Les chateaux de France, Volumes 1-2

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Michel-Lévy frères, 1857 - French fiction - 602 pages

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Popular passages

Page 230 - Met l'appellation au néant ; — Ordonne que ce dont est appel sortira son plein et entier effet; — Condamne D... en l'amende et aux dépens ; — Sur le surplus des demandes , fins et conclu* sions des parties ; — Les met hors de cour.
Page 231 - Je serais mort de plaisir au premier. « 11 m'a montré votre portrait. Ne vous fâchez pas, madame, -si j'ai pris la liberté de lui rendre les deux baisers. Vous ne pouvez empêcher cet hommage, Faible tribut de quiconque a des yeux : C'est aux mortels d'adorer votre image; L'original était fait pour les dieux.
Page 291 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce pour lui et ses héritiers au trône de France et d'Italie et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 269 - SIRE , en vérité , mon bonhomme de père ouvrirait de grands yeux » s'il me voyait dans un char , auprès du plus grand roi de la terre. Il faut avouer que Voire Majesté traite bien son maçon et son jardinier.
Page 231 - M. de La Borde m'a dit que vous lui aviez ordonné de m'embrasser des deux côtés de votre part. Quoi! deux baisers sur la fin de ma vie! Quel passe-port vous daignez m'envoyer! Deux : c'est trop d'un, adorable Égérie! Je serais mort de plaisir au premier.
Page 117 - Trivelin, ou quelque autre sur le théâtre, faire ridiculement le juge, le prince ou le roi, aussi les véritables précieuses auraient tort de se piquer lorsqu'on joue les ridicules qui les imitent mal.
Page 23 - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
Page 117 - J'aurois voulu faire voir qu'elle se tient partout dans les bornes de la satire honnête et permise ; que les plus excellentes choses sont sujettes à être copiées par de mauvais singes, qui méritent d'être bernés ; que ces vicieuses imitations de ce qu'il ya de plus parfait ont été de tout temps la matière de la comédie...
Page 235 - D'abord que la toile fut levée, un des acteurs, comme vous pourriez dire moi, parut sur le théâtre en habit de ville, et s'adressant au roi avec le visage d'un homme surpris, fit des excuses en désordre sur ce qu'il se trouvait là seul, et manquait de temps et d'acteurs pour donner à Sa Majesté le divertissement qu'elle semblait altcndre. En même temps, au milieu de vingt jets d'eau naturels, s'ouvrit cette coquille que tout le monde a vue; et l'agréable naïade qui parut dedans s'avança...
Page 285 - Monsieur, a répliqué M. le duc de Bourbon en adressant la parole à M. le comte d'Artois, et en baissant la pointe de son épée, je suis pénétré de reconnaissance de vos bontés , et je n'oublierai jamais l'honneur que vous m'avez fait. « M. le comte d'Artois , ayant ouvert ses bras , a couru l'embrasser, et tout a été dit. « Je ne puis vous exprimer , m'ajouta le chevalier de Crussol, la satisfaction que j'ai de cette aventure , ni donner assez de louanges à M.

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