La Perse |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Afrasiab appelé Aristagoras armée armes arriva Artabaze Artaxerxès Astyage Athéniens attaquer avaient avant J. C. ayant Babylone Bahram bataille Cambyse camp cavalerie cavaliers cent chap char chef cheval Chosroës combat commandement corps côté Crésus Ctésias Cyaxare Cyrus Darius devant Dieu donna ennemis ensuite environ envoya expédition femme fils firent fleuve flotte frère général golfe Persique Grecs guerre habitants Hérodote Ioniens Ispahan jeta jour Ker Porter Khorasan Khosrou l'armée l'Asie l'empire l'Euphrate l'hégire Lacédémoniens laissa mages main maisons maître Malcolm manda marche Mardonius Mèdes mée Mégabyze ment mille hommes mont montagnes mort niens nombre Nouschirvan ordre palais Parysatis passer pays pendant père Persans Perses peuple Pharnabaze pieds plaine prince prit provinces règne rendre rent reste Romains Roustam royaume s'était Sardes satrape Schah Schapour Schiraz seigneur seul Smerdis soldats sorte suivant Tehran terre tête tion Tiribaze Tissapherne tribu trône troupes trouve vaisseaux Varame voyant Xénophon Xerxès
Popular passages
Page 102 - leur dit-il , ces présens signifient que , si vous » ne vous envolez pas dans les airs , comme des » oiseaux , ou si vous ne vous cachez pas sous » terre, comme des rats , ou si vous ne sautez...
Page 89 - Psamménite, les malheurs de ma maison sont trop grands pour qu'on puisse les pleurer ; mais le triste sort d'un ami qui , au commencement de sa vieillesse, est tombé dans l'indigence après avoir possédé de grands biens, m'a paru mériter des larmes. » « Cambyse trouva cette réponse sensée. Les Égyptiens disent qu'elle fit verser des pleurs non-seulement à Grésus, qui avait suivi ce prince en Egypte , mais encore à tous les Perses qui étaient présents.
Page 91 - A l'égard d'Apis, il languit quelque temps dans le temple, de la blessure qu'il avait reçue à la cuisse, et mourut ensuite. Les prêtres lui donnèrent la sépulture à l'insu de Cambyse.
Page 136 - Comme la différence entre ces deux repas était prodigieuse, Pausanias ne put s'empêcher de rire. Il envoya chercher les généraux grecs; et, lorsqu'ils furent arrivés, il leur dit, en leur montrant l'appareil des deux...
Page 140 - Esther s'était placée pour manger, et il dit : « Comment, il veut faire violence à la reine , même en ma présence et dans ma maison ?» A peine cette parole était sortie de la bouche du roi , qu'on couvrit le visage à Aman, ce qui était un signe qu'on allait le conduire au supplice. Et un des eunuques qui servaient le roi, lui dit : «II ya une potcncequ' Aman avait fait préparer pour Mardochée.
Page 400 - ... dessous, et on les tient les quinze ou vingt premiers jours, nuit et jour, dans cette posture pour les accoutumer à s'y tenir. Ils ne se couchent jamais autrement. On ne leur donne aussi, alors, qu'un peu de lait, pour leur apprendre à vivre de peu de chose , à quoi on les élève si bien...
Page 59 - ... demeura quelque temps sans pouvoir parler ; mais enfin , revenu à lui , et voulant renvoyer Artembarès afin de sonder Mitradate, « Artembarès, lui dit-il , vous n'aurez aucun sujet de vous plaindre de moi , ni vous, ni votre fils.
Page 100 - Il se coupa donc le nez et les oreilles , se rasa , d'une manière honteuse , le tour de la tête , se mit le corps en sang à coups de fouet ; et, en cet état, il alla se présenter au Roi.
Page 76 - Gadatas venaient d'apporter une grande quantité d'ornements précieux. « D'autres honneurs encore lui sont réservés : on lui élèvera un tombeau digne de vous et de lui; on immolera en son honneur les victimes qui conviennent aux mânes d'un héros. Et vous, ajouta-t-il, vous ne resterez point sans appui : je ne cesserai d'honorer votre vertu. Je vous donnerai quelqu'un pour vous conduire partout où il vous plaira d'aller : dites dans quel lieu vous désirez qu'on vous mène. — Seigneur,...
Page 75 - Je suis surpris, continua-t-il, qu'il ne paraisse point, lui qui avait accoutumé de se rendre si souvent auprès de moi. — Seigneur, répondit un des gardes, il ne vit plus; il est mort dans le combat, en poussant son char au milieu des ennemis.