Abrége de l'histoire contemporaine de la France accompagné de réflexions |
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... questions religieuses , sociales ou poli- tiques . En prenant la plume , mon but , à moi , je ne crains pas de l'avouer , est tout simplement de soumettre à l'attention des personnes qui vou- dront bien me lire les principaux faits de ...
... questions religieuses , sociales ou poli- tiques . En prenant la plume , mon but , à moi , je ne crains pas de l'avouer , est tout simplement de soumettre à l'attention des personnes qui vou- dront bien me lire les principaux faits de ...
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... question que je ne me charge pas de ré- soudre et à laquelle le temps seul répondra . C'est comme si l'on me disait , que dans les temps passés , la France était républicaine ! eh bien ! naturel- lement je répondrais : non , la France n ...
... question que je ne me charge pas de ré- soudre et à laquelle le temps seul répondra . C'est comme si l'on me disait , que dans les temps passés , la France était républicaine ! eh bien ! naturel- lement je répondrais : non , la France n ...
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... question à l'arbitrage et au jugement du roi , le clergé accepta , mais la noblesse écarta cette proposition et ne voulut rien accepter . A partir de ce moment , aucun accord ne fut plus possible , attendu que chacune des parties posa ...
... question à l'arbitrage et au jugement du roi , le clergé accepta , mais la noblesse écarta cette proposition et ne voulut rien accepter . A partir de ce moment , aucun accord ne fut plus possible , attendu que chacune des parties posa ...
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... question du refus du roi de sanctionner le décret contre les prêtres , exaspération que l'Assemblée elle- même excitait , dans le but de l'y contraindre . Lorsque le 10 août une troupe de Marseillais vint se joindre aux brigands ...
... question du refus du roi de sanctionner le décret contre les prêtres , exaspération que l'Assemblée elle- même excitait , dans le but de l'y contraindre . Lorsque le 10 août une troupe de Marseillais vint se joindre aux brigands ...
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... questions auxquelles il n'osait pas répondre . La reine faisait de chaleureuses instances pour être réunis au moins quelques heures dans le jour ; enfin , un jour un chef municipal attendri dit : « Eh bien , ils dineront aujourd'hui ...
... questions auxquelles il n'osait pas répondre . La reine faisait de chaleureuses instances pour être réunis au moins quelques heures dans le jour ; enfin , un jour un chef municipal attendri dit : « Eh bien , ils dineront aujourd'hui ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 66 - On vient de vous exposer mes moyens de défense; je ne les répéterai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité.
Page 373 - Car nous t'aimons de tout notre cœur, de toute notre âme, de toutes nos forces ! N'es-tu pas notre sang, l'os de nos os, la chair de notre chair?
Page 500 - Si je n'obtiens pas la majorité de vos suffrages, alors je provoquerai la réunion d'une nouvelle Assemblée et je lui remettrai le mandat que j'ai reçu de vous. Mais si vous croyez que la cause dont mon nom est le symbole, c'est-à-dire la France régénérée par la révolution de 89 et organisée par l'Empereur, est toujours la vôtre, proclamez-le en consacrant les pouvoirs que je vous demande. Alors la France et l'Europe seront préservées de l'anarchie, les obstacles s'aplaniront, les rivalités...
Page 499 - Elle consiste surtout à créer des institutions qui survivent aux hommes et qui soient enfin des fondations sur lesquelles on puisse asseoir quelque chose de durable. Persuadé que l'instabilité du Pouvoir, que la prépondérance d'une seule Assemblée sont des causes permanentes de trouble et de discorde, je soumets à vos suffrages les bases fondamentales suivantes d'une Constitution que les Assemblées développeront plus tard. 1° Un Chef responsable nommé pour dix ans; 2° Des Ministres dépendants...
Page 308 - Le Gouvernement provisoire de la République française s'engage à garantir l'existence de l'ouvrier par le travail; il s'engage à garantir du travail à tous les citoyens; il reconnaît que les ouvriers doivent s'associer entre eux pour jouir du bénéfice légitime de leur travail; le Gouvernement provisoire rend aux ouvriers, auxquels il appartient, le million qui va échoir de la liste civile.
Page 500 - Une seconde Assemblée, formée de toutes les illustrations du pays, pouvoir pondérateur, gardien du pacte fondamental et des libertés publiques. Ce système, créé par le Premier Consul au commencement du siècle, a déjà donné à la France le repos et la prospérité ; il les lui garantirait encore. Telle est ma conviction profonde. Si vous la partagez, déclarez-le par vos suffrages. Si, au contraire, vous préférez un gouvernement sans force, monarchique ou républicain, emprunté à je...
Page 193 - ... que de préparer le comte de Paris à la destinée qui l'attend; car personne ne peut savoir dès à présent ce que sera cet enfant lorsqu'il s'agira de reconstruire sur de nouvelles bases une société qui ne repose aujourd'hui que sur des débris mutilés et mal assortis de ses organisations précédentes.
Page 477 - ... et alarmer le pays en semant l'inquiétude. Au milieu de cette confusion, la France, inquiète parce qu'elle ne voit pas de direction, cherche la main, la volonté de l'élu du 10 décembre.
Page 230 - ... des droits les plus essentiels des citoyens, et, par une mesure de salut ministériel, jeté dans le pays de funestes ferments de division et de désordre. Dans de telles circonstances, il lui a paru que ses devoirs devenaient plus graves, plus impérieux, et qu'au milieu des événements qui agitent l'Europe et...
Page 476 - Sans rancune contre aucune individualité, contre aucun parti, j'ai laissé arriver aux affaires les hommes d'opinions les plus diverses, mais sans obtenir les heureux résultats que j'attendais de ce rapprochement. Au lieu d'opérer une fusion de 'nuances, je n'ai obtenu qu'une neutralisation de forces. L'unité de vues et d'intentions a été entravée, l'esprit de conciliation pris pour de la faiblesse. A peine les dangers de la rue étaient-ils passés, qu'on a vu les partis relever leur drapeau,...