Dernières études historiques et littéraires, Volume 1Michel Lévy, 1859 - France |
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... n'avait pas intention de rien chan- ger ... » Même politique quand le concile de Trente est réuni . Charles y prend visiblement parti pour quelques- unes des prétentions raisonnables des réformés . Il demande pour eux au pape des ...
... n'avait pas intention de rien chan- ger ... » Même politique quand le concile de Trente est réuni . Charles y prend visiblement parti pour quelques- unes des prétentions raisonnables des réformés . Il demande pour eux au pape des ...
Page 23
... contre la volonté d'un peu- ple décidé à être libre , on sait avec quelle gravité éloquente M. Guizot , qui n'avait pas encore abordé la tribune , accom- plit cette première partie de son œuvre . Quand plus RICHARD CROMWELL . 23.
... contre la volonté d'un peu- ple décidé à être libre , on sait avec quelle gravité éloquente M. Guizot , qui n'avait pas encore abordé la tribune , accom- plit cette première partie de son œuvre . Quand plus RICHARD CROMWELL . 23.
Page 24
... n'avait été qu'un conteur habile , un peintre exact et fidèle , au lieu d'être aussi un penseur profond , et s'il n'avait cherché la philosophie du drame dont il ranimait les acteurs , et trouvé sa moralité au sein même de sa confusion ...
... n'avait été qu'un conteur habile , un peintre exact et fidèle , au lieu d'être aussi un penseur profond , et s'il n'avait cherché la philosophie du drame dont il ranimait les acteurs , et trouvé sa moralité au sein même de sa confusion ...
Page 34
... n'avait fait que nous prêter , « et nous prêter pour un temps , nous le savions ? » et autres paroles semblables . Ce sont là des recettes de philosophe , et je ne leur porte aucun respect , comme à tout ce qui n'est pas naturel . Il n ...
... n'avait fait que nous prêter , « et nous prêter pour un temps , nous le savions ? » et autres paroles semblables . Ce sont là des recettes de philosophe , et je ne leur porte aucun respect , comme à tout ce qui n'est pas naturel . Il n ...
Page 49
... n'avait pas d'histoire ? Nécessité formidable , j'en conviens ; ressource périlleuse , je le sais . Mais avait - on le choix ? Se crée - t - on un passé à volonté ? L'impulsion don- née , la destruction consommée , où recourir , si ce n ...
... n'avait pas d'histoire ? Nécessité formidable , j'en conviens ; ressource périlleuse , je le sais . Mais avait - on le choix ? Se crée - t - on un passé à volonté ? L'impulsion don- née , la destruction consommée , où recourir , si ce n ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 146 - Enfin, je vois par eux votre exemple suivi, Et j'ai des serviteurs, et ne suis point servi.
Page 193 - La propriété d'un trésor appartient à celui qui le trouve dans son propre fonds ; si le trésor est trouvé dans le fonds d'autrui, il appartient pour moitié à celui qui l'a découvert, et pour l'autre moitié au propriétaire du fonds.
Page 119 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple : actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation...
Page 108 - Ce cri terrible, j'en atteste tous les hommes impartiaux, retentit à l'instant d'une manière spontanée , unanime , universelle, dans les rues, dans les places publiques, dans tous les rassemblements, enfin dans l'Assemblée nationale même.
Page 157 - Colin devait le jour à un brave laboureur des environs, qui cultivait la terre avec quatre mulets, et qui, après avoir payé la taille, le taillon, les aides et gabelles, le sou pour livre, la capitation, et les vingtièmes, ne se trouvait pas puissamment riche au bout de l'année.
Page 9 - J'ai pris soin de m'armer contre tous les poisons ; J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie ; Ah ! qu'il eût mieux valu , plus sage et plus heureux , Et repoussant les traits d'un amour dangereux, Ne pas laisser remplir d'ardeurs empoisonnées * Un cœur déjà glacé par le froid des années ! De ce trouble fatal par où dois-je sortir?
Page 224 - Patru, avec cette autorité que donne l'âge joint au vrai mérite, ouvrit l'assemblée par un apologue. « Messieurs, dit-il, un ancien Grec avait une lyre admirable; il s'y rompit une corde; au lieu d'en remettre une de boyau il en voulut une d'argent, et la lyre, avec sa corde d'argent, perdit son harmonie.
Page 6 - Emma se sentit, en entrant, enveloppée par un air chaud, mélange du parfum des fleurs et du beau linge, du fumet des viandes et de l'odeur des truffes.