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de Clermont. (A la colonne. ) . . . . idem.
LOUIS I DE BOURBON second prince de cette
branche. (Dans la colonne. )
JACQUES DE BOURBON, 3. prince. (Dans la co-
lonne. )

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JEAN I DE BOURBON 4. prince. ( Dans la co-

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96

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XXIV TABLE DES DIVISIONS de l'ouvrage.

67 LOUIS XIII, dit LE JUSTE (de 1610 à 1643) 205 68 LOUIS XIV, dit LE GRAND (de 1643 à 1715) 216 69 LOUIS XV, dit LE BIEN-AIMÉ (de 1715 à 1774) 238 70 LOUIS XVI ( de 1774 à 1793 ) 71 LOUIS XVII (de 1793 à 1795) 72 LOUIS XVIII (de 1795 à

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253 260

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261

NOTICE GÉNÉALOGIQUE des branches collatérales du sang royal dont il existe des descendans.

1.° BRANCHE d'Orléans

2.° BRANCHE de Condé

3.o BRANCHE de Conti.

4.° Prince légitimé.

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NOTICE CHRONOLOGIQUE des principaux événemens qui ont eu lieu en France depuis la première assemblée des notables en 1787, etc. ASSEMBLÉES DES NOTABLES, 1.

ó lé 22 février 1787. 267 2.o le6 novembre 1788. 269

ETATS GÉNÉRAUX le 5 mai 1789, et

ASSEMBLÉE NATIONALE, dite CONSTITUANTE le

17 juin suivan,

CONSTITUTION du 14 septembre 1791.

ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE

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le 1. er octobre 1791

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278 286

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CONVENTION NATIONALE, le 21 septembre 1792
CONSTITUTION du 10 août 1793.
GOUVERNEMENT RÉVOLUTIONNAIRE.
Directoire EXÉCUTIF et CONSEILS. Constitution du
23 septembre 1795 ( 1.er vendémiaire an iv. ) . 304
CONSULAT (provisoire), le 11 novembre 1799. 319
CONSTITUTION ( consulaire ), du 7 février 1800. 320
CONSULAT A VIE, et sénatus-consulte organique, ou

plutôt nouvelle constitution, du 4 août 1802. 328 EMPIRE FRANÇAIS, sénatus-consulte organique, ou plutôt constitution impériale, du 6 novembre 1804.

Il a été présenté le 18 mai précédent ). . ... 332 GOUVERNEMENT PROVISOIRE et déchéance de Napoléon,

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CHARTE CONSTITUTIONNELLE, donnée par LOUIS XVIII le 4 juin 1814..

393

OU

PRÉCIS sur l'ancienneté de la monarchie française et sur les progrès de l'autorité royale;

SUIVI DE LA GÉNÉALOGIE DES ROIS DEs deux PREMIÈRES RACES.

QUOIQUE le berceau de la monarchie française soit, comme celui de presque tous les peuples, enveloppé de nuages épais, cependant les historiens, même les plus érudits, s'accordent sur ce point, que l'on doit placer vers l'an 418 de J.-C., le commencement de l'empire des Francs dans les Gaules (1). Si l'on en croit les savans Bénédictins, (Art de

(1) Tiro Prosper d'Aquitaine le fixe à l'an 417; De Valois, Duchêne et Vertot, à l'an 420; Me zerai varie entre 409 et 410; d'autres auteurs le font descendre jusqu'en 424 ou 425. Foncemagne regardant l'expédition qui, sous Clodion, assura la possession de Cambray et du pays voisin, comme l'époque de la fondation de la monarchie, dit que le père Le Cointe, sur la foi de Sigebert, rapporte cette expédition à l'an 441; le père Sirmond, à 445; et M. de Valois ainsi que lui (Foncemagne), à 438; mais cet événement est postérieur à Pharamond, nous avons donc pensé que, prenant un terme moyen pour fixer l'origine en question dans le temps où l'on fait vivre Pharamond on pouvoit s'arrêter à l'an 418.

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vérifier les dates), ces Francs (1), divisés jusqu'alors en différens peuples gouvernés par des rois particuliers, se réunirent en corps de nation sous un même chef, et élurent pour roi THÉODEMER, fils de Ricimer, qui

(2) On a beaucoup disserté sur l'origine des Francs nous citerons seulement les systêmes des auteurs qui nous ont paru les plus érudits.

Leibnitz prétend que les premiers Francs sont sortis des bords de la mer Baltique et qu'ils avoient habité d'abord au nord de l'Albis (l'Elbe qui prend sa source en Bohême) dans le pays de Meckelbourg, et dans la Pomeranie ; que leur second gîte a été entre la rivière du Mein et les montagnes de Hartz; le troisième entre le Weser et le Rhin; et le quatrième dans les Gaules. (V. la dissertation sur l'origine des peuples dans les Miscellanea Berolinensia de 1710; et la dissertation sur l'origine des Francs, imprimée en 1720 dans le recueil de Desmaiseaux ).

Selon Freret, les Francs sont originaires de la Germanie, et ils n'y sont pas venus de la Pannonie comme l'ont prétendu quelques auteurs anciens. C'étoit une nation ou plutôt une ligue de différens peuples de la Germanie, (tels que les Atuariens, les Bructères, les Chamaves, les Saliens, les Frisons, les Cauques, les Ambivares, les Sicambres, tous peuples compris par les historiens latins sous le nom de FRANCS ). Mais ceux dont parle Freret particulièrement, étoient établis sur le Rhin, en remontant depuis son embouchure jusqu'à Cologne, et se composoient à peu près des mêmes peuples qui, du temps de César, formoient la ligue des Sicambres. Ces Francs, après avoir souvent passé le Rhin et fait plusieurs excursions, parvinrent à se former un établissement fixe dans la Gaule, longtemps avant 358, époque à laquelle les Saliens étoient maîtres des pays situés depuis le Rhin et la Meuse jusqu'aux environs de Tongres. Quelques années après, les Chamaves s'établirent entre la Meuse et le Rhin au

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