à garantir du travail à tous les citoyens; il reconnaît que les ouvriers doivent s'associer entre eux pour jouir du bénéfice légitime de leur travail; le Gouvernement provisoire rend aux ouvriers, auxquels il appartient, le million qui va échoir de la liste civile.
Page 500 - Une seconde Assemblée, formée de toutes les illustrations du pays, pouvoir pondérateur, gardien du pacte fondamental et des libertés publiques. Ce système, créé par le Premier Consul au commencement du siècle, a déjà donné à la France le repos et la prospérité ; il les lui garantirait encore. Telle est ma conviction profonde. Si vous la partagez, déclarez-le par vos suffrages. Si, au contraire, vous préférez un gouvernement sans force, monarchique ou républicain, emprunté à je...
Page 193 - ... que de préparer le comte de Paris à la destinée qui l'attend; car personne ne peut savoir dès à présent ce que sera cet enfant lorsqu'il s'agira de reconstruire sur de nouvelles bases une société qui ne repose aujourd'hui que sur des débris mutilés et mal assortis de ses organisations précédentes.
Page 477 - ... et alarmer le pays en semant l'inquiétude. Au milieu de cette confusion, la France, inquiète parce qu'elle ne voit pas de direction, cherche la main, la volonté de l'élu du 10 décembre.
Page 230 - ... des droits les plus essentiels des citoyens, et, par une mesure de salut ministériel, jeté dans le pays de funestes ferments de division et de désordre. Dans de telles circonstances, il lui a paru que ses devoirs devenaient plus graves, plus impérieux, et qu'au milieu des événements qui agitent l'Europe et...
Page 476 - Sans rancune contre aucune individualité, contre aucun parti, j'ai laissé arriver aux affaires les hommes d'opinions les plus diverses, mais sans obtenir les heureux résultats que j'attendais de ce rapprochement. Au lieu d'opérer une fusion de 'nuances, je n'ai obtenu qu'une neutralisation de forces. L'unité de vues et d'intentions a été entravée, l'esprit de conciliation pris pour de la faiblesse. A peine les dangers de la rue étaient-ils passés, qu'on a vu les partis relever leur drapeau,...