Le retour de l'empereur: du Capitole à la roche Tarpéienne, l'immolation, 1815 |
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... chevaux jusqu'au sang. Il veut arriver avant qu'un malheur irréparable ne soit consommé. Il va; il va. Les roues de la voiture brûlent les pavés. Napoléon ne cesse de répéter : « Cela sera trop tard ! » Il est resté à jeun pendant tout ...
... chevaux jusqu'au sang. Il veut arriver avant qu'un malheur irréparable ne soit consommé. Il va; il va. Les roues de la voiture brûlent les pavés. Napoléon ne cesse de répéter : « Cela sera trop tard ! » Il est resté à jeun pendant tout ...
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... chevaux jusqu'au sang . Il veut arriver avant qu'un malheur irréparable ne soit con- sommé . Il va ; il va . Les roues de la voiture brûlent les pavés . Napoléon ne cesse de répéter : « Cela sera trop tard ! » Il est resté à jeun ...
... chevaux jusqu'au sang . Il veut arriver avant qu'un malheur irréparable ne soit con- sommé . Il va ; il va . Les roues de la voiture brûlent les pavés . Napoléon ne cesse de répéter : « Cela sera trop tard ! » Il est resté à jeun ...
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... chevaux , attelés en poste , partirent à une vive allure sur la grande route où s'engagèrent aussitôt les voitures contenant la suite de l'exilé . La garde sortit avec tristesse de la cour du château ; plusieurs officiers avaient brisé ...
... chevaux , attelés en poste , partirent à une vive allure sur la grande route où s'engagèrent aussitôt les voitures contenant la suite de l'exilé . La garde sortit avec tristesse de la cour du château ; plusieurs officiers avaient brisé ...
Page 45
... chevaux pour leur voiture en détresse . « C'était à qui courrait le plus vite , dit une brochure de l'épo- que ( 1 ) ; jamais les guides et les postillons ne furent plus gracieu- sement traités ni plus généreusement payés . Presque tous ...
... chevaux pour leur voiture en détresse . « C'était à qui courrait le plus vite , dit une brochure de l'épo- que ( 1 ) ; jamais les guides et les postillons ne furent plus gracieu- sement traités ni plus généreusement payés . Presque tous ...
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... chevaux et les quatorze autres avec ceux de la poste . Cons- tantin , le conservateur de ses tableaux , était à la Malmaison lorsqu'elle partit . Elle le chargea d'une lettre pour le ministre de la police . A Navarre , elle fut re ...
... chevaux et les quatorze autres avec ceux de la poste . Cons- tantin , le conservateur de ses tableaux , était à la Malmaison lorsqu'elle partit . Elle le chargea d'une lettre pour le ministre de la police . A Navarre , elle fut re ...
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Le Retour de l'Empereur: Du Capitole à la Roche Tarpéienne, l'Immolation ... Gilbert Stenger No preview available - 2017 |
Le Retour de l'Empereur: Du Capitole à la Roche Tarpéienne, l'Immolation ... Gilbert Stenger No preview available - 2016 |
Common terms and phrases
abdication aides de camp alliés anglais armée arrivée aurait avaient bataille bataillons Bellerophon Benjamin Constant Bertrand Bonaparte Bourbons C'était Campbell capitaine Carnot Caulaincourt Cent-Jours Chambre des députés chevaux colonel commandant Davout devant dévouement disait-il Drouot duc de Bassano Elbois ennemis envoyé eût Fayette femme Fleury de Chaboulon Fontainebleau Fouché foule frégate garde nationale général Becker gloire Gourgaud gouvernement guerre Henry Houssaye heures hommes impériale j'ai jour l'amiral l'armée l'avait l'Elysée l'Em l'Empe l'Empereur l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe l'Impératrice Labédoyère laisser lendemain Louis XVIII Lucien Lyon maison Maitland Majesté Malmaison maréchal Marie-Louise Marmont matin mille ministres monarque Montholon Mulini n'avait n'était Napo Napoléon nation navire Neil Campbell officiers palais paroles passé patrie pensée pereur personne peuple Peyrusse Pons Pons de l'Hérault Porto-Ferrajo pouvait préfet prince quitter régente reste reur Rovigo royalistes s'était salon serait seul Sire soir soldats souverain Talleyrand trône troupes Tuileries voitures voulait Waterloo
Popular passages
Page 269 - ... coups contre ma personne. Si je ne voyais que c'est à la patrie qu'ils en veulent, je mettrais à leur merci cette existence contre laquelle ils se montrent si acharnés. Mais dites aussi aux citoyens que tant que les Français me conserveront les sentiments d'amour dont ils me donnent tant de preuves, cette rage de nos ennemis sera impuissante.
Page 151 - J'ai traversé les mers au milieu de périls de toute espèce; j'arrive parmi vous reprendre mes droits qui sont les vôtres. Tout ce que des individus ont fait , écrit ou dit depuis la prise de Paris, je l'ignorerai toujours ; cela n'influera en rien sur le souvenir que je conserve des services importants qu'ils ont rendus; car il est des événements d'une telle nature qu'ils sont au-dessus d'une organisation humaine. « Français! il n'est aucune nation, quelque...
Page 340 - ... j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me -paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II.
Page 28 - ... contre la haine de la nation. Le Sénat se fonde sur les articles de la Constitution pour la renverser; il ne rougit pas de faire des reproches à l'empereur, sans remarquer que, comme premier corps de l'État, il a pris part à tous les événements.
Page 228 - ... les souverains de l'Europe, animés des mêmes sentimens et guidés par les mêmes principes, déclarent, que si, contre tout calcul, il pouvait résulter de cet événement un danger réel quelconque, ils seraient prêts à donner au Roi de France et à la nation française, ou à tout autre gouvernement attaqué, dès que la demande en serait formée, les secours nécessaires pour rétablir la tranquillité publique, et à faire cause commune contre tous ceux qui entreprendraient de la compromettre.
Page 426 - J'y suis venu à l'instigation même du capitaine , qui a dit avoir des ordres du gouvernement de me recevoir et de me conduire en Angleterre avec ma suite si cela m'était agréable.
Page 212 - Une plus belle arène est aujourd'hui ouverte aux souverains, et je suis le premier à y descendre. Après avoir présenté au monde le spectacle de grands combats, il sera plus doux de ne connaître désormais d'autre rivalité que celle des avantages de la paix, d'autre lutte que la lutte sainte de la félicité des peuples.
Page 144 - Soldats ! dans mon exil, j'ai entendu votre voix, je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général, appelé au trône par le choix du peuple, et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre.
Page 10 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve dans le chemin de la gloire et de l'honneur...
Page 228 - Les puissances qui ont signé le traité de Paris, réunies en » Congrès à Vienne , informées de l'évasion de Napoléon » Bonaparte et de son entrée à main armée en France , doivent » à leur propre dignité et à l'intérêt de l'ordre social une » déclaration solennelle des sentimens que cet événement leur